mercredi 29 février 2012

Europe Que font-ils contre?

Europe : Que font-ils contre la pédocriminalité ?









L’Allemagne intensifie sa lutte contre la pornographie infantile sur le net.
22/04/09 20:15 CET
Le gouvernement allemand vient d’adopter un projet de loi visant à lutter contre la pornographie infantile sur internet. L’Allemagne donne ainsi un cadre légal à l’action déjà menée par les principaux fournisseurs d’accès. Sept d’entre eux, qui représentent 75 pourcent du marché, ont déjà signé un accord avec la police criminelle. Ils s’engagent à empêcher l’accès des internautes aux sites que leur signaleraient les enquêteurs.Concrètement, une liste de sites interdits sera mise à jour quotidiennement par les enquêteurs. L’internaute qui tentera d’accéder à l’un de ces sites obtiendra un message d’erreur, sans que son adresse IP soit communiquée aux autorités.Copyright © 2011 euronews
Pologne : les députés adoptent une loi sur la castration chimique obligatoire des violeurs pédophiles.
25/09/09 18:33 CETImposer une castration chimique à une personne condamnée en Pologne pour viol sur mineur de moins de 15 ans ou sur un membre de la proche famille. C’est ce que contient une nouvelle loi adoptée par la diète, la chambre basse du parlement polonais ce vendredi. Elle précise que le tribunal pourra décider d’infliger une thérapie pharmacologie et une psychothérapie au détenu, une fois sa peine de prise purgée.
Les députés ont voté quasiment à l’unanimité. Seul un élu a voté contre et deux se sont abstenus.
Le ministre polonais de la justice a indiqué que son pays était au premier plan en Europe parmi ceux qui n’allaient pas tolérer les comportements pédophiles et ce type de crimes contre les enfants polonais”.
Si la loi est approuvée par le sénat et obtient l’aval du président de la république, la Pologne deviendra le premier pays de l’Union européenne a imposer des traitements médicamenteux pour les violeurs pédophiles. Et ce, au grand dam de défenseurs des droits de l’homme.
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X-Kriss : Sites Pédocriminel.

"Faillite" du X-Kiss
Lors du verdict en date du 17 octobre 1996, Tielemans, Eduard, né à Anvers, faisant du commerce sous la dénomination "X-kiss", à l'avenue de l'Yser 18/20, 2060 Anvers-6, H.R. Anvers 302936, est par intimation, déclaré en faillite.
Rechter-commissaris : Le Mme. Van Herk.
Le curateur M. Geerinckx, Sint-Augustinuslaan 3,.2610 Wilrijk (Anvers).
Date de la cessation de paiement : 17 avril 1996
Dépot au gref: le 6 novembre 1996.
Le curateur, Geerinckx

Site : http://www.x-kiss.be/index.html

Monde : Opération Koala 2006.

Ils sont belges, néerlandais, ukrainiens, avocat, professeur ou père de famille. La police européenne met fin à un trafic de documents pédophiles.

Europole, la petite sœur d’Interpole, la police Internationale, a mis fin, ces dernières heures à un trafic de documents pédophiles mettant en scène des enfants de 9 à 16 ans. Parmi les jeunes victimes, deux belges et vingt-et-un ukrainiens.

Le coup de filet anti-pédophiles de l'opération ''Koala''
ANNE-CHARLOTTE DE LANGHE - Figaro (FR)

Parce que les tout premiers indices étaient venus d'Australie, l'opération a judicieusement été baptisée opération «Koala ». Le coup de filet contre un réseau de diffuseurs et de détenteurs d'images pédopornographiques, réalisé entre lundi et mercredi sous la houlette d'Europol (Office européen de police), s'est déroulé sur l'ensemble du continent européen, aboutissant en France à l'interpellation d'une vingtaine de suspects. Après de longues auditions, ceux-ci ont été mis en examen et deux d'entre eux écroués.

L'enquête, ouverte en 2006 avec d'infinies précautions, avait pour but de mettre un terme à la diffusion massive par certains internautes de millions de photos mettant en scène des enfants. Rôdées à l'infiltration sur le Web, les équipes de l'Office central de répression des violences aux personnes (OCRVP) avaient, au fil du temps, réussi à identifier une quarantaine d'adresses d'utilisateurs français parmi les 3 000 repérées en Europe. Pour autant, tous n'ont pas pu être ciblés : afin de brouiller les pistes, la moitié des suspects téléchargeaient leurs images ou leurs vidéos à partir de cybercafés.

Trahi par son accent
Coordonnant les investigations menées par diverses directions interrégionales de police judiciaire, l'OCRVP a ainsi pu faire main basse sur plusieurs lots de matériel informatique. Perquisitionnant au domicile d'un homme d'une trentaine d'années, les policiers ont notamment saisi un serveur contenant 1,5 million de clichés pédopornographiques. Informaticien, ce célibataire était hébergé par ses grands-parents.

Parmi les suspects figurent également trois hommes mis en cause dans le cadre de voyages à l'étranger. Adeptes des destinations asiatiques, et principalement du Cambodge, ils profitaient de leurs escapades pour s'adonner au tournage de scènes érotiques avec des mineurs. Un ancien médecin radié de l'Ordre et expatrié en Thaïlande a ainsi été interpellé au moment où il posait le pied sur le sol français.

En Belgique, un père de famille a quant à lui été trahi par son accent flamand, clairement identifié par les enquêteurs de Bruges lors du visionnage d'un film intercepté sur la toile. Habitué à mettre en scène les relations sexuelles qu'il imposait à ses propres filles - âgées de 6, 8 et 10 ans -, il aurait reconnu être en contact avec un cinéaste italien, lui-même fournisseur de vidéos pornographiques tournées avec des mineurs en Ukraine. Une grosse partie des investigations devrait d'ailleurs se tourner désormais vers l'identification des producteurs alimentant ce type de réseaux, généralement actifs dans une dizaine de pays au moins.

En 2005, l'opération «Icebreaker», elle aussi conduite par Europol, avait permis l'interpellation de quinze Français, dont un gendarme et un instituteur. Selon les pays, la détention de documents à caractère pédopornographique est punie d'un mois à trois ans de prison. En France, leur diffusion peut en valoir dix..  La police a en sa possession une liste de 2.500 clients repartis en 19 pays.
La police a saisi des milliers d'ordinateurs, vidéos et photographies.
Le chef de ce réseau, un italien connu sous le pseudonyme de Tailor made, agissait en Belgique et au Pays-Bas.
Il possédait un studio en Ukraine.
L'opération continue et il y aura probablement d’autres arrestations. (BBC)

Démentèlement d'un réseau sur internet (Opération KOALA)

Victor Hissel: avocat des familles victimes dans l'affaire Dutroux fait partis du coup de filet "KOALA"

L'avocat liègeois de Julie et Melissa, Victor Hissel dit "Le Chevalier Blanc" a été inculpé pour détention de matériel photo et vidéo à catactère pédo-pornographique. L'opération "KOALA" ayant pu remonter jusqu'à son ordinateur. à noter qu'il y a plus d'une vingtaine de personnes en Belgique qui ont été inculpées grâce à ce coup de filet... Seul l'identité de Victor Hissel a été révélée publiquement...

À l'issue des plaidoiries dans le proces de pédophilie contre  Pascal Taveirne au tribunal correctionnel brugeois, le maître Joris Van Kouter a dit que son client n'est plus vu comme le leader d'un réseau international dans kinderporno. L'homme de 37 ans de Assebroek a laissé ses propres filles de 9 et 11 ans jouer dans les pornofilms qu'il faisait avec un Italien.

Aussi pour l'épouse de Pascal Taveirne, le ministère public la peine maximale a aussi exigé deux an peine de prison effective pour ne pas avoir assisté ses filles. Elle ne serait pas intervenue aux moments où il abusaient de ses filles et les laissait tourner dans les seksfilms.

Le standard, 15.1.08

AVoir :
Belgique : L'avocat Victor Hissel des victimes de Marc Dutroux mis en examen.
Belgique : Romain Hissel acquitté.
Belgique : Affaire Dutroux.
Belgique : Affaire Dutroux SYNTHESE.
Monde : Affaire Koala.
Affaire Pascal Taveirne

Pat Vaillancourt : Tour d’horizon...


La pédophilie se retrouve dans TOUTES les sphères de notre société.
Je commence donc avec une des pires qui existe.
Sur cette série,

1 et 2 seront sur les sectes sataniques PRÉSENTE PARTOUT inclus au Québec. (Cela vous expliquera surement pourquoi de jeune enfants disparaisse sans que nos autorités puisse les retrouvés)
3 et 4, sur la cyber -pédophilie
5 et 6, Sur la pédophilie incestueuse et les lois qui l'aient protège
7, La pédophilie d'état
8, La chose qui me trouble le plus au monde, je vous en garde, non pas la surprise, car il ne s'agit pas d'une surprise, mais je vous garde de détails pour le moment!

