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mercredi 29 février 2012

Décadence mondiale

Ce que les Belges ne doivent pas savoir……
Des Ballets Roses à l’affaire Dutroux.
Compilation des informations glanées dans les journaux, le Dossier Bis Dutroux (PV), le livre  « Ce que les Belges de doivent pas savoir » et des articles disparates Google et Facebook.
I. Affaire Dutroux, listing des évènements. Chronologie.
1980 Dossier Pinon – voir affaire Pinon, Ballets Roses.
1983  Dutroux épouse Michelle Martin
1983 juin, Dutroux attaque une femme de 55 ans, sévices à caractère  
        sexuel
1984 Dutroux arrêté pour faits de 1983 et relâché par le Juge Lacroix pour
         manque de preuves !
1984, naissance de leur premier enfant
1984 13 février, la police retrouve le corps de Christine Van Hees, d’après
         renseignements et recoupages, tuée par Nihoul et Bouty, affaire de la
        Champignonnière de Boistfort.Trois témoins l’ont vue avec un certain
        Marc.
1984 Trois jours après cette découverte, Dutroux ouvre un  compte au Crédit
         professionnel du Hainaut et y dépose une grosse somme.
1985 Durant un an, de 1984 à 1985, Dutroux va enlever, filmer et violer 
         plusieurs jeunes filles.
1986 Dutroux, Van Petegem et Martin sont arrêtés et se retrouvent devant  
        le juge Lacroix. C’est l’époque des Tueurs du Brabant….
1986 Passent en appel devant le magistrat Agnessens de Mons, lui-même
        apparaissant depuis les années 1970 dans diverses histoires de
        mœurs, il jugera ces viols en simples délits. Dutroux écope de 13 ans.
        Libéré en 1992 Melchior Wathelet
1987 Dutroux en prison pour malversations
1992 Dutroux libéré par Melchior Wathelet alors Ministre dela Justicequi
        deviendra  Juge Européen à Luxembourg
1992 Disparition de Loubna Benaïssa à Ixelles – connection entre Patrick
        Derochette, violeur et l’entourage de Dutroux.
1993 Information vers le juge Lorent : Dutroux aménage des caches dans ses
        maisons. Perquisitions négatives.
1993 Régina Louf propose son livre chez un éditeur, refusé.
1994, janvier,  opération Décime, soit surveillance de Dutroux.
1995 24 juin, Julie et Mélissa disparaissent.
1995 juillet, Dutroux soupçonné – plus tard – de plusieurs tentatives
        d’enlèvements de jeunes filles à Trencin, Slovaquie.  Diakostavrianos
        Michaël pourrait avoir joué un rôle primordial.
1995 8 août, réunion de coordination judiciaire pour l’affaire Julie et
         Mélissa
1995 22 août, disparition de An Marchal et Eefje Lambrecks
1995 22 novembre, enlèvement de Caroline à Obaix, violée et tuée de suite. Un policier, directement sur place accuse Dutroux. Mais peut-être
         est-ce Weinstein et dans ce cas la raison de son meurtre par Dutroux ? 
1995  Novembre. Empoisonnement de Bernard Weinstein par Dutroux et
         Michelle Martin, endormi et enterré vivant.
1995 L’inspecteur Zicot reprend l’affaire, mais lui semble déjà impliqué
        dans le trafic de voiture avec Dutroux etla RoyaleBelge.
1995 Dutroux est arrêté pour vol et séquestration de complices. En prison.
1995 13 décembre, et 6 jours plus tard, perquisition chez Dutroux par  
         Michaux qui prétend n’avoir rien vu ni entendu.
1996 20 mars, Dutroux sort de prison, pour cause, Michelle Martin vient
        d’accoucher.
1996 9/8 enlèvement de Laetitia
1996 10/8 Nihoul donne à Lelièvre pour 250.000 Frs de pilules d’ectasy
1996 9 août enlèvement de Sabine Dardenne
1996 13 août Dutroux, Martin et Lelièvre sont arrêtés.
1996 13 Nihoul tél à Dutroux mais c’est un gendarme qui répond et Nihoul
         s’enferre.
1996 15 août, libération de Sabine et Laetitia
1996 16 août arrestation de Michel Nihoul, complice.
1996 17 août découverte des corps de Julie et Mélissa.
1996 22 août, enterrement de Julie et Mélissa
1996 26 août, la police arrête son propre informateur Claude Thirault pour
         complicité avec Dutroux.
1996 3 septembre, découverte des corps d’An et Eeftje chez Weinstein.
1996 14 octobre, le juge Connerote déssaisi de l’affaire à cause d’un
        spaghetti.
1996 Octobre Marche Blanche
1996 14 octobre, proposition de commission parlementaire pour revoir
        toute l’enquête.
1996 fin d’année, Rudolf Gadjos directeur d’Interpol en Slovaquie prévient
        les autorités belges que Dutroux est accusé là-bas du meurtre d’une
        tzigane ?
1997 5 mars, découverte du corps de Benaïssa Loubna, jeune marocaine de
        9 ans.
1997 14 avril premier résultat de l’enquête (revoir et analyser)
1997 fin d’année, Marc Verwilghen énonce : trois mouvements sont en
        route, canaliser, récupérer et ridiculiser… des dossiers et cassettes
        disparaissent, la gendarmerie fait tout pour défendre ses intérêts.
1998 23 avril, évasion de Marc Dutroux
1998 De Baets et Bille, les enquêteurs de Neuchâteau ont été décrédibilisés
        et réhabilisés en 2001

