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mercredi 24 avril 2013

Extrême Urgence en France Demande d’Intervention immédiate du Conseil de Sécurité


Madame AMYOT Fabienne                                 Le 22 mai 2012

Diplômée de H.EC Paris
Docteur en Chirurgie Dentaire
Candidate au Poste de Procureur de la Cour Pénale Internationale 2012
Candidate à l’élection du Président de la République Française 2012

A l’attention de :
Mr Nassir Abdulaziz Al Nasser
Président de l’Assemblée Générale
Des Nations Unies
Avenue de la Paix 14
1202 GENEVE
SUISSE
Objet :
Extrême Urgence en France
Demande d’Intervention immédiate du Conseil de Sécurité
AU NOM DE L’HUMANITE
A TOUS LES CHEFS D'ETAT

Monsieur le Président de l’Assemblée Générale des Nations Unies,
Je sollicite de votre part un rendez-vous de toute urgence pour une intervention sans délai des Nations Unies en France, selon la mission confiée à l’ONU.

Je vous rappelle quelques faits pour mémoire puisque l’ONU est prévenue et saisie mais s’abstient et ce, alors-même que, suite à des demandes pressantes d’ONG et d’institutions, elle a mandaté en 2002 en France un Rapporteur aux fins d’évaluer l’existence de crimes sexuels massifs commis sur les enfants, du traitement qui est donné par les institutions françaises à ces faits criminels. Ce Rapporteur a établi immédiatement après son passage une note préliminaire aux fins d’intervention en urgence de l’ONU et a conclu à :
- Une situation d’urgence
- Une situation de risques graves et réels pour les enfants français et de privation de droits
- Des carences multiples et des graves dénis de justice de la part des institutions judiciaires sur les crimes commis contre les enfants
- Des risques de « poursuites administratives » pour ceux qui aident les enfants violés ou dénoncent les viols commis sur des enfants
- La création en France de matériel pornographique dont l’un contient à lui seul 8000 photos d’enfants abusés
- Des violations des modes de procédures judiciaires permettant le placement de l’enfant victime au domicile de la personne incriminée comme abuseur
- La condamnation , par leur Conseil de l’Ordre des médecins qui signalent des soupçons d’abus sexuels sur des mineurs
- La nécessité de la création d’un tribunal international pour pallier à l’incapacité des tribunaux français à remplir leur mission.
- La nécessité de mener des enquêtes complètes et impartiales
Ce constat était le voile levé sur un atroce génocide. Les termes du rapporteur sont sans aucune ambiguité.
L’ONU a-t-elle jamais eu à sa disposition pour intervenir sur un territoire, des faits aussi précis de crimes de masse contre une population, flagrants, nombreux et même avec des moyens de chiffrage, mettant en évidence les comportements de chacun des intervenants de manière précise et preuves à l’appui de l’existence de tortures et de crimes ?
Que la barbarie de viols de masse manifestement institutionnalisés, ait été renvoyée au secret par l’ONU a donné l’assurance aux ultra-criminels de garantie d’impunité et de barbarie débridée.
Même les nazis n’ont jamais bénéficié d’une telle liberté pour commettre les exterminations. Ils étaient connus et combattus.
Des sacrifices humains des enfants sont commis en France par rites monstrueux, commis sur des enfants et en présence d’enfants et durent depuis 1960 d’après les témoins survivants et les preuves.
Les témoins et les survivants sont formels, à chaque sacrifice rituel, ils attestent de la présence de fonctionnaires (éducateurs, gendarmes, huissiers, personnes masquées…). Les mots n’existent pas pour dire le niveau de choc traumatique, de perpétuation des souffrances des victimes privées de soins, déniées, maltraitées jusqu’à ce que mort s’en suive pour la plupart ou jusqu’à disparition.
Même des fonctionnaires de police demandent de l’aide via internet ; choqués et terrorisés.
La teneur de leurs écrits démontre le niveau de terreur dans lequel ils sont maintenus.