Les sectes sataniques 1/2//8

Les sectes sataniques 2/2//8












Décadence mondiale

Ce que les Belges ne doivent pas savoir……
Des Ballets Roses à l’affaire Dutroux.
Compilation des informations glanées dans les journaux, le Dossier Bis Dutroux (PV), le livre  « Ce que les Belges de doivent pas savoir » et des articles disparates Google et Facebook.
I. Affaire Dutroux, listing des évènements. Chronologie.
1980 Dossier Pinon – voir affaire Pinon, Ballets Roses.
1983  Dutroux épouse Michelle Martin
1983 juin, Dutroux attaque une femme de 55 ans, sévices à caractère  
        sexuel
1984 Dutroux arrêté pour faits de 1983 et relâché par le Juge Lacroix pour
         manque de preuves !
1984, naissance de leur premier enfant
1984 13 février, la police retrouve le corps de Christine Van Hees, d’après
         renseignements et recoupages, tuée par Nihoul et Bouty, affaire de la
        Champignonnière de Boistfort.Trois témoins l’ont vue avec un certain
        Marc.
1984 Trois jours après cette découverte, Dutroux ouvre un  compte au Crédit
         professionnel du Hainaut et y dépose une grosse somme.
1985 Durant un an, de 1984 à 1985, Dutroux va enlever, filmer et violer 
         plusieurs jeunes filles.
1986 Dutroux, Van Petegem et Martin sont arrêtés et se retrouvent devant  
        le juge Lacroix. C’est l’époque des Tueurs du Brabant….
1986 Passent en appel devant le magistrat Agnessens de Mons, lui-même
        apparaissant depuis les années 1970 dans diverses histoires de
        mœurs, il jugera ces viols en simples délits. Dutroux écope de 13 ans.
        Libéré en 1992 Melchior Wathelet
1987 Dutroux en prison pour malversations
1992 Dutroux libéré par Melchior Wathelet alors Ministre dela Justicequi
        deviendra  Juge Européen à Luxembourg
1992 Disparition de Loubna Benaïssa à Ixelles – connection entre Patrick
        Derochette, violeur et l’entourage de Dutroux.
1993 Information vers le juge Lorent : Dutroux aménage des caches dans ses
        maisons. Perquisitions négatives.
1993 Régina Louf propose son livre chez un éditeur, refusé.
1994, janvier,  opération Décime, soit surveillance de Dutroux.
1995 24 juin, Julie et Mélissa disparaissent.
1995 juillet, Dutroux soupçonné – plus tard – de plusieurs tentatives
        d’enlèvements de jeunes filles à Trencin, Slovaquie.  Diakostavrianos
        Michaël pourrait avoir joué un rôle primordial.
1995 8 août, réunion de coordination judiciaire pour l’affaire Julie et
         Mélissa
1995 22 août, disparition de An Marchal et Eefje Lambrecks
1995 22 novembre, enlèvement de Caroline à Obaix, violée et tuée de suite. Un policier, directement sur place accuse Dutroux. Mais peut-être
         est-ce Weinstein et dans ce cas la raison de son meurtre par Dutroux ? 
1995  Novembre. Empoisonnement de Bernard Weinstein par Dutroux et
         Michelle Martin, endormi et enterré vivant.
1995 L’inspecteur Zicot reprend l’affaire, mais lui semble déjà impliqué
        dans le trafic de voiture avec Dutroux etla RoyaleBelge.
1995 Dutroux est arrêté pour vol et séquestration de complices. En prison.
1995 13 décembre, et 6 jours plus tard, perquisition chez Dutroux par  
         Michaux qui prétend n’avoir rien vu ni entendu.
1996 20 mars, Dutroux sort de prison, pour cause, Michelle Martin vient
        d’accoucher.
1996 9/8 enlèvement de Laetitia
1996 10/8 Nihoul donne à Lelièvre pour 250.000 Frs de pilules d’ectasy
1996 9 août enlèvement de Sabine Dardenne
1996 13 août Dutroux, Martin et Lelièvre sont arrêtés.
1996 13 Nihoul tél à Dutroux mais c’est un gendarme qui répond et Nihoul
         s’enferre.
1996 15 août, libération de Sabine et Laetitia
1996 16 août arrestation de Michel Nihoul, complice.
1996 17 août découverte des corps de Julie et Mélissa.
1996 22 août, enterrement de Julie et Mélissa
1996 26 août, la police arrête son propre informateur Claude Thirault pour
         complicité avec Dutroux.
1996 3 septembre, découverte des corps d’An et Eeftje chez Weinstein.
1996 14 octobre, le juge Connerote déssaisi de l’affaire à cause d’un
        spaghetti.
1996 Octobre Marche Blanche
1996 14 octobre, proposition de commission parlementaire pour revoir
        toute l’enquête.
1996 fin d’année, Rudolf Gadjos directeur d’Interpol en Slovaquie prévient
        les autorités belges que Dutroux est accusé là-bas du meurtre d’une
        tzigane ?
1997 5 mars, découverte du corps de Benaïssa Loubna, jeune marocaine de
        9 ans.
1997 14 avril premier résultat de l’enquête (revoir et analyser)
1997 fin d’année, Marc Verwilghen énonce : trois mouvements sont en
        route, canaliser, récupérer et ridiculiser… des dossiers et cassettes
        disparaissent, la gendarmerie fait tout pour défendre ses intérêts.
1998 23 avril, évasion de Marc Dutroux
1998 De Baets et Bille, les enquêteurs de Neuchâteau ont été décrédibilisés
        et réhabilisés en 2001

Date inconnue, Dutroux arrêté à la frontière luxembourgeoise avec sur lui des K7 porno. Relâché dès le lendemain sur injonction d’un ministre belge.

II. Affaire Pinon alias Ballets Roses
Chaque homme en phase de divorce se rappelle souvent presque littéralement de la dernière conversation avec son épouse. Pour le psychiatre bruxellois, André Pinon, c'est pire. Ce dialogue entre lui-même et sa femme Josiane Jeuniau est le point de départ d'une affaire qui transformerala Belgiquede ce pays paisible de la bière et des frites en une nation de complots, d'intrigues, de meurtres non résolus et de partouzes. C'est ici, sur les rives du lac de Genval que commence, le 30 août1979, l'histoire des Ballets Roses.

La fine fleur du royaume

André Pinon joue avec un stylo voyant, le tient devant la bouche de sa femme, comme un micro - ce qu'il est effectivement. Trois cents mètres plus loin, un détective enregistre la conversation sur bande magnétique.
Cette opération àla James Bonda été décidée après que le couple ait comparu deux jours plus tôt devant le juge de la jeunesse de Nivelles et qu'André Pinon ait bluffé : « Je sais tout ». Sa femme a brutalement pâli : « Vraiment tout ?! » Elle raconte alors des ébats sexuels avec douze partenaires, hommes et femmes ensemble, dans la villa de son nouvel amant, le documentsteur Bettens. Elle cite quelques personnalités, parmi lesquelles un haut placé dela Sécuritéde l'État et le documentsteur Crokaert de Waterloo. Pinon espérait qu'elle refasse son récit, mais elle se contente d'avouer que Bettens organise des partouzes tous les vendredis. Le stylo commence à lui paraître suspect. La discussion se termine par une dispute éclatante. Pinon est toutefois satisfait du résultat. Cela suffira pour obtenir la garde des enfants, pense-t-il.
Il l'est moins quand il rentre le 7 septembre chez lui pour constater qu'on l'a cambriolé. Une seule chose a disparu : la cassette. Il obtient toutefois une copie chez le détective, et se rend à la police. Le 10 octobre, sa plainte aboutit au parquet de Nivelles et se voit attribuer le numéro de dossier 38.91.1005/79.

Premier "suicide"

Cinq jours après l'entretien du lac, la femme de chambre de l'Holiday Inn de Machelen malmène la serrure de la chambre 419, fermée à clé depuis deux jours. Sur le lit, elle trouve le cadavre de Anne Dedeurwaerder, 44 ans. Par terre, un flacon de Vesparax, vide. Le parquet de Bruxelles conclut au suicide. La dame en question était l'épouse du documentsteur Crokaert.
Lorsque Pinon apprend la nouvelle, il n'en démord plus, il y a quelque chose derrière tout cela. Le nouveau substitut nivellois, Jean Deprêtre empêche que la cassette soit versée au dossier de divorce et le juge de la jeunesse confie la garde des enfants à l'ex-femme de Pinon. Celui-ci répète son histoire à qui veut l'entendre. C'est ainsi qu'il rencontre Christine Doret. Elle a également été impliquée dans une procédure de divorce auprès du même juge de la jeunesse. Cette femme de 31 ans lui raconte qu'elle a participé, avec son ex-femme d'ailleurs, à des partouzes où se défoulait la fine fleur de l'establishment belge : l'ancien Premier ministre Paul Vanden Bœynants, Guy Mathot, le général de gendarmerie Beaurir, les promoteurs immobiliers très proches de VdB, Charly De Pauw et Ado Blaton, ainsi que le prince Albert. Christine Doret affirme même qu'il y avait des enfants, dont deux se sont suicidés. Le juge de la jeunesse les a sélectionnés dans des hômes et "livrés".

Ça flambe au journal  « Pour »

André Pinon s'adresse alors à Jean-Claude Garot de l'hebdomadaire de gauche Pour. Ensemble, ils décident d'organiser le 18 juin 1981 un souper avec Christine Doret. Ne se doutant pas que Garot immortalise ses paroles sur un dictaphone, elle déballe à nouveau son histoire. Les partouzes se déroulaient au golf club de Bercuit, chez le documentsteur Bettens et dans des villas à la côte. Elle parle également du "meurtre de madame Crokaert". Lorsqu'en fin de soirée, Garot se présente comme journaliste, elle réagit violemment. Elle niera tout, dit-elle, quoi qu'il arrive.
Le matin du 5 juillet 1981, un incendie ravage la rédaction et l'imprimerie de Pour, installées à Ixelles. On y avait jeté quelques cocktails molotov. Le 10 juillet, Jean-Claude Garot relate les faits à la justice. Quelques jours plus tard, toutes les conversations tournent autour des Ballets Roses. Mais quelle est donc l'origine de ce terme ? Hugo Coveliers, spécialiste VLD du dossier, explique : C'est le terme consacré pour désigner des partouzes. Rien à voir donc avec de la confiture, bien qu'il ait été question d'ébats dans la confiture rose. J'ai un jour fait une blague à cet égard lors de la commission sur les tueries, suite à quoi VdB s'est adressé à moi d'une voix sonore en disant : "Moi, je ne pédale pas dans la confiture !".
Le 20 juillet 1981, les enquêteurs belges se rendent surla Côted'Azur où Christine Doret passe ses vacances. Si celle-ci se rappelle de la soirée, elle affirme avoir tout inventé. Elle avait pitié de Pinon qui ne pouvait pas accepter le verdict du juge de la jeunesse. Et pour ne pas lui refuser le plaisir de sa théorie du complot, elle a répété ce qu'il lui avait soufflé.