Date inconnue, Dutroux arrêté à la frontière luxembourgeoise avec sur lui des K7 porno. Relâché dès le lendemain sur injonction d’un ministre belge.

II. Affaire Pinon alias Ballets Roses
Chaque homme en phase de divorce se rappelle souvent presque littéralement de la dernière conversation avec son épouse. Pour le psychiatre bruxellois, André Pinon, c'est pire. Ce dialogue entre lui-même et sa femme Josiane Jeuniau est le point de départ d'une affaire qui transformerala Belgiquede ce pays paisible de la bière et des frites en une nation de complots, d'intrigues, de meurtres non résolus et de partouzes. C'est ici, sur les rives du lac de Genval que commence, le 30 août1979, l'histoire des Ballets Roses.

La fine fleur du royaume

André Pinon joue avec un stylo voyant, le tient devant la bouche de sa femme, comme un micro - ce qu'il est effectivement. Trois cents mètres plus loin, un détective enregistre la conversation sur bande magnétique.
Cette opération àla James Bonda été décidée après que le couple ait comparu deux jours plus tôt devant le juge de la jeunesse de Nivelles et qu'André Pinon ait bluffé : « Je sais tout ». Sa femme a brutalement pâli : « Vraiment tout ?! » Elle raconte alors des ébats sexuels avec douze partenaires, hommes et femmes ensemble, dans la villa de son nouvel amant, le documentsteur Bettens. Elle cite quelques personnalités, parmi lesquelles un haut placé dela Sécuritéde l'État et le documentsteur Crokaert de Waterloo. Pinon espérait qu'elle refasse son récit, mais elle se contente d'avouer que Bettens organise des partouzes tous les vendredis. Le stylo commence à lui paraître suspect. La discussion se termine par une dispute éclatante. Pinon est toutefois satisfait du résultat. Cela suffira pour obtenir la garde des enfants, pense-t-il.
Il l'est moins quand il rentre le 7 septembre chez lui pour constater qu'on l'a cambriolé. Une seule chose a disparu : la cassette. Il obtient toutefois une copie chez le détective, et se rend à la police. Le 10 octobre, sa plainte aboutit au parquet de Nivelles et se voit attribuer le numéro de dossier 38.91.1005/79.

