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vendredi 10 février 2012
Le calvaire de Marine, violée par des adultes dans sa propre famille, dure depuis six ans dans le mépris des juges pour son drame
10 janvier 2012 | Auteur Jacques Thomet
Les aveux de cette fillette en 2006 sur le viol de son intimité par un oncle et d’autres adultes, puis réitérés ensuite, ont transformé en coupables les grands-parents, dépositaires de ses aveux, et en victimes ses prédateurs dont elle est prisonnière, à cause d’une coalition de facto entre juges, éducateurs, psy, enseignants, tous apeurés par le précédent d’Outreau, malgré les confessions filmées de Marine.
Voici l’histoire de Marine, tristement exemplaire quant au pouvoir des pédophiles dans les décisions judiciaires désormais prises en France sous la terreur des avocats choisis par les prédateurs.
Tous les noms de personnes et de lieux ont été occultés :
Nous sommes des grands-parents en retraite, entourés de six petites filles : Marine 9 ans, A. 7 ans, B. 3 ans, C. 3 ans, D. 2 ans, E. 1 an. Elles sont toutes ravies de venir chez Papi et Mamie. Hélas, il n’y a que cinq petites filles à venir désormais à la maison, Marine en étant isolée par l’acharnement de la Justice.
Tout a basculé le 1er mai 2006.
Un coup de téléphone, une petite voix plaintive au bout du fil, c’était Marine: « Mamie, j’ai mal à mes fesses ». Ce jour-là, j’avais mon fils ainé et sa famille à la maison. Marine a ensuite parlé à sa mère, avec qui j’ai discuté un instant. Son frère était venu passer l’après-midi chez elle, avec Marine présente. Marine semblait perdue, mais je n’ai pas fait attention à ses paroles, bien que j’aie toujours sa petite voix pleine de souffrance dans la tête.
Notre histoire
En 1993, notre second fils X, 20 ans, rencontre une jeune fille de 18 ans, F. Elle était gentille, polie, naïve et triste, Très vite, X ne s’est pas senti accepté par les parents de F.
Mais un grand amour était né entre les deux jeunes gens, devenus inséparables. F., étudiante, lui écrivait des lettres qui le perturbaient. « Avec toi, je revis, mais sans toi, la vie serait finie » lui disait-elle. Elle n’hésitait pas à lui dire que c’était à cause de ses parents. Elle venait passer des weekends très souvent à la maison. Ils étaient heureux ensemble.
En 1995, n’étant pas acceptée en deuxième années d’étude, elle se fâche avec ses parents et décide de vivre avec X. F perd sa mère, quelques mois après. X et F sont restés plusieurs mois à la maison, avec nous, Je l’ai aidée et je l’aimais comme ma fille.
Elle me parlait de son frère K et avait peur de son père H, qu’elle craignait.
Ils ont pris un appartement, et nous les aidions. Un enfant était désiré, mais F me disait que son père ne voulait pas, par manque de moyens de sa fille. Je lui ai répondu : « c’est à vous de décider, ce bonheur n’est pas réservé qu’aux riches ».
Ils se sont mariés en 2000. F. m’a demandé de l’accompagner pour choisir sa robe de mariée. Elle était heureuse. Son traitement hormonal pour avoir un enfant a été couronné de succès. X l’accompagnait. Je me souviendrai toujours de la joie de mon fils m’annonçant que le test de grossesse était enfin positif. Ils nous ont annoncé quelques mois après que c’était une petite fille. C’était la joie, nous qui avions 2 garçons. C’était la première petite fille, mon mari et moi étions heureux
Tous les jours F venait passer ses après-midi avec nous. Mon mari leur rénovait une maison avec un petit jardin, Ils étaient heureux et nous aussi.
