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dimanche 27 janvier 2013

France : Pierre Berge Etre contre le mariage gay c'est être homophobe et antisémite.



Bravo à Pierre Bergé pour son analyse plus que ridicule et très dirigée envers ceux qui manifestent contre le mariage pour tous. Selon cet homme, reçu par la très nulle Ruth Elkrief habituée à cracher sur les valeurs catholiques de la France, ceux qui manifestent contre le mariage gay sont "homophobes" et pour la plupart "des antisémites". Pas étonnant venant d'un homme qui déclarait "je suis un mafieux et je ne crois qu'à ça" !

Pierre Bergé, détenteur du magazine homosexuel "Têtu" est aussi l'ancien compagnon d'Yves Saint-Laurent, qui fut l'auteur du très satanique "La vilaine Lulu". Ensemble ils ont fondé la "Fondation Pierre Bergé-Yves Saint-Laurent", créée pour continuer le travail du couturier et organiser des évènements culturels (un des nombreux soutien du "Festival d'automne" qui produira la pièce "Golgotha Picnic" de Rodrigo Garcia).  La mafia satanique crache une fois de plus sur la France et sur son peuple, rien d'étonnant lorsqu'on s'intéresse un peu au cas Pierre Bergé.

Il fut un des soutiens financiers du journal "Libération" qui a connu quelques difficultés économiques par le passé et qui recevra l'aide d'Edouard de Rotschild et de Bernard Henri-Levy. Le journal militait pour la légalisation de la pédophilie dans les années 70. Une pétition en faveur de sa légalisation date même de 1979 et la liste des signataires est disponible...
Source : souverainete-du-peuple.blogspot.com

Pierre Bergé, a «oublié» Carla Bruni dimanche pour sa soirée de soutien au mariage pour tous. Le président du Sidaction, qui la sollicitait régulièrement du temps où Nicolas Sarkozy était locataire de l'Elysée, a fait l'impasse. La présence de Valérie Trierweiler au théâtre du Rond Point ne serait pas étrangère à ce plan de table.

Le co-actionnaire du Monde provoque et... irrite

Ce lundi matin, les chroniqueurs de l'émission «Comme on nous parle », sur France Inter, s'interrogeaient sur les récentes déclarations du «grand parrain de la journée de dimanche». «Il faut qu'on demande à Pierre Bergé de s'expliquer sur ces propos choquants» s'est insurgé Guillaume Tabard, journaliste aux Echos.

Après ses prises de position vivement critiquées sur les mères porteuses - «louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l'usine, quelle différence ?» - le milliardaire a récidivé vendredi sur BFM, s'attaquant aux opposants au mariage gay, les traitant d'homophobes et les rapprochant des antisémites. «Évidemment qu'ils sont homophobes, en tous cas, pour la plupart d'entre eux. Chacun a son bon PD, comme chacun avait son bon juif. (...) Cet humus antisémite, anti-gay et anti tellement de choses, il existe, et le nier me semble un peu trop facile».



AVoir:
Est-ce à l’ex-propriétaire de Têtu magazine de décider pour la France ?!
France : Les mariages forcés concernant les mineurs.
France : Le flip front de liberation des pédophiles.
France : FLIP II à la charge!
France : Le mariage homosexuel ou le droit sur les enfants des autres...
France : Mariage pour tous, nous allons être dans la merde.
France : Venez tous à Paris dimanche 26 mai. (Manif pour tous).
France : Coup de gueule d'Olivier Marchal sur la pédophilie et le mariage pour tous.
France : Pierre Berge : Etre contre le mariage gay c'est être homophobe et antisémite.
Iran : L'Iran veut abaisser l'âge du mariage de 13 à 9 ans.
Angletaire : Mariages jeunes filles de 12 ans, fondés sur la charia.
Arabie saoudite : Une fatwa autorise le mariage des fillettes de dix ans.
Palestine : Le Hamas a bien approuvé 450 mariages pédophiles à Gaza.
Maroc : Analyse des hadîths relatifs au mariage du Prophète avec Aïcha.
USA : Adopté et violé, six années en enfer.
Signaler un site ou un lien pédophile.

mercredi 9 janvier 2013

Canada : Nouvelle subvention pour parents d'enfants disparus ou assassinés.


