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mercredi 28 décembre 2011

Plus relaxe que les Soviets pour maquiller les crimes politiques et en crimes crapuleux.

Jacqueline de Croÿ - 29 juillet 2010
En 1998, on pensait ne trouver que des proxénètes, des producteurs et des éditeurs de pornographie d'enfants dans le dossier Zandvoort. En 2010, on y constate des dizaines de milliers de sabotages judiciaires dans toute l'Union Européenne, avec un schéma identique qui touche les crimes politiques et les grosses escroqueries:
Un proxénète psychopathe est libéré de prison. Il commet des actes de barbarisme et des enlèvements d’enfants, qui sont destinés à disparaître dans un réseau de prostitution, pendant que des notaires, des banquiers et des avocats escroquent leurs parents. Les magistrats se chargent alors de la violation des procédures nécessaires à anéantir les plaignants. Ils les condamnent à la psychiatrie ou la prison pour les faits qu’ils reprochent aux proxénètes, banquiers, notaires et avocats. Ils confient les enfants qui échappent à la prostitution à des proxénètes ou à des institutions.
La justice belge a utilisé ce schéma en 2001, pour ruiner un Roi Yoruba et faire disparaître ses héritiers dans la prostitution, avec cette composition de proxénète, notaires, banquiers et avocats. Le proxénète a dû restituer trois des petits princes qu’il avait kidnappé, parce que sa tentative de kidnapper les trois cadets avait échoué. Le contrat prévoyait d’éliminer tous les héritiers au trône, d'où un petit génocide à objectif exclusivement politique. La Belgique est trop petite et n’a pas la puissance nécessaire à profiter d'un tel génocide. En revanche, l’Union Européenne possède cette puissance, et trouve avantage à prendre le contrôle des pays africains susceptibles d’enrichir l’Europe.
Un dossier de 1991 a fait apparaître que l’Etat français est à la source d'une association de malfaiteurs de composition identique, avec un proxénète, des banquiers, notaires et avocats, pour voler des millions et faire disparaître des enfants dans la prostitution. Le Tribunal de Grande Instance de Paris ignorait alors que l'Internet finirait par lever la censure sur les affaires d'Etat. Les magistrats n'avaient donc pas vu d'objection à laisser les preuves de chaque libération du proxénète de la Prison de la Santé, pour le domicilier dans la maison de campagne d'une riche héritière et de ses jeunes enfants, sans demander leur avis.
De même, le Tribunal de Bordeaux a couvert une escroquerie de un million d'euros à partir de 1997, sur fond de l’exploitation sexuelle d’un enfant, dans le cadre d’une association de malfaiteurs de composition identique : un proxénète, un notaire et plein d'avocats. Le proxénète aurait dû répondre de ses activités pour le réseau Zandvoort, mais un proxénète employé par l'Etat ne peut pas être jugé sans exposer les magistrats qui lui ont donné carte blanche.
Ces proxénètes ne sont rémunérés que par leur impunité et quelques vols de voitures ou escroqueries à l’assurance. D'autres bénéficient des millions, qui disparaissent par escroquerie, captation d’héritage et vente publique des biens au dixième de leur valeur. Les proxénètes ne se contentent pas de travailler pour l’Etat. Ils accumulent donc un mélange de dossiers, d'un côté purement politiques et de l'autre purement criminels.
Schéma d'une escroquerie selon les modalités d'un crime politique de l'UE

Les belges pensent que leurs ministres sont trop bêtes pour commettre de tels crimes sans assurance d'être couverts par une autorité supérieure. Très juste: il s'agit de l’Union Européenne, dont l’objectif est de devenir la première puissance mondiale.
L’Union Européenne subsidie des faux organismes, qui ont tout pouvoir de mettre une fin aux violations des droits fondamentaux en 48 heures, sauf ceux qui visent à assurer sa superpuissance de l’Europe. Ces organismes ont couvert de leur silence une série interminable de tentatives de meurtre de Marcel Vervloesem, le principal témoin des activités des proxénètes du réseau Zandvoort. La Belgique a incarcéré ce directeur d’ONG par la violation du droit international, puis a tenté de le tuer par la violation des directives européennes sur les droits des prisonniers aux soins de santé.
La Commission Européenne a répondu "qu'on ne pouvait pas faire grand-chose" au non respect de ses directives. Le Parlement Européen n’a pas voulu considérer une demande de lois contraignantes pour la protection des prisonniers. La Cour Européenne des Droits de l’Homme a vilipendé les désordres russes durant deux ans, dans le cadre de manoeuvres dilatoires pour retarder le jugement supposé épargner des traitements inhumains à un européen. Le Comité contre les tortures de l’ONU a refusé d’intervenir, au motif de la procédure en cours à la Cour Européenne des Droits de l’Homme. Pas un eurodéputé n'a sourcillé !
La survie miraculeuse de Marcel Vervloesem a fait apparaître que l'Union Européenne est une institution fasciste, qui s'est imposé par de la publicité mensongère, pour atteindre une superpuissance mondiale. Tous les politiciens, toutes orientations politiques confondues, aspirent à cette superpuissance et aux supers salaires. Ils s'entendent donc pour garder le silence sur les crimes politiques maquillés en crimes crapuleux. Les Européens, au contraire, ne veulent pas de superpuissance au prix de viols, d’enlèvements d'enfants, d’incarcérations, de psychiatrisations et de meurtres politiques.
Un jugement stipule que Marcel Vervloesem ne peut être libéré que sous la condition qu’il soit interdit de tout contact avec les médias et les ONG des Droits de l’Homme, sous prétexte de prévenir "qu’il ne commette les crimes graves qui l’ont mené en prison". Ces crimes graves se résument aux informations documentées qui ont permis aux ONG d’outrepasser la censure sur la libération des proxénètes psychopathes du réseau Zandvoort. Plusieurs documents judiciaires démontrent que Marcel Vervloesem a été infligé des sanctions assimilables à de la torture et que sa détention a été prolongée au-delà du minimum légal, en représailles de la diffusion de l’information par son ONG, sur le barbarisme toléré par l'Europe.
En réalité, les autorités se moquent des médias, parce qu'ils sont subsidiés pour couvrir crimes politiques. Mais elles craignent la diffusion de l'information à un tel point qu'un document administratif interdit tout contacte entre Marcel Vervloesem et la princesse Maria Massimo Lancellotti. La princesse n'a aucun contact avec les médias, mais elle est une ancienne gouvernante de neveux de la Reine de Belgique !

Source :
http://fondation-princesse-de-croy.skynetblogs.be/tag/voer%20sleutelwoorden%20in

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