Le juge classe le dossier

Aujourd'hui, à la lecture du dossier Pinon, le seul sentiment qui subsiste est que l'on a en mains le fameux dossier qui a fait couler tellement d'encre. L'on serait tenté d'approuver l'affirmation selon laquelle ce n'est que l'illustration pénible de ce à quoi peut mener un divorce. Il apparaît des interrogatoires de Bettens et de Crokaert que la femme du dernier entretenait une liaison avec le premier. Qui rompt, suite à quoi elle se suicide. Point à la ligne. Lors d'une perquisition chez le documentsteur Bettens, l'on a retrouvé le livre d'or dans lequel, affirmait Christine Doret, se trouvaient les noms de tous les partouzeurs. La description correspond parfaitement, mais les noms de VdB et de Mathot n'y apparaissent pas. Fin 1981, Jean Deprêtre classe le dossier 38.91.1005/79 sans suite. Plus tard, il s'avère que l'incendie du « Pour » a été provoqué par le Front dela Jeunesse, davantage pour les révélations du journal concernant les camps d'entraînement fascistes que pour celles du dossier Pinon. Le FJ était toutefois partiellement financé par le baron Benoît de Bonvoisin, extrémiste de droite. Beaucoup établissent alors rapidement le lien avec le dossier Pinon. Les doutes subsistent. Jean-Claude Garot a déposé son enregistrement à la police judiciaire (PJ) le 21 juillet 1981. Christine Doret n'y apparaît pas vraiment comme une affabulatrice.
Garot : Ce n'est pas que je ne te croie pas, mais...
Doret : Mais parce que... (s'adresse aux autres) Mais parce que... il n'a jamais vécu ce genre de choses. Il n'a jamais fréquenté ces milieux. On ne peut pas les connaître alors.
III   Affaire Westland New Post  - Paul Latinus
Paul Latinus pendu
Le 25 avril 1984, on retrouve le cadavre de Paul Latinus, dirigeant du mouvement d'extrême-droite Westland New Post, pendu dans sa cave. Latinus était un personnage controversé. Le WNP infiltrait la sécurité de l'État, n'hésitant pas à subtiliser des télex ultra-secrets à l'OTAN. En dehors de Deprêtre B à nouveau chargé de l'affaire B et du magistrat bruxellois Jean-Pierre Jaspar, personne ne croit au meurtre. Le commissaire bruxellois de la police judiciaire (PJ), Georges Marnette, est arrivé le premier sur les lieux et continue à affirmer que la corde à laquelle pendait Latinus était trop court.

Six mois avant sa mort, Paul Latinus avait déposé plainte auprès de la gendarmerie pour "menaces de mort dans le cadre du dossier Pinon". Dans ses affaires personnelles, l'on a retrouvé des notes visiblement recopiées du dossier 38.91.1005/79.
Le morceau d'un puzzle
À partir de 1984, il est impossible d'arrêter le flot des spéculations. J. Deprêtre annonce brutalement qu'il n'existe pas de dossier Pinon. La PJcommence à surveiller quelques adresses citées dans le dossier. On fait beaucoup de bruit autour d'un mystérieux enregistrement contenant une conversation entre Pinon et un avocat. Le commissaire Marnette rafle la cassette sur le bureau d'un collègue et lorsqu'elle réapparaît, elle est vide. Des choses dans le genre. Il est certain que les Ballets Roses ont eu lieu, a décidé la commission-bis sur les tueries. Il n'est toutefois pas prouvé que des mineurs étaient impliqués.
Les journalistes qui se sont occupés de l'affaire dans les années quatre-vingts sont convaincus que le dossier Pinon était une sorte de code avec lequel la racaille d'extrême-droite essayait de faire chanter la classe politique.
Le pays semble avoir retrouvé sa quiétude, jusqu'à ce que, le 13 février 1990, VTM commence son journal du soir par un close-up sur le visage fatigué d'une Française. Elle a 42 ans et s'appelle Maud Sarr. En prime-time, elle explique comment des gens comme VdB, Deprêtre, Jaspar et le commandant de gendarmerie François ont participé à des partouzes avec des mineurs. Les déclarations de Maud Sarr semblent répondre à de nombreuses questions plus anciennes des dossiers Asco, Eurosystems, Latinus et Pinon, mais à peine une semaine plus tard, l'on apprend que Mme Sarr s'est fait payé par le journaliste de VTM. La somme est ridicule B elle ne fait rien pour rien B mais cela devient plus gênant lorsqu'il s'avère qu'elle a déjà témoigné devant la justice et que deux jours après son apparition télévisée, elle revient sur ses déclarations. Entre-temps, VdB lui-même a comparu devant la commission sur les tueries. Bon nombre voit dans la venue soudaine de Maud Sarr une manœuvre pour permettre à VdB de se moquer de toutes ces fariboles.
Suite au témoignage de M. Sarr, on ressort à nouveau le dossier Pinon et le parquet bruxellois décide d'y faire une fois pour toutes la part de vérité et de fiction. Avec pour conséquence que les questions sans réponse sont encore plus nombreuses. Christine Doret n'a plus jamais été entendue après 1981. Personne ne sait ce qui a poussé Maud Sarr a rétracter son histoire. Le colonel de gendarmerie Herman Vernaillen, sur lequel on (les Tueurs ?) avait tiré auparavant, affirme qu'il a vu de ses propres yeux une cassette avec des Ballets Roses, mais ensuite ne se manifeste plus. Plusieurs photos surgissent sur lesquelles apparaît Jean Bultot - un suspect dans plusieurs pistes sur les Tueurs - en train de sautiller dans la confiture, mais personne ne peut confirmer qu'il s'agit bien de lui. Tel le monstre du Loch Ness, les Ballets Roses se mêlent à chaque nouvelle affaire importante. L'affaire Dutroux a-t-elle à peine éclatée qu'il s'avère que Michel Nihoul est un amateur de partouzes.

III   Affaire des témoins X du Dossier Bis Dutroux
Les témoins X
Les enquêtes d'alors paraissent inconsistantes quand fin 1996, Regina Louf et ses consœurs spirituelles X2 et X3 témoignent à Neufchâteau de l'existence de réseaux du sexe. Les informations correspondent parfaitement aux hypothèses d'alors ; mieux, elles sont plus précises et détaillées. Dès 1989, Maud Sarr évoque des enfants qu'elle a vu dans les années septante lors de partouzes à Knokke et dont personne ne savait d'où ils venaient. Regina Louf a grandi à Knokke. Les noms cités par les X sont pour la plupart identiques à ceux des déclarations de Sarr, Doret, Pinon et autres. Il y a fort à parier qu'un beau jour, quelqu'un soulèvera le dossier X3. La famille royale y joue un rôle important.
X3, comme X2, décide de se taire lorsqu'elle se rend compte que la cellule d'enquête de Neufchâteau s'est également divisée. Certains estiment que l'affaire est un peu trop belle pour être vraie. Au cours de l'année 1998, une foule de communiqués affirment que les enquêteurs ont "aidé" leurs témoins, d'autres font part de faux PV. Les enquêteurs qui, avec une délectation sardonique, déclarent folles les témoins X sont souvent les mêmes qui ont nié pendant des années l'existence des Ballets Roses. En Belgique, il est impossible d'enquêter sur certaines affaires, affirme Hugo Coveliers. Alors, on les tire en longueur pendant des années.impossible.

Le documentsteur Pinon ne s'est mêlé que brièvement au grand débat Dutroux/Nihoul. Il croit se rappeler que deux PJ-istes lui avaient déjà demandé vers le milieu des années quatre-vingts s'il connaissait Nihoul et le "bourreau de Mons". Le documentsteur Pinon vient d'acheter une maison au Portugal. Sur le point d'émigrer, il ne veut plus jamais rentrer en Belgique. Jean-Claude Garot est aujourd'hui.

IV  Affaire de l’Arche de Zoé

V   Affaire SOS Sahel - Sté de Nihoul -

VI  Affaire Bouty et Associés

VII   Affaire D’Outreau

VIII  Affaire Enfants de Dieu.
Secte qui prône la pédo débordante. En 1993, 43 de leurs dirigeants seront arrêtés, et malgré de nombreux témoignages, furent libérés faute de preuves ! Devenue la secte « Famille » Impliquée dans l’enlèvement de la petite Brichet.

IX. Affaire Walsh
Traitée parla BSR. Nihoulétait informateur dans cette affaire. Il
s’agissait d’un anglais attrapé avec des amphétamines et 5.000 pilules d’ectasy ce qui n’apparut pas dans le pv et elles disparurent. Toutefois elles seront retrouvées chez Nihoul (cachées dans un pneu chez Bounty) et chez Lelièvre ?

X. Affaire Casa Pia
Au Portugal, pédo au sein d’une institution de pupilles de l’Etat impliquant des personnalités. Loi du silence pendant près de 30 ans. Principal inculpé, Carlos Silvino cumule 630 faits de violences sexuelles, libéré après 3 ans de préventive

XI.  Affaire American Medical Aid for Children Overseas.
Association américaine datant de 1972, envoyait de l’argent àla CasaPiaet emmenait les enfants pour étudier eaux USA (8)Visas en 2 jours sous le dictateur Salazar. Enquête faite, cette asso n’existe pas, il s’agit donc d’une filière. Les enfants disparaissent.

XII  Affaire Coral – Réseau -

XIII  Affaire Ganumède

XIV  Affaire Child Focus

XV  Affaire Cries/ Unicef – Réseau -
Acronyme de "Centre de Recherche et d’Information sur l’Enfance et la Sexualité" a été fondé par Philippe Carpentier, ancien traducteur juré au Parquet de Bruxelles. Le CRIES couvrait 18 pays, quand il a été exposé en 1986, avec un studio de production de pornographie d'enfants et un laboratoire pour le développement des photos, dans les locaux de l'UNICEF Belgique. Domicilié Chaussée d’Ixelles à Bruxelles, dans un immeuble qui abrite également "Infor-Homosexuelité" et "Radio Antenne Rose", il partageait son carnet d'adresses, avec les réseaux Zandvoort, Spartacus et Christ Libérateur. Le CRIES était également éditeur de la revue "L’Espoir", illustrée de pédopornographie "soft" et faisant l'apologie de la pédo. Seuls 25 enfants, exploités sexuellement à raison de 20.000 FB (500 euros) ont été retrouvé, pour une production de 4000 photos de pédopornographiques, dont certaines seront retrouvées dans le fichier Zandvoort. Deux personnes mises en cause dans le CRIES, avaient connaissance de faits sur l'enlèvement d'Elisabeth, victime de Fourniret: Jean-Marc Houdemont et Jacques Delbouille.

XVI  Affaire ONE

XVII  Affaire Christ Libérateur

XVIII  Affaire Opus Dei
L’abbaye de Maredsous fait une enquête sur eux et des documentsuments et autres pc sont volés, sans doute par Malines le 23/8/99

XIX  Réseau pédocumentsriminel de Jersey
Réseau pédocumentsriminel présumé être allié à Zandvoort, exposé par le Sénateur Syvret et l'enquête du policier Lenny Harper dans le cadre d'abus au sein de l'institution pour enfants "Haut de la Garenne". L'affaire, qui annonçait un traitement normal, s'est avérée objet du traditionnel sabotage judiciaire, avec calomnies des personnes qui l'ont exposée. 

XX  Affaire Unesco

XXI  Affaire Club Dolo/Atrébates

XXII  Affaire S.O.S. enfants

XXIII  Affaire Sté Logital
De Corvilain Roland. Servait de façade à un trafic d’enfant, fréquenté par Nihoul, un ami de Haemers, Michel et Achille,Vander Elst, impliqué, dénoncé par témoins x

XXIV  Affaire C.R.A.S.C.
Responsable Freddy Gazan Centre pour venir en aide aux pédos. Centre qui a rencontré de nombreux problèmes au niveau des autorités pour stopper son action.