L'allocation vise à compenser la perte de revenu que les parents subissent quand ils s'absentent du travail en raison du décès ou de la disparition d'un enfant à la suite d'une infraction présumée au Code criminel canadien. La subvention, de l'ordre de 350 $ par semaine, sera versée pendant 35 semaines tout au plus. Pour la recevoir, les parents concernés devront avoir gagné au moins 6 500 $ au cours de l'année civile ou des 52 semaines précédant leur demande, en plus d'avoir pris congé en raison de la mort ou la disparition d'un enfant.

Le Code canadien du travail a également été modifié, par le biais de la Loi visant à aider les familles dans le besoin, "afin d'assurer la sécurité d'emploi aux parents prenant un congé sans solde par suite du décès ou de la disparition de leur enfant résultant d'une infraction présumée au code criminel", a indiqué le bureau de la ministre des Ressources humaines et du Développement des compétences, Diane Finley, dans un communiqué.

"Cette mesure permettra aux parents qui travaillent au sein d'une entreprise sous réglementation fédérale de s'absenter du travail pour se concentrer sur l'essentiel, c'est-à-dire leur famille, tout en sachant que leur emploi est protégé", lit-on dans le document.

Source : http://www.lametropole.com/article/actualites/actualites/nouvelle-subvention-pour-parents-d-enfants-disparus-ou-assassin%C3%A9s


mardi 8 janvier 2013

Violée enfant, elle se bat pour annuler la prescription.


Par Patrick Williams - Le 07/01/2013    

C’est une décision de justice qui devrait faire beaucoup parler d’elle. Et qui pourrait être lourde de conséquences. Demain, mardi 8 janvier, la cour d’appel de Poitiers va décider s’il est possible ou non d’enquêter sur une affaire de viol d’enfant, vieille de trente ans, et qui est couverte par la prescription.

Cécile*, une quadragénaire, s’est rappelée, lors d’une thérapie en 2009, qu’elle avait été victime d’abus sexuels commis quand elle était âgée de cinq ans. Un drame pour lequel elle a porté plainte. Mais sa procédure a été classée, les faits ayant eu lieu il y a trop longtemps (en 1977). Mais l‘avocat de cette femme, le célèbre Gilles-Jean Portejoie, ne l’entend pas de cette oreille. Il a demandé l’annulation de la prescription, en arguant que sa cliente n’avait eu conscience de ce crime que récemment. Il estime que « les abus sexuels sur Cécile ont provoqué un tel traumatisme qu'elle les a totalement occultés et ont provoqué une amnésie lacunaire qui l'a empêchée de porter plainte dans les temps ». Il s’appuie aussi sur le fait que la règle n’est pas la même en matière de crimes financiers. Dans ce domaine, les victimes d‘abus de biens sociaux peuvent porter plainte quand elles ont connaissance du délit. Pourquoi ne pas appliquer ce principe aux crimes sexuels ?

Une décision très attendue

Si la Cour d’appel de Poitiers donne raison à Cécile, ce sera une première judiciaire. Cela pourrait ouvrir la porte à de nombreuses plaintes pour abus sexuels, commis il y a de nombreuses années et qui étaient prescrits. On se souvient que dans le récent procès de Régis de Camaret, l’entraîneur de tennis, condamné à huit ans de prison, la principale victime, Isabelle Demongeot, avait été cantonnée au simple rôle de témoin, sans possibilité d’avoir un avocat. On comprend que la décision des juges de Poitiers soit très attendue.

* Le prénom a été changé.

