lundi 8 octobre 2012

A.Maoloni : Scandale à Montpellier !


Tribunal de monstres.
RESEAU PEDOPHILE ET PROTECTION MAFIEUSE/ Depuis 6 ans, Madame MAOLONI Maria Pia, maman de Fiona (10 ans) et de Milla (6 ans) se bat pour protéger ses deux enfants contre les violences sexuelles L’enfant aînée a déclaré avoir été amenée par son père et son grand-père dans des lieux luxueux où étaient présents d’autres adultes qui abusaient d’elle et d’autres enfants ; et qu’on les prenait en photo.
A Mons (en Belgique), les procédures judiciaires ont pris systématiquement une orientation en faveur des ANTONINI malgré un dossier impressionnant de documents et de témoignages en faveur de la crédibilité des dires de l’enfant aînée.
ACTUELLEMENT, LES ENFANTS ONT ETE CONFIEES AU PERE ET SONT INTROUVABLES !!!! MALGRE UN DOSSIER PENAL POUR VIOLS SUR MINEURS A CHARGE DU PERE ET DU GRAND-PERE PATERNEL TOUJOURS EN COURS, en Belgique et en Italie.

Affaire Pédophile Maoloni 1/2 - LLP

Affaire Pédophile Maoloni 1/2 - LLP

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Les faits

Published 20 May 2007 in 3.Scandale judiciaire a Montpellier. Closed


Depuis que mon ami Christian COTTEN parle de palmarès des tribunaux mafieux, il semblerait que de nouveaux tribunaux soient décidés à rentrer sévèrement dans cette compétition pour en décrocher la palme…

Ainsi donc, je vous emmène à Montpellier, où une jeune femme s’est vu récemment enlever de force ses deux fillettes, dont elle avait la garde, pour être remis à son ex-mari, lequel était au moment des faits poursuivit pour « Atteintes sexuelles avec contrainte, violence, menace ou surprise sur mineurs de moins de 15 ans par ascendant légitime ».

Enlèvement, me direz-vous ; cela arrive parfois…

Mais en l’occurrence, là où ça devient particulièrement intéressant, c’est que cet enlèvement a été ordonné par un juge du Tribunal pour Enfants de Montpellier, et ce, j’insiste, dans la plus parfaite illégalité.

Dans la mesure où nous avons là une collusion de personnes - qui de plus est pour la plupart d’entre elles dépositaires de l’autorité publique - dans un but délictueux, j’emploierais le terme de complot, et de corruption, même s’ils sont tabous…

Je pense même que nous ne sommes pas loin de l’association de malfaiteurs…

Car nous nous trouvons face à une véritable organisation qui s’auto déclare au dessus des lois, abusant des pouvoirs détenus par ses membres, regroupant dans un schéma devenu un grand classique :

- Juge partial du haut de l’arrogance de ses « pleins pouvoirs, abusant de ceux-ci (pour quelques raisons demeurées jusque là obscures), avec des méthodes à faire frémir l’ex KGB

- Parquet en osmose totale trahissant un corporatisme primant sur une saine administration de la justice

- Experts psychiatriques ( pour retourner les situations avec des conséquences dramatiques pour leurs victimes, et ridiculiser leur défense ; « - vous voyez des complots partout ; c’est normal, vous êtes fou !… »

- Gendarme ( pour faire peur – dans le meilleur des cas - à la victime qui tente de se rebeller )

- Avocats-paratonnerres ( je ne parle pas de ceux de la parties adverse, mais bien de ceux que l’on paie pour qu’ils enfoncent notre propre dossier…) qui ruinent leur clients en neutralisant adroitement leur défense

La nouveauté pour ce cas ; l’APEA : Association de Protection de l’Enfance et de l’Adolescence… En l’occurrence, le bras armé de la magistrate que vous allez découvrir plus bas, dont les membres ,n’hésitent pas à employer la violence pour arracher des enfants des bras de leur mère, et concrétiser l’acte d’enlèvement d’enfants…

Sacrée protection de l’enfance…

Corinne G. n’a revu qu’une fois en août 2006 ses enfants depuis ce kidnapping perpétré le 21 avril 2006.