Premier "suicide"

Cinq jours après l'entretien du lac, la femme de chambre de l'Holiday Inn de Machelen malmène la serrure de la chambre 419, fermée à clé depuis deux jours. Sur le lit, elle trouve le cadavre de Anne Dedeurwaerder, 44 ans. Par terre, un flacon de Vesparax, vide. Le parquet de Bruxelles conclut au suicide. La dame en question était l'épouse du documentsteur Crokaert.
Lorsque Pinon apprend la nouvelle, il n'en démord plus, il y a quelque chose derrière tout cela. Le nouveau substitut nivellois, Jean Deprêtre empêche que la cassette soit versée au dossier de divorce et le juge de la jeunesse confie la garde des enfants à l'ex-femme de Pinon. Celui-ci répète son histoire à qui veut l'entendre. C'est ainsi qu'il rencontre Christine Doret. Elle a également été impliquée dans une procédure de divorce auprès du même juge de la jeunesse. Cette femme de 31 ans lui raconte qu'elle a participé, avec son ex-femme d'ailleurs, à des partouzes où se défoulait la fine fleur de l'establishment belge : l'ancien Premier ministre Paul Vanden Bœynants, Guy Mathot, le général de gendarmerie Beaurir, les promoteurs immobiliers très proches de VdB, Charly De Pauw et Ado Blaton, ainsi que le prince Albert. Christine Doret affirme même qu'il y avait des enfants, dont deux se sont suicidés. Le juge de la jeunesse les a sélectionnés dans des hômes et "livrés".

Ça flambe au journal  « Pour »

André Pinon s'adresse alors à Jean-Claude Garot de l'hebdomadaire de gauche Pour. Ensemble, ils décident d'organiser le 18 juin 1981 un souper avec Christine Doret. Ne se doutant pas que Garot immortalise ses paroles sur un dictaphone, elle déballe à nouveau son histoire. Les partouzes se déroulaient au golf club de Bercuit, chez le documentsteur Bettens et dans des villas à la côte. Elle parle également du "meurtre de madame Crokaert". Lorsqu'en fin de soirée, Garot se présente comme journaliste, elle réagit violemment. Elle niera tout, dit-elle, quoi qu'il arrive.
Le matin du 5 juillet 1981, un incendie ravage la rédaction et l'imprimerie de Pour, installées à Ixelles. On y avait jeté quelques cocktails molotov. Le 10 juillet, Jean-Claude Garot relate les faits à la justice. Quelques jours plus tard, toutes les conversations tournent autour des Ballets Roses. Mais quelle est donc l'origine de ce terme ? Hugo Coveliers, spécialiste VLD du dossier, explique : C'est le terme consacré pour désigner des partouzes. Rien à voir donc avec de la confiture, bien qu'il ait été question d'ébats dans la confiture rose. J'ai un jour fait une blague à cet égard lors de la commission sur les tueries, suite à quoi VdB s'est adressé à moi d'une voix sonore en disant : "Moi, je ne pédale pas dans la confiture !".
Le 20 juillet 1981, les enquêteurs belges se rendent surla Côted'Azur où Christine Doret passe ses vacances. Si celle-ci se rappelle de la soirée, elle affirme avoir tout inventé. Elle avait pitié de Pinon qui ne pouvait pas accepter le verdict du juge de la jeunesse. Et pour ne pas lui refuser le plaisir de sa théorie du complot, elle a répété ce qu'il lui avait soufflé.