Source : http://www.elle.fr/Societe/News/Violee-enfant-elle-se-bat-pour-annuler-la-prescription-2284392

lundi 7 janvier 2013

Un juge des enfants ose parler de dysfonctionnements de la protection de l'enfance.


Michel Huyette en appelait alors à une autocritique du travailleur social, une remise en cause de son travail afin de ne pas ajouter un dysfonctionnement supplémentaire à une éventuelle situation de crise familiale mal analysée ...
« Le risque est en permanence de voir apparaître dans les dossiers des analyses hâtives, des avis trop rapidement avancés sur des parents et des mineurs, qui conduisent forcément à des réactions légitimes de méfiance ou de rejet de leur part, et à des décisions inappropriées et peu efficaces car motivées par des arguments non convaincants pour les intéressés. Il faut donc à chaque étape chercher comment réduire ce risque de subjectivité et d’erreur. »

Un précieux guide de la protection judiciaire de l’enfant.
Le juge des enfants Michel Huyette est à l’origine d’un guide de la protection judiciaire de l’enfant. La quatrième édition de ce guide, écrite en collaboration, date de 2008 et prend donc en compte la réforme majeure de la protection de l’enfance ayant eu lieu en 2007.  

Le guide reprend à titre préliminaire les différentes introductions des versions antérieures dont la première date de 1997. Déjà à l’époque l’état des lieux ressemble à celui qui saute aux yeux des familles victimes de 2012, je cite :  


« C’est aussi un système qui, sous des apparences trompeuses, ne fonctionne pas bien, et dans lequel, bien que la protection soit pourtant judiciaire, bien des règles, d’abord légales, ne sont pas respectées par les professionnels, avec, pour corollaire inéluctable, le non-respect de certains droits des individus, et, au-delà, un travail auprès des familles moins efficace qu’il ne pourrait l’être. » 

Des travailleurs sociaux qui ne savent pas se remettre en cause.
On retient ici une inefficace de la protection de l’enfance par un non-respect du droit des individus. Le constat est implacable et cette inefficacité tient de l’illégitimité. Il est effrayant de constater que 15 ans après la première mouture de ce guide, les destructeurs de l’institution familiale continuent à sévir dans l’impunité. Dans un tel laps de temps combien de dégâts ont-ils causé ? C’est effarant. 

Michel Huyette en appelait alors à une autocritique du travailleur social, une remise en cause de son travail afin de ne pas ajouter un dysfonctionnement supplémentaire à une éventuelle situation de crise familiale mal analysée :  

« Le risque est en permanence de voir apparaître dans les dossiers des analyses hâtives, des avis trop rapidement avancés sur des parents et des mineurs, qui conduisent forcément à des réactions légitimes de méfiance ou de rejet de leur part, et à des décisions inappropriées et peu efficaces car motivées par des arguments non convaincants pour les intéressés. Il faut donc à chaque étape chercher comment réduire ce risque de subjectivité et d’erreur. » 

La méconnaissance du droit des « professionnels de l’enfance »
Des réactions de méfiance, de rejet des parents qui peuvent être légitimes comme le juge Huyette le dit fort à propos. Et pourtant le refus de collaboration des parents permet de faire basculer dramatiquement des situations en passant d’un traitement administratif à un placement pur et simple. Vous ne comprenez pas la mesure prise dans l’intérêt de votre enfant ? Nous allons donc le placer ! Voila une menace bien souvent entendue et mise à exécution, ajoutant du traumatisme à l’injustice d’une mesure. 