En août 2002, Marine est née, avec un mois d’avance, c’était la joie de voir ce beau petit bébé. J’ai gardé Marine à partir de ses 4 mois. Quand elle a eu un an, elle a refusé de partir avec sa mère. Tous les soirs, elle criait et s’accrochait pour ne pas monter dans la voiture de F. Avec son père, ça se passait bien, c’étaient vraiment pénible, mais ayant mis une grande confiance dans ma belle-fille, je n’ai jamais douté d’une maltraitance éventuelle. Je pensais qu’elle se trouvait bien dans le jardin avec nous et qu’elle refusait d’aller dans l’appartement de ses parents, Marine était une petite fille agréable, et très éveillée. Tous les soirs, F venait chercher sa fille, sauf quand elle travaillait de nuit Un soir, elle me dit subitement: « elle parle bien Marine, vous ne savez pas ce qu’elle m’a dit hier soir, mais je sais que ce n’est pas vrai, que papi Y (mon mari, le Papi paternel) la tape, mais je sais que ce n’est pas vrai ». Marine avait entre 18 mois et 2 ans. Je fus très surprise, et ne compris pas. J’ai souvent repensé à cette phrase, sans trouver de réponse. Ce n’était pas vrai, papi Y ne tapait pas Marine, je n’ai jamais entendu Marine le dire.
Elle jouait peu, préférait que je lise des histoires, à 3 ans, elle comptait jusqu’à 50. Elle me disait souvent qu’elle avait un secret, et que son oncle K la tapait. Je ne lui posais pas de questions. La rendre heureuse était mon seul souhait. La famille maternelle était bien, c’était une famille respectable, en qui j’avais confiance.
En août 2005, Marine me dit que sa mère lui faisait comme ça en mettant sa main sur son sexe. Je fus extrêmement surprise et gênée car la scène eut lieu chez des amis. Subitement, Marine fit des dessins de zizis, j’étais surprise, éberluée. J’en ai parlé avec F. qui semblait étonnée. Ensuite, c’est redevenu normal. Tout se passait bien entre nous.
Au mois de mars 2006, à nouveau Marine me dit : « maman me fait comme ça », en montrant avec ses mains son sexe. J’en ai reparlé avec F. brièvement. Et j’ai consulté mon médecin de famille, F. m’a demandé si j’en avais parlé au docteur, je lui ai dit « oui ». Elle m’a dit qu’elle prenait rendez-vous aussi, pour le voir. A nouveau, tout se passait bien.
Puis, le 1er mai 2006, la bombe éclate. Marine est arrivée dans la soirée, accompagnée de sa mère, comme chaque fois que ses parents travaillent de nuit. Le lendemain, la petite a redit qu’elle avait mal aux fesses, en portant sa main sur son sexe avec des grimaces, Le soir, dans son lit, elle me dit à nouveau qu’elle avait mal aux fesses. Quand je lui ai répondu : « c’est de la comédie », elle m’a répondu : « C’est K qui m’a fait mal avec son doigt profond dans mes fesses, et dans la bouche ». K est le frère de la maman de Marine, alors âgé de 17 ans ½.
J’ai téléphoné chez ses parents, j’ai eu sa mère, je lui ai rapporté ce que Marine m’avait dit. Elle n’avait pas l’air inquiète. Elle m’a dit qu’elle appellerait K le lendemain. Apprenant que je venais de téléphoner à sa mère, Marine s’est mise à pleurer et me dit : « c’était un secret, je ne te dirai plus rien ». Je l’ai consolée en lui disant que K ne recommencerait plus. Rassurée elle s’est endormie. Mais toutes les nuits, elle faisait des cauchemars.
X propose alors d’organiser une réunion de famille, afin de protéger sa fille à l’amiable. Le 4 mai 2006, nous nous rendons donc chez notre fils à sa demande. Dès notre arrivée, le grand-père maternel H. laisse Marine avec sa mère dans la maison, et nous demande d’aller dans le jardin pour discuter. Il a monopolisé la discussion et m’a dit : « Il faut arrêter de délirer, cette petite a besoin d’un pédopsychiatre, elle ment ». « Cette semaine encore, elle m’a dit que papi Y la tape, et je sais que ce n’est pas vrai, faites comme moi, ne l’écoutez pas ». Mais cette phrase, c’était la même, exactement la même que la mère de Marine avait utilisé 2 ans avant. Je lui ai dit « mais c’est un complot que vous aviez monté ensemble, pour démontrer qu’elle ment ». C’est le seul moment où il a été déstabilisé. Je suis restée ferme sur ma position, en lui disant que je croyais Marine, et que je la défends. K. disait « qu’il aimait trop sa nièce, pour lui faire du mal ». Le grand père H défendait son fils. F a confirmé devant lui, les propos de Marine au téléphone, puis ils sont partis.
