mardi 13 décembre 2011

Michelle Martin Pédocriminelle.





Michelle Martin, née en 15 janvier 1960 à Waterloo (Belgique), est une ancienne institutrice, ex-épouse et complice de Marc Dutroux, arrêtée en 1996 dans le cadre de l'affaire Dutroux, condamnée en 2004 à 30 ans de prison et libérée en 2012 dans le cadre d'une libération conditionnelle.


Michelle Martin obtient un diplôme d'institutrice en 1981 et rencontre Marc Dutroux à Forest la même année. Dès 1983, elle partage sa vie et devient son épouse en 1988. Elle donne naissance à trois enfants en 1984, 1993 et 1995. En 1989, elle est condamnée une première fois à 5 ans de prison pour complicité dans l'enlèvement et le viol de jeunes filles mineures commis par Marc Dutroux, mais n'en purgera que deux. En 2003, elle divorce de Marc Dutroux.
Source : 
http://fr.wikipedia.org/wiki/Michelle_Martin_(affaire_Dutroux)

Jeune fille sage, orpheline de père, Michelle Martin étouffe dans le huis-clos qu'elle vit avec sa mère, extrêmement possessive. Elle a 21 ans quand elle rencontre un certain Marc Dutroux, séduisant et beau parleur.
Tombée follement amoureuse, Michelle acceptera ses mensonges et ses maîtresses dans un premier temps, avant de partager avec lui le secret des viols, puis des meurtres de jeunes filles. Si elle se décrit paralysée par la peur et le déni, certains ne voient dans son comportement que lâcheté et indifférence. Celle qui est apparue très effacée au moment du procès est-elle une habile manipulatrice, doublée d'une psychopathe ? D'aucuns le pensent. Les journalistes de l'émission belge DEVOIR D'ENQUÊTE ont tenté de cerner la personnalité de celle qui demeure l'un des grands mystères de l'affaire Dutroux.
Xavier Bongaerts, psychiatre ; Christian Mormont, psychologue ; Nicole Malinconi, auteur de "Vous vous appelez Michelle Martin" ; Thierry Bayet, son avocat ; Marie-Line Craenembroeck, son amie d'enfance, apportent chacun leur éclairage sur la personnalité de Michelle Martin. Aux questions des journalistes de l'émission, la condamnée a répondu par une longue lettre, dont la lecture conclut ce portrait.

(11/05/2011) Michelle Martin, encore une tarée dehors !
Imaginez vous enfermée dans une cavité immonde, violée par un « adulte »  et filmée par sa propre femme.

Imaginez-vous mourir de faim, de peur, dans ce même trou infâme en pleurant, papa, maman !!!…
Julie Lejeune et Melissa Russo  âgées de 8 ans, ont vécu cela, et en sont mortes……………

Michelle Martin, ancienne institutrice, âgée de 51 ans va sortir de prison !
La justice autorise cela.
Malgré son comportement à cette époque, c’est  la loi !

Lavée par la prison dit-on !
Nettoyée par sa peine ?
Elle veut adhérer à une vie nouvelle, elle serait  prête à se reconstruire….

Il faudrait accepter alors  et l’accueillir en  France sans broncher ?
Il faudrait comprendre cette bête infâme ?

Maudite soit elle !.
Dépôt crotté, qu’il nous faudrait ramasser.
Amas de couches pourries de notre société

Ha ! J’oubliais que cela n’a rien à voir avec la justice, j’oubliais que cette même justice ne peut pas réparer les défauts et bassesses de notre société.
Est-ce qu’elle y contribue ?
Les révèle t’elle ?

On imagine :
Le papa d’An, qui "demande à genoux" à la France "de ne pas accepter la demande du monstre qui a été une bête affamée d’horreurs  pour sa fille et pour cinq autre filles. 
Et il reprend :
"J'étais très choqué. Je ne comprends pas. Je me trouve dans un trou incroyable : avant c'était un trou créé par les tueurs et les violeurs de ma fille, maintenant c'est la justice qui crée le trou, c'est pire".

Et vous ? Qu’en pensez-vous ?






(01/08/2012) La décision du tribunal d'application des peines de Mons de remettre Michèle Martin, l'ex-épouse de Marc Dutroux, en liberté conditionnelle n'a globalement été condamnée par la presse. Mais Het Laatste Nieuws parle de mauvaises lois.