Flash Back

Published 20 May 2007 in 3.Scandale judiciaire a Montpellier. Closed

Nous sommes en Grande Bretagne, en mars 2001 ; Corinne G. et son mari, Philippe B., y sont installés depuis 1993, et ont deux fillettes ; Mélodie, 6 ans, et Coralie, 3 ans.

Le couple est en pleine crise ; Corinne G.se sépare de son mari, ne supportant plus un comportement violent et caractériel, et des tendances inquiétantes teintées de déviance sexuelle vis à vis des fillettes…

Chacun prend un avocat.

Le 18 mai 2005, Corinne G.dépose plainte contre son mari pour attouchements sexuels sur mineurs, en raison des dernières confidences que ses filles ont osé lui faire… Et elle ne sait pas encore tout…

La police locale saisit alors des photos prises par Philippe B. de ses petites filles nues dans des postures plus que déplacées, avec des gros plans sur leurs parties génitales…

Corinne G. a obtenu la garde de ses enfants, mais le droit de visite du mari se terminera par un déchaînement de violence physique à l’encontre de la mère et des deux fillettes.

Curieusement, la police locale renvoie entre temps les photos saisies, avec un PV spécifiant l’absence de suite donnée à l’affaire…

Les autorités se borneront à mettre à la destruction une arme de poing trafiquée détenue illégalement par Philippe B., et saisie avec les photos.

Les services sociaux adoptent une attitude trouble, pour ne pas dire emprunte de complaisance vis à vis du pédophile incestueux présumé, tout comme l’avocate de Corinne G.

Une expertise psychiatrique est ordonnée par le tribunal ; l’expert désigné retourne la situation, déclarant Philippe B. totalement sain d’esprit, mais précisant que Corinne G., elle, est dangereusement instable…

…Pourtant, cette « experte » n’a examiné que Philippe B. !

Par la suite, l’avocate de Corinne G., Sarah MOULES, la trahit de façon odieuse, lui prodiguant des conseils fermes allant à l’encontre de ses intérêts, comme celui de ne surtout pas faire de contre expertise psychiatrique…

Nous sommes en 2002, Corinne G., sans en prendre conscience vient de tomber dans un premier piège dont les effets remonteront plus tard à la surface ; un vent de corruption souffle, imperceptiblement…

Même l’agent du servie social, Nick WAILS, tentera de la convaincre que si Philippe B. lèche ses fillettes des pieds à la têtes, c’est un comportement naturel entre père et filles, et qu’il ne faut rien y voir de répréhensible…

Si bien qu’en 2002, le juge Mac KITTRICK autorise Philippe BLANC à reprendre les visites des fillettes sans accompagnement…

…et le condamne « à ne pas porter d’atteinte physique à Corinne G. durant une période de 1 an »…

Corinne G. craque.

Et sombre dans une longue période de dépression ; dans sa lente descente aux enfers, elle tentera par trois fois de mettre fin à ses jours, sans doute pour appeler à l’aide plus que pour mourir…

20 janvier 2004 : le divorce est prononcé, et la garde des enfants est grâce à Dieu confiée à la mère.

Corinne G. quitte l’Angleterre, munie d’une ordonnance du Tribunal de Peterborogh rendue le 15 mars 2004, qui l’autorise à quitter le Royaume Unis pour la France avec ses enfants.

Juin 2004 : Corinne G. se rend à la Brigade de Gendarmerie de Clermont l’Hérault.

Sa démarche est évidente ; faire condamner son ex-mari, qui représente toujours une menace pour ses filles en raison de ses relations… Mais ce qui la pousse à déposer une nouvelle plainte pour agression sexuelle sur mineurs contre son ex-mari, ce sont les témoignages récents de ses filles concernant des attouchements et des violences sexuelles plus précis.

Le gendarme chargé de l’enquête effectue une interview filmée des deux fillettes, conformément aux dispositions légales. Elle est édifiante.

L’homme est scandalisé ; il promet de se charger personnellement de recevoir l’ex-mari pédophile incestueux présumé si celui-ci revient sur le territoire français.