XXV  Affaire CEPIC
Antenne du PSC qui s’occupe de jeunes en politique … Edouard Nihoul, pâtissier de la Cour, mais aussi politique, a été à la tête du Cepic un moment. Extrême droite.

XXVI  Affaire Peteers de Tandt
Vaste système de chantage et corruption qui couvrirait aussi les procès Sabena, Fortis, Sobelair, banque Belgolaise, Donaldson, et l’affaire Salik/Kid Cool  et impliquant avocats, magistrats et dirigeants d’entreprises.
Abraham Patrick est l’ancien propriétaire de la chaîne de mag. Kid Cool, mal jugé  au profit de Salik par la juge De Tandt,  jugement cassé par le tribunal de Cassation.

XXVII  Affaire Cercle des Nations / Cercle de Lorraine

XXIII  Affaire CDN remplacé par le CDL en 1998

XXIV  Affaire Bilderberg

XXV  Affaire Optimistan

XXVI  Affaire Ecole du Merveilleux
Créée par l’avocat Vande Elst (pédo)
Sur le stèle de marbre sont gravés les noms suivants : Renaud D’Hondt, Julien Adam,Thomas Deplace, Stuart Wrathall, Bilbo Bartholemy, Thierry Fafchamps, Noé Leloup, Bruno Vagenhende, Jeremie Daels, jérémy Javierre, Simon Vansteenwinckel, Gaëtan Van grundebeek, Daniel de Bonvoisin, Jean Luc Dollet, Nicolas Hermant, Severine Vanwaeyenberge, Fred Siebrand, Laurent Galland, Laurent Brasseur, Geoffrey Simon, Frédéric Genet, Colas Fizman, Frédéric Hameleers, Ide Titane, Maud Barbé, Thomas Lefèvre, Gilles Pondant, Jean Hummler…..

XXVII  Affaire Asbl  SAJ  Autrement
Des magistrats sont impliqués dans cette asbl.
De Jemeppe, mais aussi De Raemackers.
Institut Le Bazaar, qui est un bordel
Des institutions connues téléphonaient à ce bordel : les Scouts Catholique, l’ONE Pour proposer des enfants.

XXVIII  Life Skills Compagny alias Itaca International
Solvay Denis né le 1/7/1957, vice président du groupe Solvay.
Directeur de Eurogénétic société de biotechnologie
Habite le château des Amerois  près de Bouillon. Les gens de Muno servent au château.
Forme une société avec Alexander de Wit le 3/7/2001 appelée ITACA International
Actionnaire principal de The Little gym, activités pour enfants, camps d’été et autres vacances. Le 1er mai 2004, la sté Itaca déménage à Bertrange 5 rue Pletzer. Avant de s’appeler Iataca, cette sociéé s’appelait « Life Skills Compagny » soit, la sté de l’art de la vie ? qui appartenait aussi à Patrick Solvay.

XXIX  Affaire « Abrasax »
Son grand maître Suprême Anubis Moloch est Francis Desmedt. En 1996, le 21 décembre, l’Institut Abrasax de Forchies la Marchesera persuisitionné.(223 rue Emile Vandervelde) Quatre temples installés à cette adresse, L’Ordre Luciférien initiatique et l’église belge de Satan. Ses responables écrivent et signent un livre : « Le prince de ce monde », édité par Aba Vangh, pédo en fuite en Thaïlande.
Rapport avec Van Gyseghem et Guldfusch


A présent le plus effrayant …
Commission d’enquête sur les sectes :
L'Institut Abrasax
L'institut Abrasax est le mouvement le plus connu qui s'inscrit dans le cadre du Satanisme dans notre pays. Il prétend n'etre qu'une école dispensant des formations. On distingue trois parties dans l'institut: l'église belge de Satan (appelée actuellement «l'oeuvre au noir »), la sorcellerie Wicca (appelée actuellement «l'oeuvre au blanc ») et l'ordre initiatique luciférien (appelé actuellement . l'oeuvre au rouge »), Leur objectif social est: « L'étude et la recherche expérimentale concernant les facultés psychologiques et psychotrones de l'homme ainsi que le développement de techniques psychothérapeutiques alternatives, la recherche dans le domaine de la parapsychologie et de tous les autres phénomenes a caractere paranormal ».
L'institut Abrasax, qui prétend etre une école enseignant notamment la documentstrine satanique, impose des conditions financieres beaucoup plus importantes. Ses membres doivent acquitter la somme de 1 000 francs par mois. Leur initiation coute en outre 5 000 francs et l'élévation a la dignité de maître en Satanisme, a la fin de l'année, 2 500 francs. Ces prix comprennent cependant le matériel didactique et les habits qui doivent etre portés pendant les sessions. (Ces prix sont basés sur le prospectus de 1996).
3. Rupture avec le milieu d'origine
Chez les adolescents, le groupe joue beaucoup sur le fait qu'il les comprend, alors que ce ne serait pas le cas dans leur famille. Ils se coupent ainsi de plus en plus de leur famille proche et éloignée. Ce probleme se pose avec de plus en plus d'acuité ces derniers temps et certaines écoles belges ont déja reçu a ce sujet des plaintes émanant de parents et d'enseignants, qui ne savent pas comment faire face a ce nouveau phénomene. Les adolescents en question s'enferment dans leur chambre, se plongent dans la littérature et la musique sataniques et ne veulent plus communiquer qu'avec les membres du groupe.
Ce phénomène s'observe moins chez les adultes.
4. Atteintes à l'intégrité physique
Dans certains groupes sataniques, les membres du groupe se livrent souvent a des activités sexuelles violentes, qui entraînent parfois des effusions de sang. Ces activités vont généralement de pair avec l'alcoolisme et la toxicomanie. Ils s'entaillent parfois le bras pour recueillir leur sang en vue des rituels. Des symboles sataniques sont parfois gravés dans leur chair lors de ces rituels. Au cours de certaines « festivités », les membres de certains groupes sont obligés d'égorger des animaux et de boire leur sang. Le grand-prêtre incite les membres du groupe a se livrer a ces activités. Il arrive exceptionnellement qu'ils soient obligés d'y participer s'ils veulent adhérer au groupe (cérémonie d'initiation) ou s'ils veulent continuer a en faire partie. De tels groupes exercent une influence pernicieuse, surtout sur les adolescents se livrant a ces pratiques.
5. Lien entre le Satanisme et les activités criminelles de certains mouvements occultes
Depuis décembre 1996, les médias belges font également état d'abus rituels qu'il appartient a la justice d'éventuellement établir. Il y est question d'enfermement dans des cages, de personnes enterrées vivantes dans des boîtes ou des cercueils puis libérées quelques heures plus tard, de tortures, d'intimidations par l'usage de masques ou de costumes, de personnes enduites d'excréments et contraintes d'appliquer le meme traitement a d'autres, de personnes obligées de manger des excréments, de personnes obligées de boire du sang et de l'urine, d'animaux maltraités et mis a mort, de l'administration de drogues et d'alcool, de mauvais traitements et d'abus sexuels. Dans certains cas extrêmes, on parle même de cannibalisme et de sacrifice de foetus et de nouveau-nés.
Ces formes d'abus se produiraient dans des groupements sataniques a structure fortement hiérarchisée, dominée par un grand pretre ou une grande pretresse. Le groupe serait tenu au secret le plus strict. La peur est un élément crucial dans les récits concernant les abus rituels.
Un point commun a tous les récits est l'intensité de cette peur. La peur ne serait pas qu'une conséquence directe des cruautés subies par la victime, elle serait surtout causée par l'extreme sévérité des sanctions infligées en cas de profanation du secret.
Les techniques de contrôle seraient la pierre angulaire des abus rituels. Selon d'anciens membres, ces techniques sont la clé de la soumission des victimes de la secte et elles expliquent que ces dernieres gardent le silence sur ce qu'elles ont subi. Les victimes seraient soumises a un ingénieux systeme de techniques de contrôle visant a les priver de leur libre arbitre et a leur imposer la volonté de la secte. Ce contrôle serait obtenu par une savante combinaison de lavage de cerveau, de programmation, d'endocumentstrinement, d'hypnose et de drogues. Le but est d'imposer le silence aux victimes concernant les abus dont elles ont été victimes, de leur faire adopter un comportement et un systeme de croyances conformes a ceux de la secte et d'en faire de bons adeptes obéissant aveuglément aux ordres des chefs du groupe. Les sectes appliqueraient surtout leurs techniques de contrôle aux enfants de moins de six ans. Etant donné qu'ils se trouvent dans une phase de développement initial, ces enfants sont particulièrement vulnérables aux techniques de manipulation de leur caractère, de leurs croyances et de leur comportement.
Dans l'état actuel de son information, la Commission ne dispose d'aucun élément permettant de conclure à l'existence de ces pratiques. Celles-ci n'ont pas fait l'objet d'une investigation de la Commission, qui n'a pas voulu intervenir dans l'enquête judiciaire en cours. Affaire Dutroux.
Voici pourquoi AUCUNE PLAINTE n’aboutit jamais !

Christian Girard Procureur Pédophile ?

Après plus de dix années passées à la tête du parquet du tribunal de grande instance de Draguignan, le procureur de la République, M. Christian Girard, est sur le départ. Il doit rejoindre la semaine prochaine le TGI de Meaux en Seine-et-Marne.

Depuis août 2011, Michel MERCIER, Ministre de la Justice et des Libertés et ses conseillers ci-dessus cités ont été informés de la reconnaissance du Procureur du T.G.I de Meaux, Christian GIRARD, des faits de "viols sur mineur" (pièce ci-dessous) de la part de Philippe BEYER sur au moins l'un de ses fils: Sxxxx BEYER-DELVALE; et de la volonté du procureur à ne pas donner suite:

Malgré la faute lourde avérée du Procoureur du T.G.I de Meaux, Christian GIRARD de ne pas poursuivre le pédo criminel "à titre exceptionnel", malgré la mise en danger quotidienne de Sxxxx BEYER-DELVALE vivant chez son père qui en a la garde, malgré la mise en danger des autres enfants que Philippe BEYER peut croiser, aucune mesure n'a été prise, par Monsieur MichelMERCIER, Ministre de la Justice et des Libertés pour mettre Sxxxx BEYER-DELVALE en protection chez sa mère, mettre Rxxxx BEYER-ARTAUD en protection, et interpellé le pédo criminel reconnu Philippe BEYER.