Tout cela se fait au nom de la légalité, les familles sont donc traitées avec la morgue, le mépris de travailleurs sociaux qui savent et qui font n’importe quoi. Bien des parents ont eu l’occasion de se confronter à quelques individus de ce type, armés d’une gangue d’ignorance jusqu’à devoir leur dépêcher un huissier afin de constater leur façon de procéder et d’éventuels faits non conformes à la légalité dont ils se rendaient coupables, et Michel Huyette de constater :  


« Ceux qui arrivent sur le terrain, magistrats et professionnels de l’éducation, ne maîtrisent pas les règles élémentaires de la protection judiciaire de l’enfance. Et comme très peu de juristes figurent parmi tous les intervenants qui gravitent autour des familles, encore aujourd’hui rarement assistées d’un avocat, le débat n’est presque jamais poussé vers le terrain du droit. Pour peu que le juge des enfants n’impose pas un déroulement juridiquement rigoureux de la procédure, ce ne sont que des questions de fait qui sont abordées, sans qu’aucun carton rouge ne sorte de la poche d’un quelconque arbitre en cas de violation de la législation.(…) 

Or de fait, pourtant, dans aucune autre juridiction le droit n’est autant malmené que dans les procédures de protection de l’enfance conduites dans les tribunaux pour enfants. Nulle part ailleurs il n’y a comme ici besoin d’argumenter, de justifier, d’exiger ou de menacer pour obtenir le respect scrupuleux des règles légales élémentaires.» 

L’intérêt de l’enfant, prétexte de tous les abus.
Le seul argument développé par des travailleurs sociaux en devient presque idéologique : il s’agit de celui d’un « intérêt de l’enfant » que les acteurs de la transformation sociale et de la désintégration familiale manient sans avoir la moindre considération pour le principe de subsidiarité. Lequel principe n’admet une compétence étatique en matière de prise en charge de l’enfant que si l’institution familiale a échoué dans sa prérogative première. Si intérêt de l’enfant il y a c’est celui de vivre et de se développer dans le cadre familial, tant il apparaît statistiquement que l’enfant pris en charge par la mal-nommée aide sociale à l’enfance aura les plus grandes difficultés à s’insérer socialement. L’intérêt des travailleurs sociaux ce n’est pas l’intérêt de l’enfant. Pourtant ce terme entendu chez ceux qui en abusent permet d’étouffer la voix des familles et de ne surtout pas aborder des questions de droit dont cette engeance est ignorante. 

Là encore Michel Huyette est assez explicite :  

« Et puis, il faut l’admettre, cette absence de référence à des règles extérieures a bien arrangé les professionnels pendant des décennies. Se préserver du droit pour s’en tenir au fait est un moyen très efficace de faire passer sa vision de la situation sans rencontrer d’obstacle insurmontable, en s’abritant derrière cette notion à géométrie variable et en soi vide de sens qu’est «  l’intérêt de l’enfant  ». Il suffit d’entendre, encore parfois aujourd’hui, ce qui se murmure sur la présence des avocats qui viendraient attiser les conflits alors que tout, affirme-t-on, doit être négocié entre les intéressés, pour comprendre combien il doit être difficile pour certains d’admettre qu’il existe des limites infranchissables à l’arbitraire et au libre choix des pratiques. » 

Encore un effort …
Pourtant ce que Michel Huyette explique par une subjectivité liée à une formation en sciences humaines plutôt qu’en droit des intervenants sociaux ne convainc pas : 

« Et dans le domaine de la protection des mineurs, parce que les professionnels qui interviennent ont, à part le juge des enfants, une formation en sciences humaines ou psychologiques, parce qu’il ne s’agit pas là de sciences exactes, le risque de l’appréciation personnelle et donc de l’arbitraire est plus important que dans tout autre domaine. » 

La suite du guide est tout à fait intéressante car elle est un « rappel à la loi » à l’intention de ces intervenants. Ce guide servira davantage aux familles car il est naïf de penser que les travailleurs sociaux en tiendront compte sinon pour se protéger. En effet, Michel Huyette n’aborde pas l’attitude des travailleurs sociaux sous le seul angle capable d’éclairer leurs comportements : l’angle politique. En effet, c’est sciemment que la profession n’applique pas les règles encadrant leurs tâches, ils peuvent d’ailleurs se permettre de le faire car ils ne seront pas sanctionnés, de la même façon il est rare que les prétentions des parents face à l’atteinte à leurs droits connaissent des suites légales. Le droit n’est en matière de protection de l’enfance qu’un artifice qui cache la véritable nature du système social aliénant la famille au tout-État.

