lundi 10 juin 2013

APAPE (Alternative pour Parent ou Adulte Protecteur d'Enfants).


 

APAPE (Alternative pour Parent ou Adulte Protecteur d'Enfants).

J’ai exclu la saisine de la justice (imposture judiciaire), tout au moins de façon conventionnelle, et des associations bidons, ainsi que les recours auprès d’instances européennes (toujours hors-jeu au niveau traitement de l’urgence), pièces maîtresses de l’imposture au niveau Européen…
La récupération de la victime, pour un exil à l’étranger, en cavale, est la seule option qui reste et qui est primordiale, si, et seulement si, l’on n’a pas été capable de neutraliser le ou les criminels…  …avant tout. Mais si on ne veut pas partir dans une cavale sans issue, avec tous les risques et les désagréments injustes que cela occasionne, il faut prendre le taureau par les cornes « et le pédo par les c……. ».
Ça n’est pas à vous de battre en retraite, avec Interpole à vos trousses, et toutes les apparences contre vous, en abandonnant tout derrière vous.
La seule chose à faire, dès que vous recevez, en tant que parent, les déclarations de votre enfant victime, c’est de surtout le garder pour vous, de les filmés, et de garder votre sang-froid :
Il faut avant tout récupérer des éléments de preuve irréfutables, l’idéal étant des vidéos de scène de viol ou d’agression, ou encore des photos ou films réalisés en secret par le criminel lui-même.
Je pensais un temps que l’emploi d’un détective privé était adroit.
Mais à bien y réfléchir, je l’exclue de mon alternative pour trois raisons essentielles :

-              Premièrement : les risques qu’il soit lui-même soumis à « l’autocensure » et le collaboralisme pour exercer – à moins qu’il ne soit carrément franc-maçon – est trop élevé. Il faut connaître le « système » pervers dans lequel s’inscrit notre problème. Je ne prendrais pas ce risque, quant à moi.
-              Deuxièmement : tant que l’agresseur n’est pas alerté, le parent protecteur a plus de latitude pour le piéger tout seul, et ce à moindre coût, et à sa façon, à fortiori s’il s’agit du conjoint.

-              Troisièmement : un détective privé prend garde à agir en parfaite légalité. Et c’est cette notion qui évidemment, freine le déploiement de moyens les plus intéressants, et donc efficaces. La frilosité d’un détective privé à « friser » avec « l’illégal » penche contre lui dans la balance, avec les honoraires à rallonge qu’il demandera.

Je m’explique donc :

Il est essentiel de bien faire la part des choses, et d’intégrer la notion qui suit :
Les preuves que nous devons récolter, en tant qu’adulte protecteur, n’ont pas usage à être remises à la justice (à l’imposture judiciaire) pour que celle-ci entende traiter l’affaire à sa façon.
Ces preuves doivent servir de moyen de pression, soit en direction du criminel lui-même, soit en direction de l’imposture judiciaire.
On peut effectivement imaginer faire pression sur le criminel lui-même pour qu’il renonce à tout droit sur l’enfant et qu’il quitte le pays en laissant des dommages et intérêts, à condition qu’il ne fasse pas partie d’un réseau, et donc qu’il n’y ait pas tout un réseau à faire tomber.
Les preuves ont donc vocation à être divulguées sur la place publique, entre autre par le biais de l’Internet, si l’on n’obtient pas gain de cause, ou en cas de complication (une fois l’enfant mis à l’abri). Le scandale général est de mise.
Ces preuves ne peuvent être récoltées qu’en effectuant un véritable piégeage du criminel ; à son domicile, dans sa chambre à coucher, dans la chambre de l’enfant victime, par le biais de la pose d’une caméra cachée. Ce type de matériel est aujourd’hui largement abordable et accessible au grand public, il suffit de bien comparer les fournisseurs, et de tester le matériel après l’avoir sélectionné pour un emploi bien précis.