C’est cette terreur qui est imposée…..à des enfants !
C’est un humanicide, le pire de toute l’histoire de l’humanité.
Il est commis au sein des institutions.
Contre toute attente des criminels, l’humanicide est flagrant, atrocement et effroyablement constatable.
L’inertie de l’ONU, informée, dotée d’un rapport dès 2002 suffisamment alarmant pour empêcher toute inaction, n’a fait qu’aggraver le niveau de barbarie insoutenable des faits.
L’humain reprend ses droits après des décennies. Ma légitimité et mes motivations sont humaines et indéracinables : plusieurs de mes enfants ont été tués ou enlevés pars ces criminels-humanicides, avant mes 14 ans. L’arrêt des grossesses forcées des mineures victimes de viols est une priorité humanitaire dans ce génocide.
Les criminels qui ont placé mes enfants utilisent tous les moyens institutionnels possibles depuis 40 ans pour nous torturer, à un niveau qui dépassent l’entendement mais qui est constatable immédiatement et pour empêcher que la vérité ne se manifeste et que l’humanité ne soit rétablie dans son droit original, puisque toute l’humanité est bien impactée par cet humanicide.
J’ai pleine connaissance que c’est un état de guerre, le pire qui soit, celui d’hommes dotés des pouvoirs politiques, contre des enfants démunis, des mères explosées par les tortures civiles, sociales, judiciaires et psychiques.
C’est le pire état d’agression qui existe, qui ait été conçu volontairement par des criminels qui ont perdu tout lien avec la notion même d’être humain, qui ait été froidement mis en oeuvre et institutionnalisé durant des décennies, plaçant tous les citoyens sous emprise et manipulations.
Il est organisé, structuré et fonctionne comme une armée, donc bien évidemment d’une élémentaire simplicité à constater et à juger, dès lors qu’il est enfin admis qu’on ne doit pas sacrifier les enfants, que ce n’est pas normal, que même en France, on ne peut pas se permettre cela impunément.
Des moyens adaptés à l’arrêt de cet humanicide sont en cours mais rien ni personne ne peut priver les citoyens français de l’aide de la Communauté Internationale qu’ils ont financée et qui leur est garantie par l’ONU.
Faire semblant de ne pas entendre les cris de ces enfants, est aussi monstrueux que ceux qui s’en repaissent. Attendre que des enfants soient contraints à demander de l’aide, alors que livrés à une telle apocalypse, est déjà monstrueux. L’ONU a mission et obligation de prévention sans condition., encore plus d’intervention.
L’ONU n’a aucune liberté, sauf à abuser de ses pouvoirs, de ne pas intervenir dès lors qu’elle dispose d’éléments suffisants permettant de penser que des droits fondamentaux sont violés envers une population ou une catégorie de personnes. L’ONU n’a aucun pouvoir de soustraire la France entière à son obligation d’intervention, ce faisant encadrant un massacre.
L’ intervention du Conseil de Sécurité de l’ONU est acquise sans condition.

Je demande à tous les chefs d’Etat, de mettre nominativement chaque responsable de l’ONU, en demeure de remplir sa mission en France immédiatement.
Que ceux qui lisent comprennent l’explosion nucléaire de souffrances, inextinguibles, que les « institutions françaises » font porter à des innocents fragiles chaque seconde de leur vie de martyre, des enfants massacrés auxquels ont fait supporter des violences et des coups terribles, infligés avec la puissance de la force publique et que ceux qui lisent, comprennent que pas une seule seconde cela ne peut continuer. C’est un ultimatum mondial.
L’entrave faite par l’ONU adossée à l’imposition d’un secret par emprise sur tous les media ont conduit à une monstruosité dès lors qu’il s’agit d’enfants et des pires crimes jamais décrits dans toute l’histoire de l’humanité. Devoir écrire cela à ceux qui ont devoir de protéger leurs pareils, signe déjà la présence d’un génocide car le déni n’existe pas pour ceux qui ont autorité, il est toujours accompagné d’actes concrets pour maintenir sous silence.
Comme vous le savez, dans le Var, trois petits enfants martyres ont été déportés et témoins en un an de pas moins de 16 sacrifices rituels d’enfants commis en leur présence. Leur parcours, comme celui de tous les autres témoins et survivants, depuis leur premier témoignage, relève de la déclaration de guerre, est intolérable, insupportable. Il faut néanmoins parler de ces enfants parce que personne n’a l’intention de leur porter secours et qu’ils sont programmés pour disparaitre rapidement.
Ils ont été arrachés à leur mère par le gendarmes le deuxième jour après avoir parlé. Leurs dessins et leurs paroles sont effroyables d’évidence de cannibalisme, de mutilations, d’atrocités et de monstruosité jamais mise en oeuvre nulle part.
L’ONU a eu transmission d’un dessin en février 2012 sans s’émouvoir.
Outre qu’ils doivent se taire, qu’ils ont été privés de soins, arrachés à leur mère pour éradiquer les preuves, les souffrances supplémentaires qu’on leur a infligées sont d’un niveau d’abomination intolérable, inacceptable et qui relève de l’obligation de connaissance par le monde entier car chaque habitant de la planète est solidaire de telles monstruosités infligées sans répit depuis 4 ANS par des procédures atroces de violence, de haine et de barbarie et par placement dans les mains des humanicides !!
Comme vous le savez, 400 000 personnes en France sont actuellement privées de connaitre leurs origines, la plupart nées dans ces camps et suite à ces viols rituels, torturées par les institutions pour ne jamais avoir accès à leur « famille » d’origine, comme moi-même et mes propres enfants, jusqu’à assujetisation radicale au pouvoir absolu institutionnel.
Personne ne s’offusque des crimes rituels, des mutilations, du cannibalisme qui l’accompagne et auxquels les petits martyres sont soumis, ni même de l’origine par grossesse forcée et trafic des enfants sacrifiés puisque le système est à ciel ouvert. Il est normal en France, under control.
Je saisis l’ONU une dernière fois car c’est un devoir d’humanité mondial que d’intervenir sans un seul jour de délai supplémentaire.
L’ONU et la CPI n’ont rien fait et ont perdu leur légitimité.