J’ai dit à F. de ne pas soutenir son frère, qu’il méritait une paire de claques. Elle a très mal réagi et m’a donné un coup avec sa main, nous sommes partis. Dès le lendemain, F a quitté son travail pour garder sa fille.
Le 5 mai 2006, une consultation de Marine chez le pédopsychiatre avec ses parents, comme l’avait conseillé le grand père H, ne donne rien. X, le père de Marine, sera tenu à l’écart durant toute cette enquête. Il n’y avait pourtant pas de divorce, ni séparation.
Le 6 mai 2006, j’ai consulté mon docteur qui a constaté le coup, en lui racontant les faits. Le 8 mai 2006, le médecin informe le procureur B., qui ouvre une enquête judiciaire.
Le mercredi 17 mai 2006, l’officier de police judiciaire M. de D. est autorisé à revêtir la tenue civile pour l’entretien filmée de Marine. De 11 heures 12 mn à 11 heures 30 mn, les policiers se trouvant dans les locaux de la Brigade des Recherches de D. ont procédé à l’enregistrement audiovisuel de l’entretien de Marine. Conformément aux dispositions de l’article 706-52 du Code de Procédure Pénale, une copie de cet enregistrement original est réalisée, par gravure sur un CD-Rom Gendarmerie Nationale, identifié par l’inscription ‘Copie’ pour éviter toute confusion avec l’original.
Cotée comme pièce de procédure, cette copie sera mise à la disposition de Monsieur le Procureur de D. en même temps que les autres pièces de la procédure.
Marine est filmée et elle confirme les déclarations faîtes à sa grand-mère paternelle.
K. à mis l’index de sa nièce, puis le sien dans ses fesses (Marine désigne son sexe)
Les faits se sont passés dans la maison de ses parents à Q. en l’absence de son père.
Le film réalisé est gravé sur deux CD-ROM
En raison de la réitération de la révélation des faits par Marine, le procureur de la république de D., prescrit un examen gynécologique.
Le père de Marine ne sera pas informé de cet entretien filmé,
Seule, F. aura la communication de cette lecture, et à la question du policier lui demandant si elle a des observations à formuler sur les propos tenus par Marine lors de l’entretien filmé
Elle répond : « Visiblement, Marine insiste dans ses déclarations. Je ne comprends pas les déclarations de Marine. Pour moi ce n’est pas possible que K ait pu lui faire une telle chose.
Dans cette retranscription, je reconnais les expressions de ma fille Marine »
Le policier revenant sur ce 1er mai 2006, F. déclare que Marine avait dit à sa grand-mère au téléphone, « qu’elle avait mal aux fesses »
C’est encore seule que F. s’entretient avec le gynécologue. Marine ne sera pas interrogée par ce docteur, les circonstances ayant été transmises par l’O.P.J.
Le 19 mai 2006, 19 jours après les faits, une expertise médicale ne conclut que sur la question de la pénétration hyménale en précisant qu’il existe « une incompatibilité de l’aspect hyménal avec les faits allégués (pénétration vaginale digitale profonde) » et laisse entendre que l’enquête préliminaire ne porte que sur les pénétrations vaginales. Les autorités médicales et judiciaires semblent ignorer les viols par sodomie, malgré les précédent d’Outreau où le principal accusé demandait à ses partenaires de ne pénétrer les enfants que dans l’orifice postérieur..