Serait-ce la taupe, pro pédo criminels, Cristofe VALENTE, substitut à l'administration centrale du Ministère de la Justice qui éttouffe l'affaire du pédo criminel Philippe BEYER afin de protéger le réseau pour lequel il oeuvre ?

En effet, vu la gravité des faits, Monsieur Guillaume MAGGI, avait ordonné en urgence un placement provisoire de Sxxxx chez sa maman dès le 31 juillet 2010 conformément à l'ordonnance du 23 décembre 1958 relative à la protection de l'enfance et de l'adolescence en danger, suite aux nouvelles révélations de viols sur sa personne par son père; et avait suspendu tous les droits au père, Philippe BEYER.

Le 12 août 2010, soit 12 jours après après la décision de Monsieur Guillaume MAGGI, juge des enfants en place au T.G.I de Meaux, Cristofe VALENTE, juge par intérim, s'était saisi du dossier pour placer abusivement Sxxxx en le prenant à sa mère, avait supprimé tous les droits de celle-ci avec son enfant; et avait donné des droits au pédo criminel, Philippe BEYER.

Cristofe VALENTE avait indiqué placer l'enfant "dans le département pour qu'il soit plus près quand il reviendra chez son père", alors que l'enquête pénale était en cours...

Suite à cette décision diamétralement opposée à celle de Monsieur Guillaume MAGGI, juge des enfants, Cristofe VALENTE a été promu substitut à l'administration centrale du Ministère de la Justice et des Libertés.

De plus, en juin 2011, il a été nommé examinateur adjoint à la nomination des magistrats.

Monsieur Guillaume MAGGI qui avait mis en protection la victime chez sa mère, a été muté.

Un substitut pro pédo criminel est donc en place au Ministère de la Justice et des Libertés.


CRISTOFE VALENTE, substitut à l'administration centrale du Ministère de la Justice

C'est la raison pour laquelle aujourd'hui, Sxxxx est toujours aux mains de son pédo criminel de père, et Philippe BEYER toujours en liberté.

Monsieur Michel MERCIER a été informé en août 2011, novembre 2011 et décembre 2011 de l'urgence de la situation, situation intolérable au vu des faits graves de viols sur mineur reconnus parChristian GIRARD, procureur du T.G.I de Meaux, à ce jour Monsieur Michel MERCIER, Ministre de la Justice et son cabinet légalisent la pédo criminalité dans le dossier Philippe BEYER, et ce, en toute connaissance de cause se rendant complices de crimes sur mineurs.


                        Monsieur Michel MERCIER Ministre de la Justice et des Libertés 


AFFAIRE Philippe BEYER: Le CSM et l'USM, COMPLICES DE VIOLS SUR MINEUR


Les membres du Conseil Supérieur de la Magistrature, tous informés depuis août 2010, de la reconnaissance de Christian GIRARD, Procureur de la République de Meaux (pièce ci-dessous), pour des faits viols sur mineur, par la personne de Philippe BEYER sur au moins l'un de ses fils : Sxxxx, n'ont pris aucune mesure d'urgence pour que le pédo criminel soit interpellé et présenté devant un une Cour d'Assises et que Sxxxx soit mis en protection.




Christophe VIVET, vice-procureur près le T.G.I de Grenoble, secrétaire à l'USM, président de la commission des requêtes au Conseil Supérieur de la Magistrature absout Christian GIRARD, Procureur du T.G.I de Meaux, et de ce fait Philippe BEYER pour les "viols sur mineur par ascendant ayant autorité". 
Christophe VIVET laisse délibérément Sxxxx aux mains de son père violeur, et Philippe BEYER, le pédo criminel en liberté.

Christophe VIVET, au nom de l'Union Syndicale des Magistrats (USM) et des membres du Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM), légalise la pédo criminalité dans l'affaire du pédo criminel Philippe BEYER.
Et confirme l'existence du réseau pédo criminel au sein des services judiciaires français.



RESEAU PEDO CRIMINEL: LE CONSEIL GENERAL DE SEINE ET MARNE(CG 77) RENOUVELLE LEUR ADHESION



OU COMMENT LE CONSEIL GENERAL DE SEINE ET MARNE (CG 77) AIDE LE PEDO CRIMINEL PHILIPPE BEYER A MALTRAITER SON FILS.........................

On se souvient que Isabelle DUSEAU, éducatrice, Nathalie ATTALI, chef de service, CaroleRAMDAM psychologue au Foyer de l'enfance d'Orgemont Meaux ( A.S.E 77 - CG 77) avaient fait pression sur Sxxxx BEYER-DELVALE pour qu'il rencontre son père violeur, Philippe Beyer lors de son placement. 
Alors, que l'enfant qui avait révélé dès le mois de septembre 2010 des viols sur sa personne, ne cessait de répéter qu'il ne voulait pas voir son père qui l'avait violé ! Et qu'il voulait voir sa mère !
Les trois intervenantes du foyer d'Orgemont ont également tenté de dissuader Sxxxx de déposer ses révélations de viols contre son père à la gendarmerie. Isabelle DUSEAU éducatrice a fait pression sur Sxxxx en lui tenant des propos menaçant afin qu'il revienne sur ses révélations.
Nathalie ATTALI a tenu des propos délirants au sujet des enfants en général et sur Sxxxx en particulier, et est allée jusqu'à inventer de toute pièce, une audition à la gendarmerie de Sxxxx afin de disculper le pédo criminel reconnu,Philippe Beyer .
Sachant que Philippe Beyer a été reconnu comme l'auteur de viols sur mineurs, que NathalieATTALI a affirmé un faux matériel et a adapté une attidue partiale au bénéfice du pédocriminel, on sait quels sont les intérêts communs entre Nathalie ATTALI (CG 77 et A.S.E 77) et Philippe Beyer .

Le Conseil Général de Seine et Marne (CG 77) , l'A.D.S.E.A 77, et l'A.S.E 77 ayant été écartés en décembre 2010 par Aude MOREL, juge des enfants; ils sont de retour....sans qu'aucune date d'audience ni aucun jugement n'aient été signifiés !


Vincent EBLE, Sénateur, Président du Conseil Général de Seine et Marne et Mathieu SAVARIAU, inspecteur de l'A.S.E 77 (D.G.A -Solidarité) avaient reçu des signalements d'enfant en danger concernant Sxxxx, et de la rupture organisée par la famille BEYER-ARTAUD entre Sxxxx et sa maman.
Ni Vincent EBLE, ni Mathieu SAVARIAU n'ont porté assistance à Sxxxx qu'ils savaient violé par son père !!!!!
Aujourd'hui, leur position en matière de pédo criminalité est claire.....
Depuis, leur "retour", par le biais du S.A.E Nord (Service d'Aide Educative) , c'est l'anarchie complète !!! 
Philippe Beyer se permet de ne pas présenter Sxxxx à sa mère, fait absenter Sxxxx régulièrement de l'école sans justificatif, et n'applique toujours pas l'autorité parentale conjointe !!!

Mathieu SAVARIAU, inspecteur de l'Aide Sociale à l'Enfance (DGA-Solidarité), Melun.


On aura compris qu'étant donné le dossier de Sxxxx et la dégradation de la situation, le Sénateur et Président du Conseil Général de Seine et Marne, Vincent EBLE, et Mathieu SAVARIAU Inspecteur de l'A.S.E 77par le biais de l'A.D.S.E.A 77 et Mme CHARRIER et Mme LEROY du S.A.E Nordsoutiennent le pédo criminel Philippe BEYER.



Bien entendu, l'association ESPOIR, sous la présidence de J.P ROSENCZVEIG ne s'est évaporée qu'officiellement ! Car, dans les faits, il en est tout autre...
D'ailleurs, Laurent AUDRY, directeur de l'association ESPOIR à Coulommiers avait affirmé le 18 octobre 2011 à la Cour d'Appel de Paris qu'il représentait l'A.S.E 77 !



C'est là où le RESO 77 prend tout son sens...


RESEAU PEDO CRIMINEL: L'USM ET LE CSM NE SERAIENT-ILS PAS DE NOUVEAUX ADHERENTS ?


Troyes le 21 décembre 2011

Karine DELVALE
xxxxxxx

10000 Troyes

                                                                                                        à 







Président de la formation plénière :


Vincent Lamanda, premier président de la Cour de cassation
   
Président suppléant de la formation plénière : 









Jean-Claude Marin, procureur général près la Cour de cassation

Président de la formation compétente à l'égard des magistrats du siège :
Vincent Lamanda, premier président de la Cour de cassation

Président de la formation compétente à l'égard des magistrats du parquet :
Jean-Claude Marin, procureur général près la Cour de cassation

I - Personnalités extérieures désignées, membres communs aux trois formations :
Jean-Pierre Machelon, professeur de droit public à l'université René Descartes - Paris V, désigné par le Président de la République ;
Rose-Marie Van Lerberghe, présidente du groupe Korian, désignée par le Président de la République ;
Pierre Fauchon, avocat à la cour d'appel de Paris, Sénateur honoraire désigné par le président du Sénat ;
Chantal Kerbec, directrice honoraire des services du Sénat, désignée par le président du Sénat ;
Martine Lombard, professeure de droit public à l'université Paris II – Panthéon-Assas, désignée par le président de l'Assemblée nationale ;
Bertrand Mathieu, professeur de droit public à l'université Paris I - Panthéon-Sorbonne, désigné par le président de l'Assemblée nationale ;
Christophe Ricour, avocat, ancien bâtonnier du barreau des Hauts de Seine, désigné par le président du Conseil national des barreaux ;
Frédéric Tiberghien, conseiller d’Etat, élu par le Conseil d’Etat.

II - Magistrats élus, membres de la formation compétente à l'égard des magistrats du siège :

Magistrats du siège, membres de la formation compétente à l'égard des magistrats du siège :
Daniel Ludet, conseiller à la Cour de cassation ;
Jean Trotel, premier président de la cour d'appel de Lyon ;
Loïc Chauty, président du tribunal de grande instance de Grenoble ;
Laurent Bedouet, vice-président chargé de l'application des peines au tribunal de grande instance de Paris ;
Emmanuelle Perreux, vice-présidente au tribunal de grande instance de Bordeaux ;
  
Magistrat du parquet, membre de la formation compétente à l'égard des magistrats du siège : Catherine Vandier, substitute du procureur général près la cour d'appel d'Angers.   
III - Magistrats élus, membres de la formation compétente à l'égard des magistrats du parquet : 
Magistrats du parquet, membres de la formation compétente à l'égard des magistrats du parquet :
Christian Raysseguier, premier avocat général à la Cour de cassation ;
Jean-Olivier Viout, procureur général près la cour d'appel de Lyon ;
Danielle Drouy-Ayral, procureure de la République près le tribunal de grande instance de Draguignan ;
Anne Coquet, vice-procureure près le tribunal de grande instance de Paris ;
Christophe Vivet, vice-procureur près le tribunal de grande instance de Grenoble.