Le juge classe le dossier

Aujourd'hui, à la lecture du dossier Pinon, le seul sentiment qui subsiste est que l'on a en mains le fameux dossier qui a fait couler tellement d'encre. L'on serait tenté d'approuver l'affirmation selon laquelle ce n'est que l'illustration pénible de ce à quoi peut mener un divorce. Il apparaît des interrogatoires de Bettens et de Crokaert que la femme du dernier entretenait une liaison avec le premier. Qui rompt, suite à quoi elle se suicide. Point à la ligne. Lors d'une perquisition chez le documentsteur Bettens, l'on a retrouvé le livre d'or dans lequel, affirmait Christine Doret, se trouvaient les noms de tous les partouzeurs. La description correspond parfaitement, mais les noms de VdB et de Mathot n'y apparaissent pas. Fin 1981, Jean Deprêtre classe le dossier 38.91.1005/79 sans suite. Plus tard, il s'avère que l'incendie du « Pour » a été provoqué par le Front dela Jeunesse, davantage pour les révélations du journal concernant les camps d'entraînement fascistes que pour celles du dossier Pinon. Le FJ était toutefois partiellement financé par le baron Benoît de Bonvoisin, extrémiste de droite. Beaucoup établissent alors rapidement le lien avec le dossier Pinon. Les doutes subsistent. Jean-Claude Garot a déposé son enregistrement à la police judiciaire (PJ) le 21 juillet 1981. Christine Doret n'y apparaît pas vraiment comme une affabulatrice.
Garot : Ce n'est pas que je ne te croie pas, mais...
Doret : Mais parce que... (s'adresse aux autres) Mais parce que... il n'a jamais vécu ce genre de choses. Il n'a jamais fréquenté ces milieux. On ne peut pas les connaître alors.
III   Affaire Westland New Post  - Paul Latinus
Paul Latinus pendu
Le 25 avril 1984, on retrouve le cadavre de Paul Latinus, dirigeant du mouvement d'extrême-droite Westland New Post, pendu dans sa cave. Latinus était un personnage controversé. Le WNP infiltrait la sécurité de l'État, n'hésitant pas à subtiliser des télex ultra-secrets à l'OTAN. En dehors de Deprêtre B à nouveau chargé de l'affaire B et du magistrat bruxellois Jean-Pierre Jaspar, personne ne croit au meurtre. Le commissaire bruxellois de la police judiciaire (PJ), Georges Marnette, est arrivé le premier sur les lieux et continue à affirmer que la corde à laquelle pendait Latinus était trop court.

Six mois avant sa mort, Paul Latinus avait déposé plainte auprès de la gendarmerie pour "menaces de mort dans le cadre du dossier Pinon". Dans ses affaires personnelles, l'on a retrouvé des notes visiblement recopiées du dossier 38.91.1005/79.
Le morceau d'un puzzle
À partir de 1984, il est impossible d'arrêter le flot des spéculations. J. Deprêtre annonce brutalement qu'il n'existe pas de dossier Pinon. La PJcommence à surveiller quelques adresses citées dans le dossier. On fait beaucoup de bruit autour d'un mystérieux enregistrement contenant une conversation entre Pinon et un avocat. Le commissaire Marnette rafle la cassette sur le bureau d'un collègue et lorsqu'elle réapparaît, elle est vide. Des choses dans le genre. Il est certain que les Ballets Roses ont eu lieu, a décidé la commission-bis sur les tueries. Il n'est toutefois pas prouvé que des mineurs étaient impliqués.
Les journalistes qui se sont occupés de l'affaire dans les années quatre-vingts sont convaincus que le dossier Pinon était une sorte de code avec lequel la racaille d'extrême-droite essayait de faire chanter la classe politique.
Le pays semble avoir retrouvé sa quiétude, jusqu'à ce que, le 13 février 1990, VTM commence son journal du soir par un close-up sur le visage fatigué d'une Française. Elle a 42 ans et s'appelle Maud Sarr. En prime-time, elle explique comment des gens comme VdB, Deprêtre, Jaspar et le commandant de gendarmerie François ont participé à des partouzes avec des mineurs. Les déclarations de Maud Sarr semblent répondre à de nombreuses questions plus anciennes des dossiers Asco, Eurosystems, Latinus et Pinon, mais à peine une semaine plus tard, l'on apprend que Mme Sarr s'est fait payé par le journaliste de VTM. La somme est ridicule B elle ne fait rien pour rien B mais cela devient plus gênant lorsqu'il s'avère qu'elle a déjà témoigné devant la justice et que deux jours après son apparition télévisée, elle revient sur ses déclarations. Entre-temps, VdB lui-même a comparu devant la commission sur les tueries. Bon nombre voit dans la venue soudaine de Maud Sarr une manœuvre pour permettre à VdB de se moquer de toutes ces fariboles.
Suite au témoignage de M. Sarr, on ressort à nouveau le dossier Pinon et le parquet bruxellois décide d'y faire une fois pour toutes la part de vérité et de fiction. Avec pour conséquence que les questions sans réponse sont encore plus nombreuses. Christine Doret n'a plus jamais été entendue après 1981. Personne ne sait ce qui a poussé Maud Sarr a rétracter son histoire. Le colonel de gendarmerie Herman Vernaillen, sur lequel on (les Tueurs ?) avait tiré auparavant, affirme qu'il a vu de ses propres yeux une cassette avec des Ballets Roses, mais ensuite ne se manifeste plus. Plusieurs photos surgissent sur lesquelles apparaît Jean Bultot - un suspect dans plusieurs pistes sur les Tueurs - en train de sautiller dans la confiture, mais personne ne peut confirmer qu'il s'agit bien de lui. Tel le monstre du Loch Ness, les Ballets Roses se mêlent à chaque nouvelle affaire importante. L'affaire Dutroux a-t-elle à peine éclatée qu'il s'avère que Michel Nihoul est un amateur de partouzes.