Le bilan de la CPI est déplorable sur le plan judiciaire, manifestement frappé d’impartialité et donc d’incapacité et de plus, avec des bilans financiers exorbitants sans résultat.
La CPI n’a plus de légitimité à agir en France dans l’humanicide.
Les survivants demandent l’instauration d’un Tribunal International indépendant composé de membres de toute la Communauté Internationale, compétents, ayant une expérience et une solide éthique pour juger les criminels humanicides.

Les survivants demandent le déploiement des forces du Conseil de Sécurité de l’ONU en France, par tranches géographiques avec en premier le Doubs et le Var
Les survivants demandent un tribunal international indépendant pour être rétablis dans leurs pleins droits et réparation, sans aucun délai supplémentaire. L’exclusion de la race humaine qu’ils ont eu à subir durant des dizaines d’années, fait qu’on peut estimer à deux cents ou trois cents procédures nécessaires par survivant pour mettre fin aux tortures et procédures et les rétablir chacun dans leurs droits.
Le Conseil de Sécurité de l’ONU doit donner immédiatement les moyens de déploiement des forces de sécurité dans les départements où ces faits sont en cours et où les témoins sont torturés.
A ce titre, je demande à l’ONU de me recevoir sans délai pour mettre en oeuvre la fin immédiate du génocide et je demande à chaque chef d’Etat de suivre les actions qui sont mises en place et de s’impliquer personnellement au nom de l’humanité et de leur propre paternité.
Je remercie chaque chef d’Etat qui prendra contact directement avec moi afin de mettre en oeuvre, sans échec possible, l’arrêt du génocide et de mettre en oeuvre sans délai dès maintenant la reconstruction de la France, et par là-même des autres pays européens.
Depuis des années, sans répit, j’oeuvre en France, à l’ONU et à la Cour Pénale Internationale pour crever le silence et la chape criminelle qui recouvre ces faits, pour aider les victimes et les survivants, accompagner les mourants, pour dénoncer l’inceste institutionnel et judiciaire français.
En 2011, j’ai déposé ma candidature au Poste de Procureur de la Cour Pénale Internationale d’une part parce j’ai l’expérience et les compétences pour occuper ce poste, et d’autre part parce que j’ai compris que l’emprise politique de la CPI doit cesser à tout prix immédiatement puisqu’elle est le garant de l’humanicide en France, de la chute de l’Europe et du déclin mondial.
J’ai saisi l’Assemblée Générale des Nations Unies en février 2012 aux fins d’une procédure en reconnaissance de la nullité de l’élection du Procureur de la Cour Pénale Internationale puisque l’élection encadrée par le Statut de Romme a été remplacée par une passation de pouvoir directe envers une personne manifestement sans liberté interne et sans diplôme, Madame Bensouda.
L’ONU s’est abstenue à ce jour mais la CPI n’en demeure pas moins privée de procureur légitime.
La CPI fait l’objet d’une prise de pouvoir par un groupuscule qui n’a aucune légitimité pour décider de la guerre dans le monde, alors même que la Paix est réclamée partout et qui semble avoir des liens proches des humanicides français.