Source : http://comitecedif.wordpress.com/2012/12/24/un-juge-des-enfants-ose-parler-de-dysfonctionnements-de-la-protection-de-lenfance/

jeudi 3 janvier 2013

Suppression des autorisations de sortie du territoire pour les mineurs à partir du 1er janvier 2013.


(AFP) Les mineurs désirant sortir du territoire français n'auront plus besoin d'une autorisation à partir du 1er janvier 2013, a annoncé le ministère de l'intérieur jeudi 20 décembre. Un mineur français "se déplaçant seul pourra voyager dans l'Union européenne avec un titre d'identité en cours de validité (carte nationale ou passeport)", ajoute la Place Beauvau. Pour les pays hors Union, un passeport reste, dans la plupart des cas, obligatoire.
Le ministère précise que "certains pays imposent parfois des modalités spécifiques supplémentaires, telles qu'un visa ou une autorisation parentale pour les mineurs". Le ministère recommande donc "de préparer son voyage en vérifiant au préalable les documents demandés" en se rendant à cet effet sur le site Internet du ministère des affaires étrangères.

Il existe des cas d'urgence, rappelle le ministère : une interdiction de sortie de territoire peut ainsi être délivrée par un juge des affaires familiales ou des enfants et, "en cas d'urgence et face à un risque avéré", un des parents "peut s'opposer à la sortie du territoire d'un enfant mineur" par des voies légales en s'adressant au préfet par exemple.
Source : http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/12/20/suppression-des-autorisations-de-sortie-du-territoire-pour-les-mineurs-a-partir-du-1er-janvier_1809097_3224.html


245 arrestations lors d'une opération internationale.



3/01/13 - 19h32  Source: belga.be

Une opération de police internationale antipédophilie a permis l'arrestation fin 2012 de 245 personnes, la plupart aux Etats-Unis ainsi que dans six autres pays, a annoncé jeudi à Washington John Morton, directeur de l'agence américaine de l'Immigration et des Douanes (ICE).

Parmi les personnes arrêtées lors de l'opération Sunflower qui a eu lieu du 1er novembre au 7 décembre 2012, 222 se trouvaient aux USA et 23 dans six pays étrangers dont le responsable n'a pas voulu préciser les noms, pour "des raisons opérationnelles très sensibles".

L'opération qui visait à identifier des personnes possédant, diffusant ou produisant des images pédophiles sur l'internet, a permis d'identifier et secourir 123 enfants dont 110 aux Etats-Unis, a précisé M. Morton.

Parmi les victimes, 5 avaient moins de 3 ans, 9 entre 4 et 6 ans, 21 entre 7 et 9 ans et 11 entre 10 et 12 ans. 70 étaient des filles, 53 des garçons et 23 des enfants identifiés sont maintenant adultes.
L'opération Sunflower tire son nom d'une enquête démarrée il y a un an visant à empêcher le viol à venir d'une fillette annoncé sur l'internet par un jeune homme de 16 ans.

A partir d'une photo trouvée par la police danoise montrant une pancarte d'autoroute dépeignant un tournesol, les enquêteurs avaient pu remonter sur une localité du Kansas et la maison du jeune Américain.
ICE et sa branche enquête HSI, travaillant en partenariat avec le NCMEC, une organisation luttant contre l'exploitation des enfants, a également lancé un appel à témoin pour tenter d'identifier des adultes inconnus sur des photos prises il y a 11 ans.

En 2012, un nombre "record" de prédateurs sexuels pédophiles de 1.655 ont été arrêtés par les enquêteurs de ICE et 292 victimes identifiées ou sauvées.

Où sont les autres?