III   Affaire des témoins X du Dossier Bis Dutroux
Les témoins X
Les enquêtes d'alors paraissent inconsistantes quand fin 1996, Regina Louf et ses consœurs spirituelles X2 et X3 témoignent à Neufchâteau de l'existence de réseaux du sexe. Les informations correspondent parfaitement aux hypothèses d'alors ; mieux, elles sont plus précises et détaillées. Dès 1989, Maud Sarr évoque des enfants qu'elle a vu dans les années septante lors de partouzes à Knokke et dont personne ne savait d'où ils venaient. Regina Louf a grandi à Knokke. Les noms cités par les X sont pour la plupart identiques à ceux des déclarations de Sarr, Doret, Pinon et autres. Il y a fort à parier qu'un beau jour, quelqu'un soulèvera le dossier X3. La famille royale y joue un rôle important.
X3, comme X2, décide de se taire lorsqu'elle se rend compte que la cellule d'enquête de Neufchâteau s'est également divisée. Certains estiment que l'affaire est un peu trop belle pour être vraie. Au cours de l'année 1998, une foule de communiqués affirment que les enquêteurs ont "aidé" leurs témoins, d'autres font part de faux PV. Les enquêteurs qui, avec une délectation sardonique, déclarent folles les témoins X sont souvent les mêmes qui ont nié pendant des années l'existence des Ballets Roses. En Belgique, il est impossible d'enquêter sur certaines affaires, affirme Hugo Coveliers. Alors, on les tire en longueur pendant des années.impossible.

Le documentsteur Pinon ne s'est mêlé que brièvement au grand débat Dutroux/Nihoul. Il croit se rappeler que deux PJ-istes lui avaient déjà demandé vers le milieu des années quatre-vingts s'il connaissait Nihoul et le "bourreau de Mons". Le documentsteur Pinon vient d'acheter une maison au Portugal. Sur le point d'émigrer, il ne veut plus jamais rentrer en Belgique. Jean-Claude Garot est aujourd'hui.

IV  Affaire de l’Arche de Zoé

V   Affaire SOS Sahel - Sté de Nihoul -

VI  Affaire Bouty et Associés

VII   Affaire D’Outreau

VIII  Affaire Enfants de Dieu.
Secte qui prône la pédo débordante. En 1993, 43 de leurs dirigeants seront arrêtés, et malgré de nombreux témoignages, furent libérés faute de preuves ! Devenue la secte « Famille » Impliquée dans l’enlèvement de la petite Brichet.

IX. Affaire Walsh
Traitée parla BSR. Nihoulétait informateur dans cette affaire. Il
s’agissait d’un anglais attrapé avec des amphétamines et 5.000 pilules d’ectasy ce qui n’apparut pas dans le pv et elles disparurent. Toutefois elles seront retrouvées chez Nihoul (cachées dans un pneu chez Bounty) et chez Lelièvre ?