J’ai déposé une plainte à la Cour Pénale Internationale le 22 juin 2010 pour dénoncer les tortures à visée exterminatoire contre les survivants du génocide français. La CPI s’est abstenue.
J’ai demandé depuis plusieurs années l’intervention du Conseil de Sécurité dans le Doubs en France, laboratoire de l’humanicide, foyer de départ, où l’éradication de toute notion d’humanité est consommée, où la séparation de deux groupes identifiables d’individus est institutionnalisée partout : les sujets et les sur-hommes. J’espère qu’il n’existe nulle part ailleurs des preuves aussi organisées, flagrantes, évidentes, normales de l’existence d’une humanité animalisée au service des sur-hommes qui se sont emparés de toutes les fonctions de gré ou de force. La situation dépasse l’entendement et est volontairement laissée en l’état puisque la proximité du Doubs avec la Suisse prime sur toute autre considération, même génocidaire. Jamais l’archaïsme criminel n’a été poussé à une telle extrémité que dans le Doubs, jusqu’à la banalisation animalisée de l’inhumain et accès aux fonctions gouvernementales.
Dénier les témoins et les survivants, ou plutôt tenter de le faire, ratifie l’extrême inhumanité, si besoin était.
De mémoire, jamais des survivants n’ont été enterrés durant 50 ans ! Les enquêtes établiront la réelle proportion mais nous les survivants, tous nous attestons de monstruosités jamais décrites nulle part dans l’histoire de l’humanité, en nature, en nombre et en durée. Tous nous avons vu mourir un nombre incalculable de personnes de la même manière.
Personne n’a ce pouvoir de dénier un humanicide et ceux qui se le sont attribués doivent être immédiatement arrêtés et jugés, quel que soit leur statut, même si eux n’ont jamais laissé à leurs victimes la chance d’avoir affaire à des institutions réellement humaines.
J’ai demandé l’intervention urgente de l’ONU le 11 décembre 2010 pour faire cesser les tortures et les actes de barbarie contre les survivants du génocide qui portent plainte en justice et pour faire cesser les mesures de rétorsion contre les êtres humains qui prennent la défense des enfants et mettent en cause les criminels. L’ONU s’est abstenue.

J’ai demandé l’ouverture d’une procédure à la Cour Pénale Internationale le 7 juin 2011 pour enlèvement et détention en esclavage de mes enfants. La CPI s’est abstenue.
J’ai demandé le placement sous protection des survivants le 3 octobre 2011 selon le Statut de Rome. L’ONU s’est abstenue.

J’ai dûment saisi le Président Mr Sarkosy en 2011 et la mère des enfants témoins des sacrifices humains l’a fait également pour lui demander de l’aide. Il s’est abstenu.
J’ai demandé à plusieurs reprises de l’aide pour des femmes violées et torturées, placées sous l’emprise de leur bourreau et qui ne parvenaient plus à protéger leurs enfants. Toutes avaient été violées durant leur enfance. Toutes ces mères ont fini isolées, séparées de leurs enfants qui sont systématiquement placés chez le bourreau de la maman auquel celle-ci doit payer une pension alors qu’elles sont sans ressource. Ma belle-sœur est ainsi décédée à 4O ans, trouvée morte dans son garage par son fils, devenu orphelin avec mon autre neveu. Elle est décédée sans avoir vu l’ombre de la justice, après avoir été totalement spoliée et dans un extrême dénuement. Je connais une autre maman de 43 ans en train d’agoniser en Guadeloupe dans des conditions identiques après avoir été violée durant plus de 10 ans par son compagnon, que ses 4 enfants lui aient été retirés, qu’elle soit atteinte de cancer et laissée sans soin et que tous les jugements soient rendus contre elle. J’ai écrit il y a deux mois spécialement au Garde des Sceaux par lettre recommandée pour elle, en donnant ses coordonnées, en demandant qu’elle soit rétablie dans ses droits, soignée. Personne n’a rien fait depuis et je n’ai même pas reçu de réponse du Garde des Sceaux. Elle va décéder seule sans avoir revu ses enfants, dans des conditions que personne n’a idée d’imposer même à un animal. Elle pèse actuellement 40 kilos pour 1m 85 et n’est pas soignée, ni même placée sous antidouleur.
J’ai demandé l’ouverture d’un procès à la Cour Pénale Internationale contre le Président français le 7 avril 2011 pour haute trahison, pour détention arbitraire de mon enfant et d’enfants handicapés dans des centres de santé clandestins et pillage de fonds publiques, pour tortures et actes de barbarie commis par les institutions, pour détournement des institutions judiciaires comme armes de guerre contre les civils et les survivants (dossier de 800 Pages de pièces et de preuves).