Magistrat du siège, membre de la formation compétente à l'égard des magistrats du parquet :Luc Fontaine, président de la chambre de l'instruction à la cour d'appel de Lyon.   
                                                                    IV - Magistrats élus, membres de la formation plénière :
Jean Trotel, premier président de la cour d'appel de Lyon, pendant la première moitié de son mandat
Jean-Olivier Viout, procureur général près la cour d'appel de Lyon, pendant la seconde moitié de son mandat
Loïc Chauty, président du tribunal de grande instance de Grenoble, pendant la seconde moitié de son mandat ;
Danielle Drouy-Ayral, procureure de la République près le tribunal de grande instance de Draguignan, pendant la première moitié de son mandat ;
Laurent Bedouet, vice-président chargé de l'application des peines au tribunal de grande instance de Paris ;
Emmanuelle Perreux, vice-présidente au tribunal de grande instance de Bordeaux ;
Anne Coquet, vice-procureure près le tribunal de grande instance de Paris ;
Christophe Vivet, vice-procureur près le tribunal de grande instance de Grenoble.

Les membres des deux commissions d'admission des requêtes compétentes à l'égard des  magistrats du siège :   Président:
Christophe Ricour, avocat, ancien bâtonnier du barreau des Hauts-de-Seine
Chantal Kerbec, directrice honoraire des services du Sénat
Laurent Bedouet, vice-président chargé de l'application des peines au tribunal de grande instance de Paris
Emmanuelle Perreux, vice-présidente au tribunal de grande instance de Bordeaux
Président :
Jean Trotel, premier président de la Cour d'appel de Lyon
Pierre Fauchon, avocat à la Cour d'appel de Paris, Sénateur honoraire
Frédéric Tiberghien, Conseiller d'Etat
Catherine Vandier, substitute du procureur général près la Cour d'appel d'Angers

Les membres de la commission d'admission des requêtes compétente à l'égard des magistrats du parquet : Président :


Christophe Vivet









, vice-procureur près le tribunal de grande instance de Grenoble
Martine Lombard, professeure de droit public à l'université Paris II – Panthéon-Assas
Monsieur Bertrand Mathieu, professeur de droit public à l'université Paris I - Panthéon-Sorbonne
Madame Anne Coquet, vice-procureure près le tribunal de grande instance de Paris
 










Lettre ouverte recommandée avec AR



Mesdames, Messieurs,

En réponse à votre courrier du 09 décembre 2011, je suis très étonnée que vous ne citiez pas nomément les personnes impliquées dans l'affaire concernant mes plaintes du 21 et et du 24 octobre 2011 , à savoir:

Philippe BEYER, le pédocriminel reconu par Monsieur le Procureur de la République du T.G.I de Meaux;

que vous ne citiez pas plus Christian GIRARD, justement Procureur de la République du T.G.I de Meaux,

mais encore, Madame Monique CHADEVILLE, présidente du Pôle 3, Cour d'Appel de Paris.

Auriez-vous quelques difficultés à citer ces trois personnes clairement ?

Christian GIRARD, procureur de la République du T.G.I de Meaux est bien l'objet de ma saisine du Conseil Supérieur de la Magistrature en date du 25 octobre 2011 ,

Monique CHADEVILLE, présidente du Pôle 3, Courd d'Appel de Paris est bien l'objet de ma saisine du Conseil Supérieur de la Magistrature en date du 24 octobre 2011,

Philippe BEYER est bien le pédocriminel reconnu, en date du 24 novembre 2010, par Christian GIRARD, procureur de la République du T.G.I de Meaux, auteur des viols sur mon fils Sxxxx BEYER-DELVALE (pièce N°1).

Je note que vous relevez également deux autres personnes: "M. B.Philippe" et "M. B" qui seraient, elles aussi, impliquées dans les viols de mon fils.

J'entends bien que vous me communiquerez dans les meilleurs délais les noms, en clair, de ces deux personnes.



Il faudra donc revenir sur le courrier de Christian GIRARD, procureur de la République du T.G.I de Meaux, du 24 novembre 2010, adressé à Philippe BEYER 10 rue du Pont, 77730 Saâcy-sur-Marne.

"Vous avez fait 'objet d'une enquête de police judiciaire à la suite d'une affaire de viol sur mineur".
Nous sommes donc bien en présence d'une affaire de viol sur mineur, et que la police judiciaire a été saisie pour enquêter suite à des révélations de mon fils Sxxxx accusant son père.

"Toutefois, à titre exceptionnel, j'ai décidé de ne pas donner de suite pénale à cette présente procédure".
Le fait de ne pas donner de suite "à titre exceptionnel", démontre, à cet endroit, un passe-droit particulièrement indigne venant d' un procureur, dès lors que ladite procédure concerne un "viol sur mineur". 

Crime relevant de la Cour d'Assises.

"J'espère que vous tiendrez compte du présent avertissement".
Faudrait-il que Monsieur le procureur Christian GIRARD du T.G.I de Meaux lance un avertissement gratuit à Philippe BEYER dans le cadre de "viol sur mineur" ?

"Si vous commettez une nouvelle infraction, je serais amené à reconsidérer ma décision et à engager de nouvelles poursuites".
Le procureur de la République du T.G.I de Meaux, Christian GIRARD devra expliquer au Conseil Supérieur de la Magistrature comment il légalise "à titre exceptionnel"un premier crime de "viol sur mineur", mais qu'il ne devrait pas écarter toutes récidives.

Par son courrier du 24 novembre 2010, le procureur de la République du T.G.I de Meaux, Christian GIRARD espérait-il la collaboration de Philippe BEYER pour qu'il lui avoue, spontanément, ses prochains crimes de "viols sur mineur" ?



Les hautes fonctions judiciaires de Christophe VIVET, vice-procureur près le tribunal de grande instance de Grenoble, Martine Lombard, professeure de droit public à l'université Paris II – Panthéon-Assas, Monsieur Bertrand Mathieu, professeur de droit public à l'université Paris I - Panthéon-Sorbonne, Madame Anne Coquet, vice-procureure près le tribunal de grande instance de Paris, ne permettent pas d'imaginer qu'une explication de texte aussi basique puisse leur échapper.

Toute dérobade serait indigne de leur fonction dans une affaire au regard du crime, "viol sur mineur".

Faudrait-il comprendre, à ce niveau, que Philippe BEYER, pédocriminel avéré, puisse bénéficier de trafic d'influence au sein même du Conseil Supérieur de la Magistrature ?

La deuxième explication de texte sera pour:
Christophe RICOUR, ancien bâtonnier, Chantal Kerbec, directrice honoraire des services du Sénat, Laurent Bedouet, vice-président chargé de l'application des peines au tribunal de grande instance de Paris, Emmanuelle Perreux, vice-présidente au tribunal de grande instance de Bordeaux.

En effet, il faudra, ici, reprendre la procédure concernant la requête en suspicion légitime à l'encontre de Monique CHADEVILLE, présidente Pôle 3, Cour d'Appel de Paris déposée le 18 octobre 2011 par devant Monsieur le Premier Président de la Cour d'Appel de Paris, Jacques DEGRANDI.

Je cite ma requête en suspicion légitime : "Je vous demande donc de transmettre ma requête à la Cour de Cassation qui devra statuer aux fins d'écarter Madame Monique CHADEVILLE de la procédure citée en référence".

Dans ma saisine du CSM du 21 ocotbre 2011, je faisais référence à mon recours du 18 octobre 2011 devant Monsieur le Premier Président de la Cour d'Appel de Paris, Jacques DEGRANDI, à l'encontre de Monique CHADEVILLE, présidente du Pôle 3, Cour d'Appel de Paris, où je précisais:

" qu'elle se retire suite à ma suspicion légitimé déposée ce jour mais, fixe une date d'audience au 16 décembre 2011 alors mêmequ'elle est suspendue dans cette procédure jusqu'à la décision de la Cour de Cassation."
Mon recours était donc justifié par le fait que Monique CHADEVILLE, présidente du Pôle 3, Cour d'Appel de Paris outrepassait ses droits et donc fixait illégalement une audience au 16 décembre 2011.

Si les membres de la commission d'admission des requêtes devaient y voir une fixation d'audience, je leur conseille de reprendre le CPC, et plus précisément les articles 357, 358, 359, 360.

Cette commission, après s'être informée, se rendra à l'évidence, à savoir, que pour l'heure, Monique CHADEVILLE, 
présidente du Pôle 3, Cour d'Appel de Paris, n'est plus saisie de la procédure et ne pouvait en aucun cas fixer une quelconque audience de renvoi.

En conséquence, et en application de l'article 50-3 de l'ordonnance n°58-1270 du 22 décembre 1958 portant loi organique relative au statut de la magistrature, ma demande est manifestement recevable, ce texte disposant en effet que la plainte du justiciable doit être dirigée contre un magistrat déssaisi de la procédure, ce qui est le cas , même si le magistrat incriminé tente de passer outre, ce que la présidente Monique CHADEVILLE a réalisé, outrepassant ainsi ses droits.



Compte tenu de l'urgence, en ce qui concerne la mise en protection effective de mon fils Sxxxx BEYER-DELVALE, vos tergiversations stériles permettent les récidives de viols de mon fils par son père Philippe BEYER 10 rue du Pont 77730 Saâcy-sur-Marne, pédocriminel reconnu par Monsieur le procureur de la République du T.G.I de Meaux, Christian GIRARD.



Je vous prie de croire, Mesdames, Messieurs, à l'expression de ma considération.



 
                                                                                              Karine DELVALE





Pièce jointe:
1) Copie du courrier adressé par Christian GIRARD, procureur de la République du T.G.I de Meaux à Philippe BEYER en date du 24 novembre 2010.







Christophe VIVET et Christophe RICOUR

 




CSM: NON ASSISTANCE A ENFANTS EN DANGER


Le Conseil Supérieur de la Magistrature refuse de porter assistance à Sxxxx BEYER-DELVALE reconnu agressé sexuellement par son  père et à son demi frère Rxxxx BEYER-ARTAUD. Les deux enfants sont confiés à la garde du pédocriminel Philippe Beyer et de sa femme Anne-Claire BEYER-ARTAUD par la juge des enfants elle-même, sans parler des autres enfants avec lesquels les deux individus pourraient être en contact.