X. Affaire Casa Pia
Au Portugal, pédo au sein d’une institution de pupilles de l’Etat impliquant des personnalités. Loi du silence pendant près de 30 ans. Principal inculpé, Carlos Silvino cumule 630 faits de violences sexuelles, libéré après 3 ans de préventive

XI.  Affaire American Medical Aid for Children Overseas.
Association américaine datant de 1972, envoyait de l’argent àla CasaPiaet emmenait les enfants pour étudier eaux USA (8)Visas en 2 jours sous le dictateur Salazar. Enquête faite, cette asso n’existe pas, il s’agit donc d’une filière. Les enfants disparaissent.

XII  Affaire Coral – Réseau -

XIII  Affaire Ganumède

XIV  Affaire Child Focus

XV  Affaire Cries/ Unicef – Réseau -
Acronyme de "Centre de Recherche et d’Information sur l’Enfance et la Sexualité" a été fondé par Philippe Carpentier, ancien traducteur juré au Parquet de Bruxelles. Le CRIES couvrait 18 pays, quand il a été exposé en 1986, avec un studio de production de pornographie d'enfants et un laboratoire pour le développement des photos, dans les locaux de l'UNICEF Belgique. Domicilié Chaussée d’Ixelles à Bruxelles, dans un immeuble qui abrite également "Infor-Homosexuelité" et "Radio Antenne Rose", il partageait son carnet d'adresses, avec les réseaux Zandvoort, Spartacus et Christ Libérateur. Le CRIES était également éditeur de la revue "L’Espoir", illustrée de pédopornographie "soft" et faisant l'apologie de la pédo. Seuls 25 enfants, exploités sexuellement à raison de 20.000 FB (500 euros) ont été retrouvé, pour une production de 4000 photos de pédopornographiques, dont certaines seront retrouvées dans le fichier Zandvoort. Deux personnes mises en cause dans le CRIES, avaient connaissance de faits sur l'enlèvement d'Elisabeth, victime de Fourniret: Jean-Marc Houdemont et Jacques Delbouille.

XVI  Affaire ONE

XVII  Affaire Christ Libérateur

XVIII  Affaire Opus Dei
L’abbaye de Maredsous fait une enquête sur eux et des documentsuments et autres pc sont volés, sans doute par Malines le 23/8/99

XIX  Réseau pédocumentsriminel de Jersey
Réseau pédocumentsriminel présumé être allié à Zandvoort, exposé par le Sénateur Syvret et l'enquête du policier Lenny Harper dans le cadre d'abus au sein de l'institution pour enfants "Haut de la Garenne". L'affaire, qui annonçait un traitement normal, s'est avérée objet du traditionnel sabotage judiciaire, avec calomnies des personnes qui l'ont exposée. 

XX  Affaire Unesco

XXI  Affaire Club Dolo/Atrébates

XXII  Affaire S.O.S. enfants

XXIII  Affaire Sté Logital
De Corvilain Roland. Servait de façade à un trafic d’enfant, fréquenté par Nihoul, un ami de Haemers, Michel et Achille,Vander Elst, impliqué, dénoncé par témoins x

XXIV  Affaire C.R.A.S.C.
Responsable Freddy Gazan Centre pour venir en aide aux pédos. Centre qui a rencontré de nombreux problèmes au niveau des autorités pour stopper son action.

XXV  Affaire CEPIC
Antenne du PSC qui s’occupe de jeunes en politique … Edouard Nihoul, pâtissier de la Cour, mais aussi politique, a été à la tête du Cepic un moment. Extrême droite.

XXVI  Affaire Peteers de Tandt
Vaste système de chantage et corruption qui couvrirait aussi les procès Sabena, Fortis, Sobelair, banque Belgolaise, Donaldson, et l’affaire Salik/Kid Cool  et impliquant avocats, magistrats et dirigeants d’entreprises.
Abraham Patrick est l’ancien propriétaire de la chaîne de mag. Kid Cool, mal jugé  au profit de Salik par la juge De Tandt,  jugement cassé par le tribunal de Cassation.