"Une peine dure, mais pas une double peine", écrit Béatrice Delvaux dans "Le Soir". Pour elle, "il n'y a aucune faute commise dans cette décision légaliste". On peut estimer que Michèle Martin est libérée trop tôt, mais pas question de verser dans le lynchage. Il faut dans ce cas changer la loi. Béatrice Delvaux estime par contre qu'il y a un doute énorme sur le lieu de réinsertion choisi : un couvent "coupé du monde, géré par des femmes retirées volontairement de la vie réelle".
Pour Jean-Claude Matgen, dans la Libre Belgique, il faut "dépasser sa répulsion". Personne ne pourra jamais oublier que Michèle Martin a pu faire au-delà de tout entendement humain. Certes la loi votée par certains de ceux qui aujourd'hui la vilipendent est perfectible, estime-t-il, "mais la libération conditionnelle plus chichement accordée aujourd'hui qu'hier répond légitimement au souci de la société de ne priver personne de tout espoir de sortir un jour de son enfermement. Il ne serait pas raisonnable d'en contester le principe en fonction de la personnalité de celui qui la sollicite".
Philippe Martin, dans l'Avenir, juge que l'incompréhension dominante prouve que "justice et morale sont parfois difficilement compatibles". L'éditorialiste souligne qu'au regard du droit, Michèle Martin répond à tous les critères pour bénéficier d'une libération conditionnelle, "des critères objectifs applicables à tous quel que soit leur nom". Philippe Martin a par ailleurs rappelé que les conditions de libération ont été revues dans l'émotion de l'affaire Dutroux. "Même si émotion et opportunisme électoral aidant, des partis comme le MR et le cdH réclament à présent des peines de prison incompressibles", a-t-il dit.
"Michelle Martin doit sa probable libération anticipée à de mauvaises lois", écrit l'éditorialiste du "Laatste Nieuws" pour qui seize ans de prison pour celle qui a collaboré volontairement et consciemment aux horribles faits de Marcinelle est "scandaleusement peu".
La loi s'applique aussi à Michelle Martin, "mais nous pouvons comprendre la colère, les frustrations, l'amertume, et sentiment d'injustice des familles", ont écrit les quotidiens Het Belang van Limburg et Gazet van Antwerpen dans leurs éditos.
Pour Het Nieuwsblad, "la raison et le coeur buttent sur la question de savoir si cette femme peut bénéficier d'une libération anticipée".
Le Standaard estime qu'"il y a clairement quelque chose qui ne va pas avec la sanction dans la société". Par ailleurs, Michelle Martin sortira quoiqu'il advienne un jour de prison. Enfermer tous les condamnés plus longtemps n'est pas la solution, estime le quotidien de tendance chrétienne-démocrate.
La plupart des journaux ont enfin souligné que l'accord de gouvernement prévoyait un renforcement de la durée de séjour minimum en prison en cas de condamnation à 30 ans et plus. La ministre de la Justice Annemie Turtelboom (Open Vld) déposera un projet de loi qui devrait être voté dans ce sens d'ici la fin de l'année.Belga
Source : http://www.rtbf.be/info/societe/detail_liberation-de-michelle-martin-ce-qu-en-disent-les-editorialistes?id=7814194

(01/08/2012) Le tribunal d’application des peines de Mons a approuvé mardi la libération conditionnelle de Michelle Martin.
Celle-ci devrait être accueillie au couvent des Clarisses à Malonne, un ordre qui existe depuis près de 800 ans. Qui sont les sœurs Clarisses et comment vont-elles cohabiter avec Michelle Martin ?
Les sœurs Clarisses sont arrivées à Malonne il y a un peu plus de 100 ans.  Le couvent se situe sur les hauteurs de Malonne, légèrement décentré du village. Les sœurs vivent une vie contemplative, rythmée en fonction des différents offices et de l’eucharistie quotidienne. "Les sœurs Clarisses de Malonne sont au nombre de 11 pour l’instant. Elles font le travail d’une grande famille : le ménage, le potager et de quoi s’occuper", nous dit l’abbé Tommy Scholtes.
Les sœurs Clarisses accueillent également des hôtes pour un temps de repos spirituel.  La plupart du temps, elles vivent en silence, cloîtrée dans leur monastère. Et les voisins ne les fréquentent pas beaucoup. "Moi, je les vois depuis que je suis tout petit. J’habite ici depuis 38 ans. Elles sont très discrètes, ne sortent pas sauf pour faire des courses une fois par semaine. Et encore…"
Rodées dans leurs habitudes, leur quotidien ne devrait finalement pas tellement être chamboulé par l’arrivée de Michelle Martin. La plupart des sœurs ne devraient probablement pas avoir de contact avec elle. "Normalement, reprend l’abbé Tommy Scholtes, seules certaines sœurs auront des contacts avec Michelle Martin. Celle-ci se fera probablement très discrète dans la vie communautaire."
Michelle Martin ne fera d’ailleurs pas partie de la communauté. Elle sera accueillie dans une pièce du monastère, mais sans en être membre à part entière.