Le 01 juin 2006, dans son rapport d’expertise psychiatrique, le médecin parle de tensions relationnelles entre les adultes antérieurement à cette révélation, C’est absolument faux, il n’y avait aucun conflit avant ce 1er mai 2006 dans le couple.
Marine est restée avec nous du 15 Août 2006 au mois de novembre 2006. J’étais en vacances, mon fils m’appelle pour m’annoncer la nouvelle le 21 septembre 2006 : classement sans suite de notre plainte. Le procureur B. invente un conflit inexistant, et surtout m’invite, dans l’intérêt de l’enfant, à cesser de faire référence à des faits que rien ne permet d’établir. Selon lui, la mère de Marine étant présente, K n’a pas eu le temps de commettre le moindre geste déplacé.
Mais ce n’est pas possible ! Je demande à mon fils de relire le texte. C’est une erreur, pas le moindre doute. Les paroles de Marine ont été mises aux oubliettes. Un conflit parental inexistant a été inventé de toutes pièces pour blanchir l’oncle. Les rôles sont inversés. Je deviens la coupable. De surcroît, le silence m’est imposé. Nous pensons naïvement que Marine est protégée, c’est le plus important. K n’osera peut-être pas recommencer
Le grand père H ne supportait plus que je garde Marine. Un samedi matin, mon fils et sa femme me confient Marine pour la journée. Dans la voiture, F reçoit un coup de fil de son père H, demandant où était Marine. Il s’est mis dans une grande colère au téléphone, en apprenant qu’elle était avec moi, F a pleuré toute la journée au travail.
Le 21 novembre 2006, X trouve Marine en pleurs. Elle refuse de partir chez son grand- père maternel. X prend la défense de sa fille. F à peur de son père et le craint, elle veut conduire Marine chez lui comme convenu avec lui. X s’y oppose, elle se met en colère.
Dans une profonde déprime, F. va chez le docteur et sera mise en arrêt de travail.
Marine avait une grande confiance en moi, et le grand père H le savait. Il avait peur et
craignait que Marine parle encore, ce qui fut le cas. Quelques jours avant, Marine m’avait fait de nouvelles révélations et m’avait dit subitement : « tu me défends, mamie ? ». Je lui ai dit « oui, comme ça on ne te fera plus de mal », Elle avait un visage sérieux, m’a regardée, et m’a dit en pointant son doigt vers le plafond :« si, mamie, K a recommencé plusieurs fois, au même endroit que je t’avais dit ». Elle a compté sur ses doigts, et m’a dit en me regardant : « on va dire cinq fois ». Je lui ai demandé où cela se passait. Elle m’a dit : « dans la chambre du haut, chez papi H ». Je suis restée sans mot dire. Que faire de plus pour protéger Marine ?
F étant en arrêt de travail, je ne gardais plus Marine.
Ce classement sans suite, c’était encourager K à continuer.
Le 13 décembre 2006, mon fils m’appelle, il sortait de la gendarmerie mal en point. Le gendarme lui avait parlé d’une lettre pour menace contre sa belle-famille, puis d’une demande de divorce. Il ne comprenait pas et le policier ne lui a pas donné le droit de s’expliquer ! En rentrant chez lui, il a demandé des explications à sa femme. Il a tenté de se suicider avec des médicaments. Sa femme a appelé les pompiers et il a été conduit à l’hôpital pour y être soigné.
Le lendemain, j’ai été convoquée par ce même policier qui avait remarqué la grande déprime de F et voulait savoir qui en était responsable. Il m’a laissé m’expliquer, tout en me disant à mi-voix que c’était moi qui avais tout inventé, ce policier était correct. Je me suis toujours opposée fermement à tous leurs mensonges, je ne les laisserai pas m’accuser pour protéger des violeurs d’enfants. Mon but n’était que de protéger Marine, que j’avais entendue, vue et que je crois toujours. Ce n’est pas une menteuse.