XXVII  Affaire Cercle des Nations / Cercle de Lorraine

XXIII  Affaire CDN remplacé par le CDL en 1998

XXIV  Affaire Bilderberg

XXV  Affaire Optimistan

XXVI  Affaire Ecole du Merveilleux
Créée par l’avocat Vande Elst (pédo)
Sur le stèle de marbre sont gravés les noms suivants : Renaud D’Hondt, Julien Adam,Thomas Deplace, Stuart Wrathall, Bilbo Bartholemy, Thierry Fafchamps, Noé Leloup, Bruno Vagenhende, Jeremie Daels, jérémy Javierre, Simon Vansteenwinckel, Gaëtan Van grundebeek, Daniel de Bonvoisin, Jean Luc Dollet, Nicolas Hermant, Severine Vanwaeyenberge, Fred Siebrand, Laurent Galland, Laurent Brasseur, Geoffrey Simon, Frédéric Genet, Colas Fizman, Frédéric Hameleers, Ide Titane, Maud Barbé, Thomas Lefèvre, Gilles Pondant, Jean Hummler…..

XXVII  Affaire Asbl  SAJ  Autrement
Des magistrats sont impliqués dans cette asbl.
De Jemeppe, mais aussi De Raemackers.
Institut Le Bazaar, qui est un bordel
Des institutions connues téléphonaient à ce bordel : les Scouts Catholique, l’ONE Pour proposer des enfants.

XXVIII  Life Skills Compagny alias Itaca International
Solvay Denis né le 1/7/1957, vice président du groupe Solvay.
Directeur de Eurogénétic société de biotechnologie
Habite le château des Amerois  près de Bouillon. Les gens de Muno servent au château.
Forme une société avec Alexander de Wit le 3/7/2001 appelée ITACA International
Actionnaire principal de The Little gym, activités pour enfants, camps d’été et autres vacances. Le 1er mai 2004, la sté Itaca déménage à Bertrange 5 rue Pletzer. Avant de s’appeler Iataca, cette sociéé s’appelait « Life Skills Compagny » soit, la sté de l’art de la vie ? qui appartenait aussi à Patrick Solvay.

XXIX  Affaire « Abrasax »
Son grand maître Suprême Anubis Moloch est Francis Desmedt. En 1996, le 21 décembre, l’Institut Abrasax de Forchies la Marchesera persuisitionné.(223 rue Emile Vandervelde) Quatre temples installés à cette adresse, L’Ordre Luciférien initiatique et l’église belge de Satan. Ses responables écrivent et signent un livre : « Le prince de ce monde », édité par Aba Vangh, pédo en fuite en Thaïlande.
Rapport avec Van Gyseghem et Guldfusch