(20/12/2012) Michèle Martin est bien aller à Knokke où elle est passée chez le coiffeur. Une sortie qui, selon la loi, ne nécessite aucun encadrement judiciaire.


20/12/12 09h31 - Michelle Martin a été vue à Knokke la semaine passée. L'ex-femme de Dutroux s'est rendue au restaurant et chez le coiffeur. Le patron du salon témoigne: "Je ne l'ai pas reconnu au début. Elle a réservé sous un faux nom. Lorsqu'elle s'en est allée, un collègue a dit 'je la connais". Là on a compris. Nous sommes encore sous le choc."





(17/06/2013) Michelle Martin a versé 40 euros au papa d'Eefje, Jean Lambrecks.


Belga



Michelle Martin a versé de l’argent, pour la première fois depuis sa condamnation en 2004 dans le cadre de l’affaire Dutroux, à un parent de victime. Elle a transféré, depuis le monastère de Malonne, deux fois 20 euros sur le compte de Jean Lambrecks.


En 2004, Michelle Martin avait été condamnée à une peine de prison mais également à verser 179.000 euros de dommages et intérêts aux victimes.

Selon Het Belang van Limburg et Gazet van Antwerpen, Jean Lambrecks a récemment constaté que Michelle Martin a viré à deux reprises de l’argent sur son compte. «A mon grand étonnement, j’a vu qu’elle m’a fait un versement en mai et un autre en juin», a précisé M. Lambrecks.

D’après ce dernier, ce geste fait suite à la plainte qu’il a déposé contre Michelle Martin en août dernier pour insolvabilité frauduleuse.

Jean Lambrecks l’accuse de s’être volontairement appauvrie pour ne pas devoir indemniser les proches des victimes et estime que les soeurs des Clarisses ont collaboré à la supercherie. L’enquête concernant cette plainte est toujours en cours.

(18/06/2013) Michelle Martin ne fait plus rien au monastère de Malonne: les sœurs clarisses veulent s'en débarrasser.

N.B.

Hébergée depuis le 28 août dernier au couvent de Malonne, Michelle Martin aurait perdu la confiance des sœurs clarisses. Ces dernières se plaindraient de plus en plus de la présence de l’ex-femme de Marc Dutroux et chercheraient même une solution pour lui faire quitter le couvent!

Souvenez-vous, le 28 août dernier, l’arrivée de Michelle Martin chez les sœurs clarisses avait provoqué un véritable tollé et même des manifestations violentes dans le village d’habitude si paisible de Malonne.

À l’époque, les sœurs tentaient tant bien que mal de défendre leur pensionnaire. Neuf mois et demi se sont écoulés depuis lors et il semblerait bien que l’avis des bonnes sœurs ait changé depuis lors. Selon des sources fiables, les clarisses chercheraient même, depuis quelques jours déjà, à se débarrasser de Michelle Martin. Elles auraient ainsi confié ne jamais vraiment avoir eu le choix d’accueillir la femme la plus détestée du pays. Ouvertes à l’idée d’aider leur prochain, les sœurs ont malgré tout accepté celle qui était censée participer à la vie communautaire du couvent.

Mais voilà, Michelle Martin n’en aurait que faire des tâches ménagères et autres et passerait son temps… à ne rien faire. En tout cas pour ce qui est des moments qu’elle passe au couvent car ses sorties sont fréquentes.
Source : http://www.sudinfo.be/746065/article/actualite/belgique/2013-06-17/michelle-martin-ne-fait-plus-rien-au-monastere-de-malonne-les-soeurs-clarisses-v

AVoir :
L'affaire Dutroux.
L'affaire Dutroux SYNTHESE.
Marc Dutroux Pédocriminel.
Les victimes Dutroux.
Laurent Louis montre les photos de l'autopsie de Julie et Mélissa.
Décadence mondiale.
ZAMBLA encore une vérité cacher... Du viol d'enfants au Snuff Movie.

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