J’ai pensé à une erreur. J’ai insisté auprès de certaines associations, sénateurs, maires, ministres, députés dont l’un m’a dit : « c’est une affaire privée, dehors » et l’autre m’a répondu : « maintenant, nous n’allons pas recommencer Outreau ». J’ai pris contact avec d’autres personnes que je remercie de leur soutien. J’ai été plusieurs fois convoquée à la gendarmerie, sous la menace de condamnations si je continuais d’en parler, mais je voulais protéger Marine. Elle avait mis sa confiance en moi, je ne pouvais pas l’abandonner. Elle n’avait pas 4 ans.
Dans une audience publique, j’ai dit que c’était une erreur. Le président, la partie civile et la vice-procureure me mettent en garde une fois de plus, en criant tous ensemble : « continuer ainsi pourrait vous valoir une poursuite pour dénonciation calomnieuse ». Ce jour-là, j’ai pris conscience que ce n’était pas une erreur. Marine était en danger, à cause des erreurs de la justice et de ses acteurs. Je ne comprenais pas. La justice devait protéger cet enfant, même dans le doute !
J’ai passé de longues heures, jours et nuits sur internet, et j’ai découvert que d’autres personnes étaient dans le même cas, isolées de l’enfant qu’ils protégeaient. Non, ce n’est pas possible, notre cas n’est pas le même, je refusais de croire qu’on allait nous isoler de Marine, nous qui cherchions à la protéger du crime le plus odieux, c’est impossible. J’étais naïve de croire encore à la justice.
Le 24 décembre 2006, F a laissé seul son mari, pour aller réveillonner chez son père avec Marine.
Le 25 décembre 2006 dans l’après-midi, Marine est venue chercher ses jouets avec son père, elle était triste, portait sa main en permanence vers son sexe, elle a ouvert ses cadeaux et n’a rien dit. Elle est repartie avec son père.
Le 18 janvier 2007, ils sont convoqués tous les trois, Marine, mon fils et son épouse, chez le juge des enfants Z. Il instaure une mesure d’investigation et d’orientation éducative pour Marine, pour une durée de six mois. Il désigne le service de N pour exercer la mesure. L’avocat de X constate que F ne veut pas divorcer.
Le 27 janvier 2007, X vient dans la soirée aider son père, accompagné de Marine. Elle regarde la télé avec sa cousine dans le salon. J’étais dans la cuisine, puis elles arrivent me chercher toutes les deux par la main, pour voir la télé avec elles. A mi-chemin, Marine me dit : « K me prend comme pour me changer, je te montre » puis elle s’allonge sur le canapé et elle me dit : « K me fait comme ça », en mimant des gestes d’attouchements avec ses mains.
Il la prenait comme un bébé pour l’emmener sur un lit, d’après ce qu’elle me raconte alors. Mon fils et son père, revenant dans le salon, entendent Marine, et découvrent les gestes qu’elle mimait. X sort son portable et filme, Marine répond à quelques questions de son père :
- Ça se passe où ? « Dans la chambre de papi H »
- Qui était avec toi ? « K et c’est tout »
Puis elle a donné un détail très important. Ce sont de nouvelles révélations, la 1ere fois chez ses parents en présence de sa mère.
- La seconde fois, ce fut dans la chambre du haut, chez papi H, et une 3éme fois dans la chambre de papi H.
X qui n’y croyait pas, a vu et entendu sa fille, il ne doute plus.
Le 29 janvier 2007, X se rend à la gendarmerie. Il porte plainte contre K en remettant la vidéo aux autorités. Cette plainte ne sera signée que le 2 février 2007. Aucune audition n’a été réalisée par les gendarmes malgré ces preuves filmées (souligné par Jacques Thomet).
C’est le début de la galère pour nous, qui voulons protéger Marine. Sur les conseils d’un policier, X met sa femme au courant de la plainte.
Le 31 janvier 2007, F quitte la maison avec sa fille pour aller habiter chez son père où vit son frère K.
Le 1er et le 2 février 2007, Marine était malade, elle a vomi.
Le 05 février 2007 Marine a fait des révélations à sa maîtresse.
Le 06 février 2007 au matin, les deux parents amènent Marine à l’école, puis dans la matinée, elle a été retirée de l’école par sa mère. Elle sera déscolarisée un mois puis changée d’école.