La CPI s’est abstenue tout en accusant réception de ma demande d’ouverture de procès et en me disant qu’il y serait donné réponse « par écrit » !
J’ai demandé, comme le Rapporteur de l’ONU l’a fait en 2002, la mise sous tutelle des institutions judiciaires en France. La CPI s’est abstenue.
Le 9 février 2012, j’ai saisi le Conseil de Sécurité des Nations Unies afin de faire cesser les sacrifices humains, afin d’informer les français de la situation avant le vote et de s’assurer de la « moralité » des candidats à l’élection et spécifiquement de leur non implication dans le génocide, afin de mettre sous tutelle le processus électoral du Président de la République française instauré par accumulation de viols des droits des candidats émanant de la société civile, par absence de mise en oeuvre des moyens obligatoires élémentaires pour la légalité du processus électoral et par violations de la Constitution, le scrutin direct qui fonde la V° République, étant transformé en scrutin indirect par pré-sélection d’un collège électoral d’un candidat.
Quelle que soit la perversité des moyens employés, la France n’en demeure pas moins privée de son Président légitime, faute d’élection légale et de citoyens dument informés.
L’ONU a parfaitement connaissance des éléments de preuves qui démontrent l’illégalité du processus électoral. En s’abstenant d’intervenir, elle lèse irrémédiablement le peuple français et ce d’autant plus que, dans des situations similaires en Afrique, l’ONU n’a eu de cesse de menacer les imposteurs jusqu’à leur départ pour replacer les civils dans leurs droits. L’ONU doit engager immédiatement une enquête sur la légalité du processus électoral en France faute de ratifier une nouvelle fois sa volonté de livrer les français et de les priver de l’ensemble de leurs droits jusqu’à totale destruction de la France.
Je suis candidate officielle aux élections présidentielles 2012 en France.
La légalité de l’élection est contestée par une avocate d’Aix en Provence devant le Conseil Constitutionnel en France. Il reste à démontrer les motifs qui ont animé le Conseil Constitutionnel pour mettre en oeuvre un tel mode électoral alors qu’il a mission de préserver les droits des citoyens.

Je demande l’arrêt du génocide ET une enquête et vérification du processus électoral tant il est urgent de s’assurer que la logique du génocide n’a rien à voir avec les illégalités de l’élection et que les ministres et l’équipe gouvernementale n’ont aucun lien direct avec les humanicides.
La France violée et sacrifiée, n’a pas la liberté interne actuellement de procéder à une élection et je l’ai signalé dès février 2012 à l’ONU en demandant que les français soient informés de la situation.
L’abstention de protection de la CPI, l’abstention de protection de l’ONU, les abstentions prolongées et volontaires d’arrêt des massacres constituent, en vertu des missions qui leur sont confiées, un état de guerre déclarée de l’ONU et de la CPI contre les enfants français et les survivants, comme si ce surcroit d’agression était humainement supportable.
Quelques criminels sont parvenus à mettre sous emprise tous les responsables d’Europe ?
Et ce à la place de la protection qui est garantie et proclamée et que les français ont très lourdement financée au prix de la stabilité économique du pays.
Par son intervention à réception de la présente, l’ONU doit réparer immédiatement le sens unique manifeste des traités qu’elle a fait signer à la France et manifester qu’elle n’a plus l’intention de soutenir les criminels.
Pire, sans l’existence de l’ONU et de la CPI, si ces mêmes massacres avaient eu lieu en 1940, les enfants français et les survivants auraient pu bénéficier de l’aide rapide des pays étrangers. L’existence de l’ONU et de la CPI a isolé radicalement les victimes, entrainant un niveau de massacre jamais vu dans toute l’histoire de l’humanité, au point que 16 enfants sacrifiés dans un seul département en un an est banalement banal et d’une élémentaire simplicité à gérer pour les institutions, à cacher aux français, à enfouir en justice, à rentabiliser.