C’est uniquement en gardant son sang-froid que l’on peut bénéficier de l’avantage de la surprise, et avoir accès aux endroits où les agressions sexuelles sont susceptibles d’être commises.
Cela n’a rien de « légal », puisque tout acteur judiciaire hurlerait que le document n’est pas exploitable, parce que le fruit d’un « acte délictueux touchant la vie privée » dudit criminel. On connaît la musique…
Il convient donc de piéger soi-même le criminel, de dupliquer et conserver les fruits du piégeage (vidéos, au mieux) dans un premier temps.


Puis, fort de ces preuves (récoltées illégalement, on est d’accord et on les publie…. !), et sans en faire état (préserver l’effet de surprise, s’il ne s’agit pas d’un « flag », voire plus bas), il faut immédiatement soustraire l’enfant aux sévices qu’il subit. Pardon de le répéter, cela est primordial !
On peut également essayer de s’organiser pour prendre le criminel en « flagrant délit » ou « crime flagrant », en faisant irruption dans la pièce où il viole votre enfant, caméra vidéo au poing. Pour ceci, la maman isolée doit trouver l’aide d’un ou deux gars solide(s) à introduire subrepticement dans la maison pour l’occasion, quitte à les payer pour le coup de main, et procéder à la neutralisation du criminel (ce en vertu de l’article qui concerne la légitime défense de soi-même et d’autrui…). Pas de violence excessive, la neutralisation (filmée) doit faire usage des strictes violences justifiées pour son succès, et rien de plus. Les « gros bras » doivent être briefés, et fiables. Pas de bavure, le plus grand sang-froid est de mise, et je vous concède que ça ne doit pas être facile de se retenir…
Bref : Dans un troisième temps, il faut saisir la justice, en prenant d’infinies précautions.
Ne focalisez pas sur les constats médicaux. Tout comme le témoignage de l’enfant, ceux-ci ont vocation à être tournés en dérision par l’imposture judiciaire,  et écartés des débats.
Deuxième phase : Si l’on opte pour la plainte directe, il faut s’arranger pour qu’il n’y ait qu’une seule et unique prise de contact avec les enquêteurs, et s’assurer que la plainte a été prise correctement en repartant avec un double de celle-ci, conformément aux prescriptions actuelles de la Loi.
Il ne faut pas parler à cette occasion des preuves recueillies. Par contre, il faut présenter une vidéo de l’enfant que vous aurez fait parler devant votre caméscope, avant toute chose. Vous devez faire jouer la parole de l’enfant, sans dévoiler votre jeu.
Vous devez également vous arranger pour recevoir le conseil de mettre votre enfant à l’écart du prédateur, ce par l’enquêteur qui vous entend. Au mieux, vous enregistrez également la prise de votre audition, au moins en audio.
N’amenez pas l’enfant, pour être entendu, vous ne pouvez être certain de maîtriser la suite immédiate, et donc d’être en mesure de le protéger. Il doit être avant tout en lieux sûrs au moment où vous engagez votre démarche.
A l’issue de celle-ci, vous devez vous abstenir de tout nouveau contact avec quelque acteur judiciaire que ce soit. Traitez-la suite à distance.
En effet, une fois l’offensive engagée, le parent protecteur doit maintenant tenir l’enfant à l’écart du criminel et du réseau national qui entend couvrir celui-ci, et rester en mesure d’assurer cette mesure de protection.
Les éléments de preuve doivent être adressés alors aux enquêteurs saisis. Si ceux-ci ne sont pas révoltés par ce qu’ils voient, c’est qu’ils font partie du réseau. Il faut donc s’adresser préventivement et en parallèle à d’autres interlocuteurs, policiers ou gendarmes, éventuellement en saisir plusieurs à la fois.
Comme toujours, le procureur voudra classer sans suite. C’est alors qu’il faut riposter, en lui mettant le nez dans la m…., en lui expédiant par colis postal – avec votre adresse (désertée par vous) en guise d’adresse d’expéditeur - les éléments de preuves en votre possession. (Prévoyez un proche de confiance pour réceptionner votre courrier avec une procuration et l’accès à votre boîte à lettre).
Si la pression ne saute toujours pas, et que le criminel a gain de cause malgré les preuves, il faut alors ne pas hésiter à les publier sur Internet, et les adresser à toutes les instances prétendues judiciaires, à la presse, en courrier recommandé avec accusé de réception.
Avant cela, on peut également procéder à des citations directes à comparaître, sans passer par la case dépôt de plainte au Procureur. Cela est idéal si l’on a piégé le criminel à son insu, puisque l’on détient les preuves irréfutables de ses forfaits. La publication des dites preuves n’est pas à exclure dès l’issue de cette audience, dans le cas où elles auraient été jugées irrecevable en raison de votre piégeage « irrégulier »… La suite des « débats » en « justice » devrait se jouer sur fond de scandale national et même international.
Là, bien sûr, il faut prendre le risque de s’exposer, ce qui signifie que l’on doit avoir des alliés fiables pour protéger l’enfant durant l’épisode. Mais quelque tournure que prenne l’affaire, il ne faut sous aucun prétexte mettre l’enfant à la disposition de l’imposture judiciaire, même par le biais de personnel apparemment intègre ! Idéalement, il vaut mieux avoir le cran d’organiser de refaire sa vie avec lui, loin de nos latitudes, et quel que soit l’issue de l’offensive lancée. Des représailles sont toujours à redouter.
Tous les procès d’intention suivis de poursuites judiciaires risquent d’interférer dans votre action « en justice ». Mais c’est là qu’il ne faut pas vous dégonfler, ne pas hésiter à rendre publiques les preuves dont la justice ne veut pas. Car c’est le Peuple qui se chargera alors d’appliquer les pressions nécessaires, et de relayer sur le net les insoutenables vidéos.
Sur ce point, il vaut mieux au préalable avoir identifié les plates-formes de « cyber-Résistance » qui ne lâchera pas le morceau. Au moment crucial, vous devez les informer dans l’instant de votre première publication sur un compte de serveur vidéo tel que « YouTube » « RuTube » ou « Daylimotion ». Multipliez les publications sur ces serveurs, et diffusez-en les liens tous azimuts.
Retenez tout de même que l’essentiel reste la soustraction de la victime aux sévices qu’elle subit, et des mains de leurs auteurs, coauteurs et complices (ce qui inclut hélas les membres de l’imposture judiciaire et politique tous confondus).