Mais Corinne G. tombe dans un nouveau piège, bien insidieux.

Sur les conseils d’une assistante sociale de la police de Montpellier, elle prend contact avec les services sociaux de Clermont l’Herault :

Qui aurait pu le prévoir ? A partir de cet instant précis, notre mère de famille perd pied, et se retrouve sous un rouleau compresseur implacable, impitoyable.

Madame DAUDET, assistante sociale, convoque Corinne G. pour lui expliquer que les fillettes sont en danger, et qu’elle va transmettre le dossier à la juge pour enfants Elizabeth CHAUVET ; le quiproquo est tellement énorme que notre mère de famille ne peut pas soupçonner que c’est elle, et non Philippe B., que l’on considère dorénavant dangereuse pour les fillettes !…

La première convocation de la juge, le 15 octobre 2004, est vécu par Corinne G. comme « un cauchemar… … éveillée » ;

- « Elizabeth CHAUVET a crié après les enfants ; elle les a traumatisé… »

Corinne G. se plaint par courrier recommandé de ce qu’elle considère comme « un comportement abusif ».

En retour, la jeune maman écope de six mois d’enquête sociale.

Elle se dessaisit de son avocate du moment, maître ROUVIER, qu’elle juge « trop mollassonne ».

Maître Emmanuelle CARRETERO, présidente de l’association « Enfance et partage », fait son entrée dans la danse ; mais les partitions de la musique ne sont pas écrites par la cliente…

Ma première question « impertinente » ; de quelle façon partagez-vous les enfants, Maître ?…

Le 14 décembre 2004, le substitut du procureur SEDIVY, pour une raison qui nous échappe, décide d’envoyer le dossier pénal monté par la Gendarmerie de Clermont l’Hérault, à Caen, en Normandie…

…Parce que Philippe B. y a travaillé jusqu’en mai 2004…

De longs mois s’écoulent sans que monsieur B. ne soit le moins du monde inquiété par l’appareil judiciaire.

Trois sinistres personnes font leur entrée dans cette danse, décidément bien sordide ;

Mesdames LOUVET, Claire MARTIN et DESDOUET, de l’APEA.

Entre autres choses, elles seront auteurs de faux témoignages et de rapports mensongers dans le but de faire passer Corinne G. pour folle.

La juge Elizabeth CHAUVET a dorénavant de la matière première pour décider d’imposer à la mère de famille, un an d’assistance éducative, et de demander une évaluation psychologique de celle-ci, par des experts désignés, sans doute eux aussi franc-maçons…

Entre temps, Corinne G. est assignée par la juge d’instruction Sabine Leclerc, pour répondre d’une poursuite de son ex-mari pédophile présumé pour « soustraction d’enfant mineur par ascendant légitime et rétention depuis plus de cinq jours » , malgré la prévention grave dont il fait l’objet.

Cette même juge d’instruction est saisie du dossier pénal à l’encontre de Philippe B.

Il est d’ailleurs à noter que Philippe B. n’a pas la qualité de « prévenu », mais de « témoin assisté », et que la plainte nominative apparaît curieusement en plainte contre X…

Mais Corinne G. n’a toujours pas accès au moindre dossier, à la moindre pièce à sa charge.

Ce n’est qu’en avril 2005 qu’elle est autorisée à 7 minutes de consultation du dossier qui se monte contre elle, par son avocate Emmanuelle CARRETERO.

Plus aucun contact n’a lieu depuis plusieurs mois entre les employées de l’APEA et la petite famille ; par contre, mesdames DESDOUET et MARTIN contactent l’ex-mari par téléphone pour lui annoncer que Corinne G. est folle.

Les trois expertises sont au diapason, évidemment ; pas de fausse note, la partition est bien apprise, le piège se referme…

Les expertises qui enfoncent Corinne G. ont été réalisées par Mme DENIS, le docteur PENOCHET, et le docteur BENDJILALI ; elle ne pourra prendre connaissance d’aucune d’entre elle avant qu’on ne lui retire ses enfants.

Aucun de ses droits de la défense n’a été respecté.

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