J’ai saisi Mr Barak Obama et Mr David Cameron en avril 2012, Mme Angela Merkel également en 2011.
Toutes les institutions européennes saisies s’abstiennent volontairement.
La Cour de Cassation a rendu un arrêt le 17 juin 1997 qui stipule que « la minoration outrancière du nombre de victimes caractérise le délit de contestation de crime contre l’humanité prévu et puni par l’article 24 bis de la loi du 29 juillet 1981 lorsqu’elle est faite de mauvaise foi ».
Si l’ONU n’a pas mis en oeuvre les mesures de M r PETIT, son rapporteur en 2002, elle n’en demeure pas moins au courant et responsable de la situation alarmante dans laquelle se trouvent les enfants français.
En France, compte-tenu des moyens énormes et multiples déployés, il est manifeste qu’il n’y a pas déni du génocide mais tentative de le rendre occulte, puisqu’il est pour une partie (15% peut-être) rédigé, répertorié, structuré par des « jugements » rendus par les tribunaux.
Le fait que toutes les preuves y soient grossièrement dénaturées, que tous les faits déjà cités par le Rapporteur de l’ONU continuent, comme il était prévisible puisque l’ONU a considéré qu’il était préférable ainsi, que les codes de procédure soient violés de manière à tourner en dérision manifeste les victimes, que les enfants soient torturés par des interrogatoires destinés à l’avance à les dénier, ce qui constitue le pire viol de conscience imaginable au monde, la pire torture psychique possible pour un enfant violé, mais que les viols, tortures, sacrifices humains aient donné lieu à des écrits, de surcroît judiciaires, où la forfaiture, l’intention criminelle ont la force manifeste des bombes, et frappent les petites victimes de condamnations atroces, fait que la loi du 29 juillet 1981 est également applicable à cet humanicide. Ces écrits permettent sans faille et sans erreur possible de déterminer la réalité de l’apologie du crime contre l’humanité, du crime de guerre, de délits de collaboration manifestes et aisément constatables.
Que le Rapporteur de l’ONU, qui pourtant réclame en 2002 l’instauration pour les enfants français victimes de viols, d’un tribunal international extérieur à la France et indépendant, écrive que, en matière de viols : « les décisions prises par les juges ne correspondent pas à l’intérêt supérieur de l’enfant » (formulation pro-humanicide), cela signifie en réalité humaine, puisque c’est bien la notion de réalité humaine c’est-à-dire : de faits à vivre par une personne, par l’autre, de faits que l’on ordonne à un enfant de vivre en sa personne, en son corps, en son psychisme : « est condamné à être séparé de sa mère, est condamné à vivre chez le père alors que l’enfant dit être violé par le père », donc des enfants sans force, extrêmement fragilisés par des viols et des scènes atroces, privés de tout soutien, de toute prise en charge de leurs souffrances, de tout soin, sont envoyés en camp de concentration, lobotomisés par la justice en sus, exposés volontairement aux viols quotidiens, aux tortures psychiques et à la barbarie dont on est humainement obligé de tenir compte, puisque ces faits sont là ; que nous en sommes tous responsables.
De plus, ils sont privés de leur mère. Cette seule privation détruit la vie d’un enfant non violé.
Qui peut non pas s’octroyer droit de vie et de mort, car là il est largement transgressé mais sciemment, au Nom d’un Peuple ( !!!), condamner un enfant par devant un tribunal à la concentration à vie, aux pires sévices quotidiens, aux pires souffrances psychiques, à la dérision, à l’humiliation, à la conscientisation qu’il n’est rien jusqu’à ce qu’il soit réduit par transe à ne plus pouvoir rien vivre par lui-même et jusqu’à ce que mort s’en suive puisque l’immense majorité des survivants n’a aucune espérance de survie à plus de 25-30 ans. Soit ils disparaissent, soit ils se suicident, soit ils sont enfermés en asile psychiatrique ou décèdent d’un cancer foudroyant.