Faire parler l’enfant victime :

Ceci est une notion essentielle à respecter, une étape difficile mais incontournable à réaliser.
Premièrement : Vous devez vous assurez de la véracité de son histoire par vos questions, puis obtenir le plus de détails en vue d’un prochain piégeage de son bourreau. Vous ne devez pas combattre sans détenir au moins une vidéo du témoignage de votre enfant, le plus spontané possible. Un témoignage vidéo que vous devez toujours conserver avec vous ou l'avoir télécharger sur un serveur privé, surtout si vous avez dû fuir avec votre enfant, en ayant pris soin d’en effectuer des copies, placées en sécurité et prêtes à l’emploi par des proches hyper fiables, en cas de coup dur.
Éventuellement, vous devez avoir le courage d’obtenir que votre enfant soit votre « complice » dans cette opération, il en va de son salut, et du vôtre.
Deuxièmement : Que vous soyez en cavale, en ayant ou non réussi à piéger le criminel, vous devez tout faire pour que l’enfant n’enfouisse pas ce qu’il a vécu dans son subconscient. C’est capital pour sa survie psychologique et sa reconstruction !
Beaucoup d’adultes ont le réflexe de vouloir éviter de faire « revivre » à la victime ce quelle a enduré. Il s’agit d’une erreur trop grave, trop lourde en conséquence, et trop répandue. Car si on se prive alors de la prise d’un témoignage fort et compromettant, on participe malgré soi aux efforts de l’imposture politico-judiciaire et du réseau international : faire en sorte qu’il n’y ait pas de traces de témoignage, que toute victime « oublie », puisse se rétracter, se retourner contre le parent protecteur et ainsi blanchir les coupables.
Plus en profondeur, on participe à l’entreprise de scission de la personnalité de l’enfant victime, un des buts recherchés par le crime organisé international. Celui-ci œuvre en effet à travers ces multitudes de drames en vue de la « reproduction des détraqués pédocriminels ».
N’oubliez jamais ; une victime qui a enfoui ce qu’elle a vécu a toutes les chances de devenir un jour prédateur, sans crier gare, en étant mis au contact d’enfants ou de nouveaux nés.
Le bourreau auquel vous avez affaire est probablement une ancienne victime « refoulée ».