Par courrier, mon fils apprend que sa femme a fait une demande de divorce le 12 janvier 2007, alors que le 18 janvier 2007, devant le juge des enfants, elle n’avait jamais envisagé de divorcer.
Le 03 mars 2007 le procureur B. se dessaisit au profit du procureur de S.
Le 04 mars 2007, X a déposé une plainte contre H son beau-père. Ce jour-là, il aperçoit sa fille avec ses grands-parents maternels. Marine a voulu venir vers son père, mais son grand père H lui a interdit, et son épouse J l’a prise par la main pour partir. H a pris X au niveau du cou, par ses habits et l’a menacé de lui casser la figure. Il lui a dit: « tu n’as aucun droit sur ta fille, je t’enverrai en prison ». Marine, devant cette scène, s’est mise à pleurer.
Le 11 avril 2007, K agresse X une nouvelle fois. Mon fils porte plainte. Suite à un accord par téléphone avec sa femme, ils se sont retrouvés tous les trois, F, Marine et X, devant l’appartement de F pour une promenade ensemble. Ils se dirigeaient tous les trois vers la voiture de X pour qu’il donne un petit cadeau à sa fille. A ce moment-là, K est arrivé en furie accompagné de trois ou quatre copains. Il a donné l’ordre à sa sœur de remonter chez elle avec Marine, en disant à X qu’il n’avait aucun droit sur sa fille. Face à la rage de son frère, F est partie chez elle, avec Marine. K répétait à X qu’il lui était interdit de venir voir sa fille. X lui expliquant que c’était faux, qu’aucune décision judiciaire n’avait été prise, K l’a roué de coups. Sonné, il s’est réfugié dans sa voiture et a téléphoné à la police,
H le grand père est arrivé, donnant des coups de poing dans la vitre de la voiture, prévenu sans doute par la sœur de F qui est venue habiter avec elle. Avant toute décision de justice, F avait déjà pris attache avec le point rencontre à S, et voulait envoyer X voir sa fille dans cette association.
K a été condamné pour violence une fois de plus.
Au cours de l’audience publique, notre avocat a dénoncé l’expertise douteuse, ce qui a mis leur avocat dans une grande colère. Nous avons failli assister à une bagarre dans le TGI.
Par courrier, notre avocat a signalé à la juge de S. son étonnement concernant l’attitude de cet avocat à son égard, et dénoncé également les pièces qu’il a communiquées lors de cette audience. Elles appartenaient à un autre dossier !
Le 10 mai 2007, une ordonnance de non-conciliation est publiée. X obtient un droit de visite et d’hébergement classique. Une enquête sociale est ordonnée.
Mai 2007: dernière visite de Marine chez son père. Marine pleurait, avait mal au ventre et a vomi. Elle voulait nous voir. Nous nous sommes rendus chez lui. Marine était heureuse de nous voir, mais très fatiguée. Elle est montée se coucher, pleurait beaucoup. Je l’ai consolée, et avant de s’endormir, elle nous a dit que son grand père H, lui avait proposé d’aller faire des dessins, avec lui dans son bureau ce qu’elle avait accepté. C’était pour la taper à coups de poing sur ses yeux et sur la tête, nous a-t-elle révélé. Elle a ajouté que J. était arrivée très vite et qu’il avait cessé alors de la frapper.
Le 18 mai 2007, F aurait écrit à l’inspecteur de l’éducation nationale que le père n’aurait plus l’exercice de l’autorité parentale et ne serait plus en droit d’aller chercher sa fille à l’école
C’est faux, il venait d’avoir des droits.
Marine n’allait plus à l’école les jours que son père devait la récupérer.
Le 1er juin 2007, K agresse encore X. Mon fils porte plainte. Marine n’était pas à l’école alors que son père devait la prendre ce jour-là comme indiqué dans la décision de non-conciliation. Parti inquiet vers l’appartement de sa femme pour demander des nouvelles de sa fille, X s’est retrouvé devant K aidé de trois copains. L’un a maintenu X, pendant que K le frappait à coups de poings, les autres donnaient des coups de pieds dans sa voiture. K a été condamné pour violence, une nouvelle fois.