                                                    XXX
Philippe Beyer doit être arrêté et présenté devant une Cour d'Assises dans les meilleurs délais.










Troyes le 25 novembre 2011

Karine DELVALÉ
xxxxxxxxxxxxxxx              
10000 TROYES                                                   

LETTRE OUVERTE
2 pages 

                                                          
                          à l'attention de :
Monsieur le Président de la formation plénière : 
Vincent Lamanda, premier président de la Cour de cassation 

Monsieur le Président suppléant de la formation plénière : 
Jean-Claude Marin, procureur général près la Cour de cassation
Personnalités extérieures désignées, membres communs aux trois formations : 

  • Jean-Pierre Machelon, professeur de droit public à l'université René Descartes - Paris V, désigné par le Président de la République ;
  • Rose-Marie Van Lerberghe, présidente du groupe Korian, désignée par le Président de la République ;
  • Pierre Fauchon, avocat à la cour d'appel de Paris, Sénateur honoraire désigné par le président du Sénat ;
  • Chantal Kerbec, directrice honoraire des services du Sénat, désignée par le président du Sénat ;
  • Martine Lombard, professeure de droit public à l'université Paris II – Panthéon-Assas, désignée par le président de l'Assemblée nationale ;
  • Bertrand Mathieu, professeur de droit public à l'université Paris I - Panthéon-Sorbonne, désigné par le président de l'Assemblée nationale ;
  • Christophe Ricour, avocat, ancien bâtonnier du barreau des Hauts de Seine, désigné par le président du Conseil national des barreaux ;
  • Frédéric Tiberghien, conseiller d’Etat, élu par le Conseil d’Etat.
Magistrats élus, membres de la formation compétente à l'égard des magistrats du siège : 
Magistrats du siège, membres de la formation compétente à l'égard des magistrats du siège : 

  • Daniel Ludet, conseiller à la Cour de cassation ;
  • Jean Trotel, premier président de la cour d'appel de Lyon ;
  • Loïc Chauty, président du tribunal de grande instance de Grenoble ;
  • Laurent Bedouet, vice-président chargé de l'application des peines au tribunal de grande instance de Paris ;
  • Emmanuelle Perreux, vice-présidente au tribunal de grande instance de Bordeaux ;
Magistrat du parquet, membre de la formation compétente à l'égard des magistrats du siège : 
  • Catherine Vandier, substitute du procureur général près la cour d'appel d'Angers.
Magistrats élus, membres de la formation compétente à l'égard des magistrats du parquet : 
Magistrats du parquet, membres de la formation compétente à l'égard des magistrats du parquet : 
  • Christian Raysseguier, premier avocat général à la Cour de cassation ;
  • Jean-Olivier Viout, procureur général près la cour d'appel de Lyon ;
  • Danielle Drouy-Ayral, procureure de la République près le tribunal de grande instance de Draguignan ;
  • Anne Coquet, vice-procureure près le tribunal de grande instance de Paris ;
  • Christophe Vivet, vice-procureur près le tribunal de grande instance de Grenoble.
Magistrat du siège, membre de la formation compétente à l'égard des magistrats du parquet : 
  • Luc Fontaine, président de la chambre de l'instruction à la cour d'appel de Lyon.
Magistrats élus, membres de la formation plénière : 
  • Jean Trotel, premier président de la cour d'appel de Lyon, pendant la première moitié de son mandat ;
  • Jean-Olivier Viout, procureur général près la cour d'appel de Lyon, pendant la seconde moitié de son mandat ;
  • Loïc Chauty, président du tribunal de grande instance de Grenoble, pendant la seconde moitié de son mandat ;
  • Danielle Drouy-Ayral, procureure de la République près le tribunal de grande instance de Draguignan, pendant la première moitié de son mandat ;
  • Laurent Bedouet, vice-président chargé de l'application des peines au tribunal de grande instance de Paris ;
  • Emmanuelle Perreux, vice-présidente au tribunal de grande instance de Bordeaux ;
  • Anne Coquet, vice-procureure près le tribunal de grande instance de Paris ;
  • Christophe Vivet, vice-procureur près le tribunal de grande instance de Grenoble.
Les membres des deux commissions d'admission des requêtes compétentes à l'égard des magistrats du siège : 
  • Président : Christophe Ricour, avocat, ancien bâtonnier du barreau des Hauts-de-Seine
  • Chantal Kerbec, directrice honoraire des services du Sénat
  • Laurent Bedouet, vice-président chargé de l'application des peines au tribunal de grande instance de Paris
  • Emmanuelle Perreux, vice-présidente au tribunal de grande instance de Bordeaux
  • Président : Jean Trotel, premier président de la Cour d'appel de Lyon
  • Pierre Fauchon, avocat à la Cour d'appel de Paris, Sénateur honoraire
  • Frédéric Tiberghien, Conseiller d'Etat
  • Catherine Vandier, substitute du procureur général près la Cour d'appel d'Angers
Les membres de la commission d'admission des requêtes compétente à l'égard des magistrats du parquet :
  • Président : Christophe Vivet, vice-procureur près le tribunal de grande instance de Grenoble
  • Martine Lombard, professeure de droit public à l'université Paris II – Panthéon-Assas
  • Monsieur Bertrand Mathieu, professeur de droit public à l'université Paris I - Panthéon-Sorbonne
  • Madame Anne Coquet, vice-procureure près le tribunal de grande instance de Parquet
  • Madame, Monsieur le membre du Conseil Supérieur de la Magistrature,
    Madame, Monsieur, le xxxxxx,
    Je vous ai adressé un courrier en lettre simple, mais celle-ci ne semble ne pas être arrivée jusq'à vous.

    Compte tenu de la gravité des faits: viols sur mineur; je suis certaine que si vous aviez eu à lire mon courrier, vous auriez réagi rapidement.

    Ceci afin de prévenir les services compétents pour que mon fils Sxxxx BEYER-DELVALE soit mis en protection à mon domicile, et que le criminel reconnu, Philippe Beyer soit mis en examen ou arrêté s'agissant de crimes relevant de la Cour d'Assises.
Je ne peux évidemment pas imaginer vous voir sans réaction concernant Monsieur le Procureur de la République du Tribunal de Grande Instance de Meaux, Christian GIRARD qui a reconnu  PhilippeBeyer comme l'auteur de viols sur mineurs, et qui n'a pas poursuivi (pièce n°1).

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur le membre du Conseil Supérieur de la Magistrature, Madame, Monsieur xxxx xxxxx, l’expression de mes salutations les plus respectueuses.



Karine DELVALÉ

                  
Pièce jointe :1) Courrier de Monsieur Christian GIRARD, Procureur de la République du T.G.I de Meaux adressé à  Philippe Beyer en date du 24/11/2010.

PLAINTE AU CONSEIL SUPERIEUR DE LA MAGISTRATURE



 Le Conseil Supérieur de la Magistrature prendra-t-il une position claire en matière de pédo criminalité ? 


Troyes le 15 novembre 2011
Karine DELVALÉ

xxxxxxx                                                                                           
0000 TROYES                                            
                                              à l'attention de :
                                             Monsieur le  Président de la formation plénière : 
                                             Vincent Lamanda, premier président de la Cour de cassation   

                                             Monsieur le Président suppléant de la formation plénière : 
                                            Jean-Claude Marin, procureur général près la Cour de cassation
 Personnalités extérieures désignées, membres communs aux trois formations : 
  • Jean-Pierre Machelon, professeur de droit public à l'université René Descartes - Paris V, désigné par le Président de la République ;
  • Rose-Marie Van Lerberghe, présidente du groupe Korian, désignée par le Président de la République ;
  • Pierre Fauchon, avocat à la cour d'appel de Paris, Sénateur honoraire désigné par le président du Sénat ;
  • Chantal Kerbec, directrice honoraire des services du Sénat, désignée par le président du Sénat ;
  • Martine Lombard, professeure de droit public à l'université Paris II – Panthéon-Assas, désignée par le président de l'Assemblée nationale ;
  • Bertrand Mathieu, professeur de droit public à l'université Paris I - Panthéon-Sorbonne, désigné par le président de l'Assemblée nationale ;
  • Christophe Ricour, avocat, ancien bâtonnier du barreau des Hauts de Seine, désigné par le président du Conseil national des barreaux ;
  • Frédéric Tiberghien, conseiller d’Etat, élu par le Conseil d’Etat.
Magistrats élus, membres de la formation compétente à l'égard des magistrats du siège : 
Magistrats du siège, membres de la formation compétente à l'égard des magistrats du siège : 
  • Daniel Ludet, conseiller à la Cour de cassation ;
  • Jean Trotel, premier président de la cour d'appel de Lyon ;
  • Loïc Chauty, président du tribunal de grande instance de Grenoble ;
  • Laurent Bedouet, vice-président chargé de l'application des peines au tribunal de grande instance de Paris ;
  • Emmanuelle Perreux, vice-présidente au tribunal de grande instance de Bordeaux ;
Magistrat du parquet, membre de la formation compétente à l'égard des magistrats du siège : 
  • Catherine Vandier, substitute du procureur général près la cour d'appel d'Angers.
Magistrats élus, membres de la formation compétente à l'égard des magistrats du parquet : 
Magistrats du parquet, membres de la formation compétente à l'égard des magistrats du parquet : 
  • Christian Raysseguier, premier avocat général à la Cour de cassation ;
  • Jean-Olivier Viout, procureur général près la cour d'appel de Lyon ;
  • Danielle Drouy-Ayral, procureure de la République près le tribunal de grande instance de Draguignan ;
  • Anne Coquet, vice-procureure près le tribunal de grande instance de Paris ;
  • Christophe Vivet, vice-procureur près le tribunal de grande instance de Grenoble.
Magistrat du siège, membre de la formation compétente à l'égard des magistrats du parquet : 
  • Luc Fontaine, président de la chambre de l'instruction à la cour d'appel de Lyon.
Magistrats élus, membres de la formation plénière : 
  • Jean Trotel, premier président de la cour d'appel de Lyon, pendant la première moitié de son mandat ;
  • Jean-Olivier Viout, procureur général près la cour d'appel de Lyon, pendant la seconde moitié de son mandat ;
  • Loïc Chauty, président du tribunal de grande instance de Grenoble, pendant la seconde moitié de son mandat ;
  • Danielle Drouy-Ayral, procureure de la République près le tribunal de grande instance de Draguignan, pendant la première moitié de son mandat ;
  • Laurent Bedouet, vice-président chargé de l'application des peines au tribunal de grande instance de Paris ;
  • Emmanuelle Perreux, vice-présidente au tribunal de grande instance de Bordeaux ;
  • Anne Coquet, vice-procureure près le tribunal de grande instance de Paris ;
  • Christophe Vivet, vice-procureur près le tribunal de grande instance de Grenoble.
Les membres des deux commissions d'admission des requêtes compétentes à l'égard des magistrats du siège : 
  • Président : Christophe Ricour, avocat, ancien bâtonnier du barreau des Hauts-de-Seine
  • Chantal Kerbec, directrice honoraire des services du Sénat
  • Laurent Bedouet, vice-président chargé de l'application des peines au tribunal de grande instance de Paris
  • Emmanuelle Perreux, vice-présidente au tribunal de grande instance de Bordeaux
  • Président : Jean Trotel, premier président de la Cour d'appel de Lyon
  • Pierre Fauchon, avocat à la Cour d'appel de Paris, Sénateur honoraire
  • Frédéric Tiberghien, Conseiller d'Etat
  • Catherine Vandier, substitute du procureur général près la Cour d'appel d'Angers
Les membres de la commission d'admission des requêtes compétente à l'égard des magistrats du parquet :
  • Président : Christophe Vivet, vice-procureur près le tribunal de grande instance de Grenoble
  • Martine Lombard, professeure de droit public à l'université Paris II – Panthéon-Assas
  • Monsieur Bertrand Mathieu, professeur de droit public à l'université Paris I - Panthéon-Sorbonne
  • Madame Anne Coquet, vice-procureure près le tribunal de grande instance de Paris