Ces atrocités massives ont radicalement changé le cours de toute l’humanité, définitivement parce qu’il ne s’est pas encore trouvé, depuis 50 ans, un seul fonctionnaire qui dise STOP ou qui ne se plie pas aux menaces, tellement un enfant n’est rien, plus rien, pas même conscientisable.
Il ne s’est pas encore trouvé en France des pères et des mères informés et les institutions ont escompté sur le silence alors que les survivants ont escompté sur l’existence et la persistance des pères et des mères partout dans le monde, malgré l’extrême monstruosité en cours.
Le rôle des media est capital dans ce génocide. Les journalistes en sont le ciment ;
J’ai passé des jours à tenter de convaincre les journalistes d’informer, de prévenir, d’aider. Ils se sont appropriés tout l’espace de parole national et sont tous au courant des faits, des viols et des sacrifices humains. Certains journalistes ont même fait des films et des reportages avec des témoins, relevé le nom des criminels connus, et ont fait croire aux témoins que c’était bien évidemment pour informer. Or les reportages n’ont jamais été ni diffusés, ni publiés.

Les journalistes sont utilisés par certains humanicides pour sonder les témoins et les survivants.
L’obligation de l’ONU d’intervenir est intransgressable.
Non seulement tous les chefs d’Etat du monde sont saisis, un à un de cet humanicide, mais sans réaction immédiate, tous les responsables de l’ONU et de la CPI doivent être immédiatement suspendus de leur charge.
J’espère donc très vivement que vous êtes mère, et que vous saurez saisir cet ultime recours afin que le pire humanicide se termine par la justice rendue grâce aux institutions parce que dans tous les cas, les français informés, sauront rétablir dans sa légitime réalité humaine, ce génocide.
Je demande à l’ONU :
- De recevoir les témoins
- De mener avec eux les enquêtes sur place avec toute liberté d’intervenir dans toutes les institutions
- D’établir un tribunal international avec des juges et des experts sur avis et aval des témoins
- D’interdire immédiatement aux gouvernements français tout acte institutionnel, surtout considéré comme légal et légitime par les institutions, contre les survivants, et en fixant par avance des dommages et intérêts suffisamment dissuasifs pour qu’ils ne passent pas outre.
- De saisir le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel français aux fins de faire cesser l’interdiction de toute information sur le génocide et la propagande forcée sur les faux souvenirs et toute communication qui soit partiale et anesthésiante
L’ONU a obligation de rechercher tous les éléments permettant de s’assurer de la nature des crimes, de leur nombre, de leur localisation, du nombre et du statut des criminels et de mettre en oeuvre sans un seul jour de délai supplémentaire, tous les moyens permettant de faire cesser le génocide, de soulager les victimes torturées et de faire justice et de soigner les victimes, de réunir les mères et les enfants dont la séparation a été programmée pour les contraindre au silence.
L’instauration d’un tribunal militaire pour juger immédiatement les criminels est impératif et urgent.
Une mise en demeure doit être adressée immédiatement au gouvernement français pour qu’il cesse toutes les procédures contre les témoins et les victimes, toutes les spoliations et menaces de toute nature qui constituent des tortures extrêmes et qui sont toutes infligées au travers des institutions par des procédures viciées et avec viol systématique et flagrant des modes de procédures afin de ratifier son humiliation à la victime et de la tourner en dérision et selon le mode de jouissance jamais assouvie des humanicides.
La perversité de ces milliers de procédures est extrême, pire que celles des pires goulags.
Personne n’a le droit de condamner des victimes sans fait et sans fin, par pur sadisme et toute puissance. Or tel est le cas depuis 50 ans en France, les tortionnaires sont les pires de toute l’histoire de l’humanité, cela se passe en Europe, soit-disant fondée sur l’égalité entre les ressortissants.