A présent le plus effrayant …
Commission d’enquête sur les sectes :
L'Institut Abrasax
L'institut Abrasax est le mouvement le plus connu qui s'inscrit dans le cadre du Satanisme dans notre pays. Il prétend n'etre qu'une école dispensant des formations. On distingue trois parties dans l'institut: l'église belge de Satan (appelée actuellement «l'oeuvre au noir »), la sorcellerie Wicca (appelée actuellement «l'oeuvre au blanc ») et l'ordre initiatique luciférien (appelé actuellement . l'oeuvre au rouge »), Leur objectif social est: « L'étude et la recherche expérimentale concernant les facultés psychologiques et psychotrones de l'homme ainsi que le développement de techniques psychothérapeutiques alternatives, la recherche dans le domaine de la parapsychologie et de tous les autres phénomenes a caractere paranormal ».
L'institut Abrasax, qui prétend etre une école enseignant notamment la documentstrine satanique, impose des conditions financieres beaucoup plus importantes. Ses membres doivent acquitter la somme de 1 000 francs par mois. Leur initiation coute en outre 5 000 francs et l'élévation a la dignité de maître en Satanisme, a la fin de l'année, 2 500 francs. Ces prix comprennent cependant le matériel didactique et les habits qui doivent etre portés pendant les sessions. (Ces prix sont basés sur le prospectus de 1996).
3. Rupture avec le milieu d'origine
Chez les adolescents, le groupe joue beaucoup sur le fait qu'il les comprend, alors que ce ne serait pas le cas dans leur famille. Ils se coupent ainsi de plus en plus de leur famille proche et éloignée. Ce probleme se pose avec de plus en plus d'acuité ces derniers temps et certaines écoles belges ont déja reçu a ce sujet des plaintes émanant de parents et d'enseignants, qui ne savent pas comment faire face a ce nouveau phénomene. Les adolescents en question s'enferment dans leur chambre, se plongent dans la littérature et la musique sataniques et ne veulent plus communiquer qu'avec les membres du groupe.
Ce phénomène s'observe moins chez les adultes.
4. Atteintes à l'intégrité physique
Dans certains groupes sataniques, les membres du groupe se livrent souvent a des activités sexuelles violentes, qui entraînent parfois des effusions de sang. Ces activités vont généralement de pair avec l'alcoolisme et la toxicomanie. Ils s'entaillent parfois le bras pour recueillir leur sang en vue des rituels. Des symboles sataniques sont parfois gravés dans leur chair lors de ces rituels. Au cours de certaines « festivités », les membres de certains groupes sont obligés d'égorger des animaux et de boire leur sang. Le grand-prêtre incite les membres du groupe a se livrer a ces activités. Il arrive exceptionnellement qu'ils soient obligés d'y participer s'ils veulent adhérer au groupe (cérémonie d'initiation) ou s'ils veulent continuer a en faire partie. De tels groupes exercent une influence pernicieuse, surtout sur les adolescents se livrant a ces pratiques.
5. Lien entre le Satanisme et les activités criminelles de certains mouvements occultes
Depuis décembre 1996, les médias belges font également état d'abus rituels qu'il appartient a la justice d'éventuellement établir. Il y est question d'enfermement dans des cages, de personnes enterrées vivantes dans des boîtes ou des cercueils puis libérées quelques heures plus tard, de tortures, d'intimidations par l'usage de masques ou de costumes, de personnes enduites d'excréments et contraintes d'appliquer le meme traitement a d'autres, de personnes obligées de manger des excréments, de personnes obligées de boire du sang et de l'urine, d'animaux maltraités et mis a mort, de l'administration de drogues et d'alcool, de mauvais traitements et d'abus sexuels. Dans certains cas extrêmes, on parle même de cannibalisme et de sacrifice de foetus et de nouveau-nés.
Ces formes d'abus se produiraient dans des groupements sataniques a structure fortement hiérarchisée, dominée par un grand pretre ou une grande pretresse. Le groupe serait tenu au secret le plus strict. La peur est un élément crucial dans les récits concernant les abus rituels.
Un point commun a tous les récits est l'intensité de cette peur. La peur ne serait pas qu'une conséquence directe des cruautés subies par la victime, elle serait surtout causée par l'extreme sévérité des sanctions infligées en cas de profanation du secret.
Les techniques de contrôle seraient la pierre angulaire des abus rituels. Selon d'anciens membres, ces techniques sont la clé de la soumission des victimes de la secte et elles expliquent que ces dernieres gardent le silence sur ce qu'elles ont subi. Les victimes seraient soumises a un ingénieux systeme de techniques de contrôle visant a les priver de leur libre arbitre et a leur imposer la volonté de la secte. Ce contrôle serait obtenu par une savante combinaison de lavage de cerveau, de programmation, d'endocumentstrinement, d'hypnose et de drogues. Le but est d'imposer le silence aux victimes concernant les abus dont elles ont été victimes, de leur faire adopter un comportement et un systeme de croyances conformes a ceux de la secte et d'en faire de bons adeptes obéissant aveuglément aux ordres des chefs du groupe. Les sectes appliqueraient surtout leurs techniques de contrôle aux enfants de moins de six ans. Etant donné qu'ils se trouvent dans une phase de développement initial, ces enfants sont particulièrement vulnérables aux techniques de manipulation de leur caractère, de leurs croyances et de leur comportement.
Dans l'état actuel de son information, la Commission ne dispose d'aucun élément permettant de conclure à l'existence de ces pratiques. Celles-ci n'ont pas fait l'objet d'une investigation de la Commission, qui n'a pas voulu intervenir dans l'enquête judiciaire en cours. Affaire Dutroux.
Voici pourquoi AUCUNE PLAINTE n’aboutit jamais !

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