Le mot de la fin : la notion de Justice :

Pour clôturer ce dossier, je vais essayer de vous débarrasser des complexes et du formatage sociétal qui incitent tant de personnes à se refuser d’agir, au prétexte d’une soi-disant illégalité du procédé à employer.
Nous avons cerné le contexte dans lequel s’inscrit notre problématique ; L’emprise du crime organisé international sur nos institutions, dont découle cette imposture judiciaire, politique, médiatique, sociétale.
Mais avant tout et en l’occurrence judiciaire, donc. Cela signifie que de Justice, vous n’avez droit qu’à des bouffées occasionnelles, lâchées par les traîtres en poste seulement quand cela leur est nécessaire à maintenir le jeu des illusions. On ne peut pas miser sur la chance de bénéficier de ce genre de bouffées, quand il s’agit de sauver ses enfants, ou tout enfant martyr.
Il faut alors rayer de son cerveau les notions du type : « il ne faut pas se faire justice soi-même », ou encore, « il ne faut pas tomber dans l’illégalité. »
Il n’y a pas de justice dans notre société, c’est un fait. La justice ne peut être qu’homogène, systématique…   …juste, à tous les coups. La notion d’illégalité est donc tout bonnement caduque. Nous ne vivons pas dans un Etat de Droits, mais sous le joug d’une dictature criminelle déguisée en république.
A défaut donc de « justice », le citoyen doit donc « se faire justice », surtout si cela concerne les enfants. Ce qui impose que l’on soit très circonspect, et que l’on sache faire la part des choses, du bien et du mal, en pleine objectivité et conscience. Il ne s’agit pas de vengeance, mais de protection, s’il le faut « offensive ».
Et cette notion nous poussera très loin dans le combat, nous, humains de conscience, quand nous aurons su nous affranchir des dictas adroits implantés en nous par notre imposture sociétale. Quand nous aurons réalisé à quel point nous étions responsables du monde que nous découvrons avec horreur, celui dans lequel nous vivons, pris au piège.
La « justice » telle que nous la côtoyons n’est qu’un échiquier truqué. Accepter de jouer dessus, avec ses règles putrides, c’est trahir ! Il faut mettre un coup de pied dedans, tricher avec les tricheurs et les imposteurs, les confondre publiquement et les neutraliser. Tout est bon.
Mais il importe de sortir de sa condition de « victime », car on nous pousse à l’auto victimisation. Je le déplore que trop dans les interviews que je réalise auprès de mamans écrasées, qui se posent trop souvent en victime elles-mêmes, à la place de leur enfant, plutôt que d’entreprendre de combattre de façon efficace et donc suffisamment radicale. Pourtant, la vraie victime reste bien l’enfant, que l’on a la lâcheté d’abandonner à ses bourreaux, au prétexte de « rester dans les cordes », et de trop être écrasé soi-même.
Je vous le dis ; affranchissons-nous des codes et dictas criminels, des conditionnements. Cessons de nous complaire dans l’autocensure, rejetons notre condition de « victime » complaisante, d’animal de bétail soumis et content de son sort méprisable. Trouvons en nous le courage de devenir un combattant…   …pour un monde meilleur !    

Stan Maillaud.
Source : http://www.fichier-pdf.fr/2012/02/22/au-coeur-du-terrorisme-d-etat-s-maillaud/

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