Moi-même, alors que j’ai été martyrisée dans ce pays, que l’on m’a pris mes enfants, que je dénonce les crimes et ne cesse de soutenir les autres victimes et survivants, que je ne cesse d’organiser des conditions de survie pour les victimes, alors que j’ai demandé la protection à laquelle les témoins ont droit, alors que cette protection ne peut pas m’être refusée, je suis agressée de plus en plus, en lieu et place de protection, la CPI et l’ONU ont eu un rôle décisif sur l’aggravation des violences en lieu et place de leurs obligations de protection.
Personne ne peut imaginer ce que les institutions sont capables d’inventer jusqu’à ce que mort s’en suive. C’est tellement inconcevable que les femmes qui tentent de parler, sont immédiatement décrédibilisées par leurs interlocuteurs parce que personne n’accepte de les croire. Grâce à cette énormité, les institutions n’ont absolument aucune limite et se permettent tout, tous les jours.
Les humanicides ne prennent aucune précaution pour cacher les moyens de destruction des survivants parce que c’est hors de leur portée de penser qu’un jour ils pourraient être contrôlés ou incriminés, parce que c’est normal et naturel pour eux, que cela fait pour la plupart 50 ou 60 ans qu’ils se sont attribués ces droits par auto-conviction de légitimité, par passion de la perversité, parce qu’ils ont pouvoir absolu sur de nombreuses institutions, et surtout qu’ils savent qu’ils ont des garanties d’impunité, spécifiquement tant qu’ils sont piliers de blanchiment.
Les institutions ne peuvent pas être utilisées plus longtemps comme des armes de guerre nucléaire contre les civils et les survivants en France.
A ce titre, le seul pays au monde qui soit réellement capable et en train de programmer une atteinte nucléaire, ce n’est pas l’Iran, c’est la France.
L’ONU doit immédiatement donner aux victimes des viols institutionnels et judiciaires, la possibilité d’être signalés comme tel et protégés jusqu’à la fin des procès.
Les survivants demandent l’application de toutes les conditions prévues dans l’accord de Londres de 1945, qui s’avère être la seule doctrine judiciaire qui permette une approche des faits dont ils ont été témoins et capable d’y mettre un terme.
La situation d’humanicide relève de l’accord de Londres du 8 août 1945 sur la création d’un tribunal militaire. La radicale disparition de toute notion d’égalité des armes entre un enfant et un adulte criminel et entre un enfant violé et un tribunal civil, constitue bien plus qu’un état de guerre puisque même le droit de la guerre y est violé et que, dans l’humanicide français, même le droit de la guerre est entièrement transgressé, l’enfant victime étant abusé et transgressé par les institutions, là même où il a déjà précédemment été violé et sans préjudice des atroces souffrances psychiques et physiques qu’il subit, sans aucune limite ni temporelle, ni spaciale.
Selon l’article 1° de l’Accord, le tribunal militaire sera établi pour juger les criminels de guerre dont les crimes sont sans localisation géographique précise, qu’ils soient accusés individuellement ou à titre de membres d’organisations ou de groupes, ou a ce double titre.
Je demande à parler devant tous les représentants des pays membres de l’ONU.
C’est un devoir d’humanité, c’est un devoir de mémoire. C’est un devoir de prévention car aucun pays au monde n’est capable de se protéger, d’analyser la situation géo-politique mondiale, les risques réels alors que l’humanicide français et ses conséquences mondiales sont en cours dans le silence, alors que le monde tremble devant la menace islamique alors même que la seule menace réelle vient de ceux à qui tous les chefs d’Etat sourient et serrent la main !
Au nom des Enfants sacrifiés lors des cérémonies rituelles en France, tous les chefs d’Etat doivent s’opposer aux sacrifices humains et faire toute la vérité sur ce génocide et donner l’accès à la justice pour les victimes et les criminels.
Chaque jour, des enfants sont tués en France dans ces conditions au nom d’une idéologie d’autorité et de toute puissance mondiale.
Le devoir d’humanité envers les enfants est primordial et intangible.
Quelle que soit la pénibilité avec laquelle les responsables politiques tergiversent, ils ne peuvent plus ignorer que pendant qu’ils tergiversent, des milliers d’enfants crèvent de souffrance sous les pires et interminables tortures en France et qu’il est bien évident que tous les enfants du monde sont exposés aux mêmes souffrances dès lors que des humanicides ont champ libre et bénéficient d’une garantie d’impunité par l’ONU qui n’a toujours pas démontré être choquée par les crimes contre les enfants, ni capable d’intervenir et d’arrêter un humanicide ou quoi que ce soit de réel.
En février 2012, j’ai demandé au Président de l’Assemblée Générale des Nations Unies, Monsieur Nassir Abdulaziz Al-Nasser de faire cesser le génocide, de bien vouloir relayer à tous les chefs d’Etat la convocation-Invitation à Evian les 10 et 11 mars 20132 à la :
Convention pour un monde avec les enfants.
Aucun chef d’Etat n’a répondu ce qui ne peut correspondre à une réalité humaine puisque j’avais invité les chefs d’Etat Pères en tant que Pères pour présenter la réalité de la situation et reconstruire immédiatement car les survivants ont une expertise incontournable pour les modes de reconstruction à mettre en oeuvre sans délai et la prise en compte des dangers réels que court le monde actuellement, tous les pays confondus parce que l’humanicide commis en France a transgressé toutes les frontières et tous les temps, impliquant tous les êtres humains du monde dans cette tragédie d’atrocité, pire que le nazisme et impactant toute l’humanité irrémédiablement.
Je pense donc que Mr Al Nasser n’a pas transmis mon invitation ni informé les chefs d’Etat.
Je réitère l’invitation des Chefs d’Etat à se réunir à Evian et j’espère que vous trouverez le ressort pour que arrêter la programmation en cours et permette un autre avenir aux enfants français et aux nouvelles générations, que celle inéluctable qui l’attend si des pères ne se lèvent pas très vite.
Une convention de tous les chefs d’Etat à Evian (proche de Genève) permettra de donner connaissance des éléments concrets du génocide, de permettre aux chefs d’Etat de décider quels moyens adapter à cette situation, d’avoir connaissance des stratégies de paix et de reconstruction qui sont à mettre en oeuvre de toute urgence au niveau international.
Je suis privée de secrétariat et de plus, harcelée par les institutions du Doubs et mon ordinateur est pillé, cependant, je serais reconnaissante aux chefs d’Etat qui peuvent mettre à notre disposition un secrétariat pour organiser la Convention d’Evian.

Nous sollicitons tous les chefs d’Etat et nous informons par tous les moyens possibles la population française et mondiale dont ces faits relèvent.
Je remercie par avance chaque chef d’Etat qui enjoindra personnellement l’ONU : Madame la Haut -Commissaire des Droits de l’Homme, Mr le Président du Conseil de Sécurité de l’ONU, Mr le Président de l’Assemblée Général e de l’ONU, d’instruire l’humanicide et d’intervenir.
Espérant très sincèrement voir une humanité de surcroit se lever et comptant sur le juste retour des forces du Conseil de Sécurité de l’ONU en France immédiatement, sur la justice et un naturel soutien envers les plus faibles, les plus opprimés, je vous adresse, Messieurs les Chefs d’Etat, Madame la Haut Commissaires des Droits de l’Homme, l’expression de mes plus cordiales salutations.

Madame AMYOT Fabienne

La présente lettre est adressée
- Au Haut- Commissaire aux Droit de l’Hommes de l’ONU,
- Au Président du Conseil de Sécurité de l’ONU,
- A tous les chefs d’Etat,

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