LETTRE OUVERTE





Madame, Monsieur, le membre du Conseil Supérieur de la Magistrature,

Madame, Monsieur le xxxxx,


Conformément à l'article 43 de l'ordonnance du 22 décembre 1958 portant Loi organique relative au statut de la magistrature, modifié par la Loi organique du 22 juillet 2010 :





" Tout manquement par un magistrat aux devoirs de son état, à l'honneur, à la délicatesse ou à la dignité, constitue une faute disciplinaire. Constitue un des manquements aux devoirs de son état la violation grave et délibérée par un magistrat d'une règle de procédure constituant une garantie essentielle des droits des parties, constatée par une décision de justice devenue définitive ".

C'est pourquoi conformément à ma saisine du Conseil Supérieur de la Magistrature sur les fondements des articles 50-3 et 63 de l’ordonnance n°58-1270 du 22 décembre 1958 portant loi organique relative au statut de la magistrature, vous voudrez bien prendre connaissance:

- du courrier du 24 novembre 2010 de Christian GIRARD, procureur de la République du T.G.I de Meaux adressé à Philippe BEYER (pièce n°1),

- des courriers du 13 et 21 septembre 2011 de Monique CHADEVILLE, présidente du Pôle 3 de la Cour d'Appel de Paris adressés à mon attention (pièces n°2 et 3); 
ainsi que de mes plaintes adressées au Conseil Supérieur de la Magistrature contre :

- Christian GIRARD, procureur de la République du T.G.I de Meaux (pièces n°4 et 5),
- Monique CHADEVILLE, présidente du Pôle 3 de la Cour d'Appel de Paris (pièces n°6 et 7).
  
Christian GIRARD, procureur de la République du T.G.I de Meaux reconnaît Philippe BEYER comme l'auteur de viols sur mineurs sans le poursuivre et en donnant la garde de mon fils violé à celui-ci.

Monique CHADEVILLE manifeste son trafic d'influence au pédophile reconnu Philippe BEYER en Cour d'Appel.

Conformément à l’article 434-1 du Code pénal impose de porter à la connaissance des autorités " un crime dont il est encore possible de prévenir ou de limites les effets, ou dont les auteurs sont susceptibles de commettre des crimes qui pourraient être empêchés" et à l’article 434-3 prévoit que celui qui a eu connaissance " de privations, de mauvais traitements ou d’atteintes sexuelles infligées à un mineur de quinze ans " doit en informer les autorités judiciaires ou administratives.

C'est pourquoi vous êtes maintenant informés des viols subis par mon fils en la personne de son père Philippe BEYER.

En tant que membre du Conseil Supérieur de la Magistrature, vous êtes dans l'obligation de reconnaître la violation grave et délibérée par Christian GIRARD et Monique CHADEVILLE des règles de procédure au bénéfice du pédophile reconnu, Philippe BEYER.

Vous avez à la lecture de ce courrier, la pleine connaissance de l’urgence de la situation: mon fils Sxxxx BEYER-DELVALÉ étant actuellement en danger chez son père Philippe BEYER; et vous avez le devoir de prendre toutes les dispositions nécessaires pour le mettre hors de danger dans les meilleurs délais.

Il serait inacceptable et criminel que de laisser les viols perdurer, et qu’aucune autorité ne vienne au secours de mon fils dans l’immédiat.


Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur le membre du Conseil Supérieur de la Magistrature, Madame, Monsieur xxxxx, l’expression de mes salutations les plus respectueuses.



Karine DELVALÉ

                 
Pièces jointes :Courrier de Monsieur Christian GIRARD, Procureur de la République du T.G.I de Meaux adressé à Philippe BEYER en date du 24/11/2010.
Courrier de Madame Monique CHADEVILLE, Présidente du Pôle 3 à la Cour d’Appel de Paris adressé à mon attention en date du 13/09/2011.
Courrier de Madame Monique CHADEVILLE, Présidente du Pôle 3 à la Cour d’Appel de Paris adressé à mon attention en date du 21/09/2011.
Copie de ma plainte contre Monsieur Christian GIRARD, Procureur de la République du T.G.I de Meaux adressée à Monsieur le Président du Conseil Supérieur de la Magistrature en date du 24/10/2011.
Accusé de réception par le Conseil Supérieur de la Magistrature en date du 25/10/2011 de ma plainte contre Monsieur Christian GIRARD, Procureur de la République du T.G.I de Meaux.
Copie de ma plainte contre Madame Monique CHADEVILLE, Présidente du Pôle 3, Cour d’Appel de Paris adressée à Monsieur le Président du Conseil Supérieur de la Magistrature en date du 21 octobre 2011. 
Accusé de réception par le Conseil Supérieur de la Magistrature en date du 24/10/2011 de ma plainte contre Madame Monique CHADEVILLE, Présidente du Pôle 3, Cour d’Appel de Paris.

RESEAU PEDOPHILE AU T.G.I DE MEAUX :Christian GIRARD/Aude MOREL, COMPLICES DE VIOLS SUR MINEURS


Christian GIRARD procureur de MEAUX (77) dans son courrier du 24 novembre 2010 adressé au pédophile Philippe Beyer , reconnaît que ce dernier a bien bien été l'auteur de viols sur mineur, dans le dossier pénal de Sxxxx Bxxxx-Dxxxxxx, mais qu'à "titre exceptionnel" il ne donne pas suite, et lui donne un simple avertissement....










la juge des enfants Aude MOREL ayant eu connaissance des procès-verbaux de l'enfant Sxxxx Bxxxx-Dxxxxxx révélant des viols sur sa personne par son père,  Philippe Beyer depuis 2002; et de la lettre deChristian GIRARD procureur de MEAUX (77)   , décide par jugement du 10 décembre 2010, de confier la garde de Sxxxx Bxxxx-Dxxxxxx, à son père, Philippe Beyer , reconnu pédophile parChristian GIRARD procureur de MEAUX (77) .
Christian GIRARD procureur de MEAUX (77) , et  la juge des enfants Aude MORELdu T.G.I de Meaux se rendent donc complices des viols perpétrés par  Philippe Beyer sur au moins l'un de ses fils.....

Peut-être que les deux complices vont devoir faire appel à leur ex collègue, Cristofe VALENTE qui le 12 août 2010, avait placé Sxxxx Bxxxx-Dxxxxxx en donnant des droits au pédophile Philippe Beyer , et supprimant tout à la maman.
Il avait justifié le placement de l'enfant dans le 77 "pour qu'il soit plus près quand il retournera chez son père"...Grâce à ce trafic d'influence mené par Cristofe VALENTE, s'opposant à la décision du Juge des Enfants Guillaume MAGGI, qui avait mis l'enfant en protection chez sa mère, le Juge des enfants intérimaire Cristofe VALENTE a bénéficié d'une belle promotion....




REBONDISSEMENT SPECTACULAIRE DANS L'AFFAIRE BEYER !!!


Lors de son audience du 28 octobre 2011, Aude MOREL  Juge des enfants au T.G.I de Meaux va-t-elle s'enfoncer un peu plus dans le trafic d'influence ?... ou serait -elle contrainte d'organiser un guet-apens pour  faire arrêter Philippe BEYER, pédophile reconnu, afin de le présenter devant la Cour d'Assises?


Nous saurons bientôt si Philippe BEYER pédophile reconnu par le procureur du T.G.I de Meaux, dormira derrière les barreaux demain soir ou si la Juge des enfants Aude MOREL soutient encore le pédophile Philipe BEYER au risque de partager la même cellule !!!!



RESEAU PEDO CRIMINEL: MAÎTRE MARIELLE TRINQUET ELUE REINE DE LA MAGOUILLE FOIREUSE !!!


Il était une foisMarielle Trinquet.....

L'avocate conseil de SOS PAPAS,
défend son client depuis 4 ans déjà,
Philippe BEYER, pédophile notoire,
et c'est dans sa grande robe noire,
qu'elle baffoue la déontologie des avocats,
ainsi que le respect des règles et de la Loi, 
Au détriment des enfants,
et oui, forcément !!!
Mais à force de magouiller contre les mères,
elles est desmasquée en pleine lumière,
par ses frères,
par ses pairs,
et d'un revers...
se retrouve le cul par terre...
C'est la faute à BEYER !!

http://www.marielletrinquet.net/?page_id=10
Affaire : A.Beyer
AVoir :
Le Grand Robert de la pédophilie Française.
Philippe Beyer Pédophile ?

A quand la condamnation du pédocriminel Philippe Beyer ?
Crime en bande organisée au TGI de Meaux (77).
Christian Girard Procureur Pédophile ?

L'USM et le CSM ne seraient-il pas de nouveaux ADHERENTS ?
Réseau pédo criminel : Jean-Pierre Rosenczveig et Vincent Eble persistent et signent !!!
Jean Pierre Rosenczveig Pédophile ?