Il en serait très
utile pour la Cause que vous partagiez cette page sur votre Facebook, merci...
119 : enfance maltraitée
39-19 : violences conjugales
39-77 : maltraitance envers les personnes âgées et les personnes handicapées
Vous pouvez aussi appeler les cellules de recueil des informations préoccupantes CRIP qui ont été mises en place dans chaque département.
Le code pénal impose de porter secours et d'intervenir pour prévenir des crimes :
NON ASSISTANCE À PERSONNE EN PÉRIL :
Article 223-6
Quiconque pouvant empêcher par son action immédiate, sans risque pour lui ou les tiers, soit un crime, soit un délit contre l'intégrité corporelle de la personne s'abstient volontairement de le faire est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.
Sera puni des mêmes peines quiconque s'abstient volontairement de porter à une personne en péril l'assistance que, sans risque pour lui ou des tiers il pouvait lui prêter par son action personnelle ou en provoquant un secours.
NON DÉNONCIATION DE CRIME :
Article 434-1
Le fait pour quiconque ayant connaissance d'un crime dont il est encore possible de prévenir ou de limiter les effets, ou dont les auteurs sont susceptibles de commettre de nouveaux crimes qui pourraient être empêchés, de ne pas en informer les autorités judiciaires ou administratives est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende.
Sont exceptés des dispositions qui précèdent, sauf en ce qui concernent les crimes commis sur les mineurs de moins de 15 ans :
- les parents en ligne directe et leurs conjoints, ainsi que les frères et soeurs et leurs conjoints, de l'auteur ou du complice du crime.
- le conjoint de l'auteur ou du complice du crime, ou la personne qui vit notoirement en situation maritale avec lui.
Sont également exceptés des dispositions du premier alinéa les personnes astreintes au secret dans les conditions prévues par l'article 226-13.
Article 434-3
Le fait pour quiconque ayant connaissance de mauvais traitement ou privations infligés à un mineur de 15 ans ou à une personne qui n'est pas en mesure de se protéger en raison de son âge, d'une maladie, d'une infirmité, d'une déficience physique ou psychique ou d'un état de grossesse, de ne pas en informer les autorités judiciaires ou administratives est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende. Sauf lorsque la loi en dispose autrement, sont exceptés des dispositions qui précèdent les personnes astreintes au secret dans les conditions prévues par l'article 226-13.
Être solidaire, bienveillant avec la victime, la soutenir, et l'accompagner.
Proposer un témoignage en cas de procédure judiciaire.
Être témoin de violences ou être un proche d'une victime, parents, conjoint, ami, collègue peut être déstabilisant, douloureux, voire traumatisant et générer des troubles psychotraumatiques, particulièrement si l'on a été confronté à des violences effroyables, si on s'est senti dans l’incapacité d’agir, impuissant à protéger, à aider, à trouver les bons comportements, si on est dans l'incompréhension.
Surtout faites-vous aider, ne restez pas seul-e.
Il a été démontré que le fait de recevoir en consultation les proches de victimes pour les entendre, les informer, les soutenir, les conseiller, voire de leur prodiguer des soins si c'est nécessaire, a un impact très positif sur eux mais aussi sur la prise en charge de la victime.
Avoir :
Vous êtes témoin ou proche ?
Intervention auprès d'une victime.
Ses émotions et réactions.
Ses besoins.
Les infractions sexuelles.
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