Le 1ER septembre 2007, X se rend à l’école pour prendre sa fille. Sa femme y est également, avec un dossier sous le bras, en faisant croire que les droits parentaux de X étaient retirés. Devant cet imbroglio, la directrice d’école fait venir les gendarmes qui constatent l’existence de ce faux papier, qu’ils récupèrent, et confient Marine à son père pour le weekend .
Le 25 octobre 2007, une enquête sociale du psychologue V confirme les mensonges du trio de SB et en rajoute encore contre nous. Hélas, dans tous ces copinages, une petite fille est oubliée. Elle est sacrifiée.
Dans son jugement du 20 décembre 2007, la juge de la mise en l’état supprime le droit d’hébergement paternel, et dit que le droit de visite sera au point accueil parents enfants à S.
Le 28 Mars 2008, le TGI condamne X à un mois de prison avec sursis, et 5 ans de mise à l’épreuve pour harcèlements. C’est avec une très grosse difficulté, que son avocat a réussi à faire appel, le TGI de S. s’y opposant, ce qui montre bien que F avait l’intention de nuire, alors que chaque fois qu’il veut voire sa fille, c’est lui qui est agressé par cette famille
Le 09 avril 2008, classement sans suite de la plainte du 02 février 2007 contre K. Ce document est bizarre, aucun nom, aucune référence, pas de greffier, comme s’il s’agissait d’une simple lettre d’un particulier.
Résumé de cette plainte :
Le 29 janvier 2007, X dépose plainte avec vidéo contre K à la gendarmerie.
Le 3 mars 2007, le procureur de D. se dessaisit au profit du procureur de S. Aucune audition des adultes n’a été effectuée.
Un an après, le 21 décembre 2007, seule, Marine est auditionnée devant un psychologue et dit que c’est son papa et sa mamie qui veulent qu’elle dise que c’est K qui lui a fait mal aux fesses, alors que c’est faux.
Suite aux dire de Marine, le substitut du procureur clôt la procédure. La parole de Marine filmée par les policiers est occultée. Marine dit le contraire à S, c’est cette parole que l’on prend pour argent comptant. Pouvons-nous dire que les enfants sont protégés en France, après ce semblant d’enquête ?
Le 8 août 2008, F a assigné X pour obtenir la condamnation de celui-ci au paiement de la somme de 5000 € de dommages-intérêts en réparation du préjudice moral, outre 2000 € au titre des frais pour harcèlements. X n’a jamais harcelé F, mais demandait des nouvelles de sa fille. Il n’a jamais pu exercer son droit de visite et d’hébergement, puisque Marine n’allait pas à l’école ces jours-là.
Un jugement du 22 octobre 2008 par le juge des enfants de S. renouvelle la mesure d’assistance éducative de Marine pour un an, avec l’ASE pour la surveiller.
Le 8 décembre 2008 la vice-présidente du TGI s’oppose à la demande de renvoi de l’affaire à une autre juridiction pour cause de suspicion légitime.
Par courrier du 8 mars 2009, le chef de l’association du point rencontre à S. suspend le droit de visite de mon fils avec sa fille, en invoquant des prises de photos par lui de son enfant, et en reprochant que Marine ait pu téléphoner à sa grand-mère paternelle. Depuis presque trois ans, le patron de ce lieu a cassé les liens entre un père protecteur et sa fille. Après de nombreux courriers, il s’explique ainsi le 10 juillet 2009 : « concernant la prise de photos au sein du point Accueil Parents Enfants.
Notre règlement autorise la prise de photos avec l’accord de l’autre parent. Etant donné l’ampleur du conflit qui oppose Madame F et Monsieur X, nous ne pouvions autoriser Monsieur à prendre des photos de sa fille. Et ce d’autant qu’il s’agissait entre autre, pour Monsieur X. de photographier une griffure constatée sur la joue de Marine ».
Depuis trois ans, Marine est ainsi séquestrée, parce que son père a fait une photo alors qu’elle portait une griffure sur la joue. Que se passe-t-il dans cette association ?
X a eu un accident, par miracle il n’a pas été blessé, sa voiture est devenue incontrôlable
Puis il a subi un deuxième accident. Là encore, il a eu beaucoup de chance, les freins ne répondaient plus. Plusieurs fois, il a constaté des dégradations sur ses voitures qui étaient rayées, pare-brise cassé, aiguille de la radio plantée dans le flexible de frein, Il a déposé plainte.
Le grand-père paternel Y a eu beaucoup de chance lui aussi, il faisait du vélo quand une voiture arrivant à vive allure à foncé sur lui, l’accrochant par la roue arrière. Il a porté plainte et le policier a constaté l’état de la roue.
Le 20 mai 2009, la Cour d’Appel relaxe X après vérification des appels téléphoniques.
On lui reprochait 14 appels en 2 jours dont 9 sans réponses. Aucun propos n’avait été échangé à l’occasion de ces appels. Dans les cinq autres il demandait des nouvelles de Marine, alors qu’il avait des droits d’hébergement non respectés.
Le 9 juin 2009 Le TI condamne X pour non-paiement de pension alimentaire à payer 1500 € à l’avocat de F et ami de la famille maternelle, et déboute X de toutes ses demandes. Tout est fait pour nuire, sa prime de l’emploi a été versée sur le compte de F., il a perdu son emploi, et a donc utilisé cette somme versée à tort pour couvrir quelques mois de pension alimentaire. F en a profité pour porter plainte pour non-paiement de pension alimentaire
Le 7 septembre 2009 convocation comme témoin assisté de la grand-mère paternelle par le juge du TGI.
Le 17 septembre 2009, la juge ne renouvelle pas la mesure d’assistance éducative.
Le 14 janvier 2010, le TGI prononce le divorce aux torts partagés des époux, dit et juge que Monsieur X bénéficiera d’un droit de visite et d’hébergement limité en fonction de l’accord de Madame F.
Le 10 septembre 2010, X a fait appel du jugement rendu le 9 septembre au TGI de S. contre F, le chef du point rencontre de S, l’avocat de F, le président de D, et un éducateur
Le 30 septembre 2010, dans un avis à partie, la juge d’instruction du TGI avise la grand-mère paternelle que l’information paraît terminée.
Mais non, non ça ne se termine pas comme ça,
Je suis gênante, la justice a tenté par tous les moyens de m’imposer le silence, de m’intimider,
Le 27 mai 2011, la juge d’instruction de S. me met en examen pour dénonciation calomnieuse au préjudice de K : « ordonnons le renvoi de la grand-mère devant le tribunal correctionnel, pour y être jugée conformément à la loi du chef susvisé. Dossier transmis au Procureur de S. »
F porte de nombreuses plaintes pour non-paiement de la pension alimentaire et toutes avec un jugement qui condamne X, lequel a perdu son emploi. Ses ressources sont inférieures au barème pour la pension alimentaire, mais il versait 10 % de son revenu.
X a déposé de nombreuses plaintes pour non représentation d’enfants, aucun jugement ne lui a donné raison. Un conflit de couple a été inventé, qui n’a jamais existé, pour dénaturer nos plaintes contre la pédophilie de K.
La justice nous a traînés dans la boue, mon fils et nous depuis cinq ans. Nous vivons la galère à cause des multiples anomalies de la justice, des mensonges, des disparitions de preuves, et de l’acharnement dans de nombreux jugements inutiles et coûteux.
Nous n’avons pas volé, pas tué, nous demandons de protéger Marine.
L’inceste, c’est un crime.
Et c’est contre ce crime que je veux protéger ma petite fille.
Je crois Marine et j’ai pris son parti, c’est ce que la justice me reproche.
L’affaire a été étouffée.
Cela fait cinq ans que Marine est seule avec ses prédateurs...
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