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mercredi 30 juin 2010

France : Maurice Gutman Pédophile.




"Toutoune 27" Le conseiller municipal piégé par « les Infiltrés »
Maurice Gutman pensait dialoguer sur le Web avec Jessica, 12 ans. En fait, le conseiller municipal du Mesnil-Saint-Denis s'est retrouvé en plein coeur de l'émission des « Infiltrés »*. Il comparaît demain devant la justice.

Le conseiller municipal piégé par « les Infiltrés »

Toujours plus scabreux et malsain
En croyant dialoguer sur le Web avec Jessica, 12 ans, Maurice Gutman, conseiller municipal du Mesnil-Saint-Denis (Yvelines), s'est en fait, jeté dans la gueule du journaliste Laurent Richard de l'émission les « Infiltrés » qui l'a dénoncé.

Il a comparu le tribunal correctionnel de Versailles pour corruption de mineur de 15 ans et a été condamné vendredi à une peine de deux mois de prison avec sursis, pour proposition sexuelle à une mineure. Il ne sera pas tondu.

Ce conseiller municipal était chargé de l'Internet mais faisait des heures supp dans sa paisible commune du Mesnil-Saint-Denis de 6.600 hab. près de Rambouillet. Et c'est justement lui, un ex-UMP, qu'a piégé l'un des journalistes de l'émission du service public consacrée à la pédophilie sur France 2.
L'affaire commence il y a de cela plusieurs mois, lorsque cet homme de 64 ans se connecte sur un site Internet de chat où il pense entrer en contact avec petite fille de 12 ans, Nina Jessica. Après de longues minutes d'échanges, Maurice Gutman lui propose d'avoir des relations sexuelles. En fait, « derrière Jessica, se dissimulait donc un journaliste de l'émission. Il faisait croire que la petite fille avait peur d'avoir des relations sexuelles. Mais le suspect se voulait rassurant et lui faisait comprendre qu'il lui apprendrait à faire l'amour sans lui faire de mal… »
VOIR et ENTENDRE (interdit aux moins de 10 ans)



Un élu UMP pédophile piégé par France 2 par FrenchCarcan

Une fois le « dialogue » terminé sur Internet et l'émission en boîte, le journaliste dénonça l'internaute à la DCPJ (direction centrale de la police judiciaire) de Nanterre (Hauts-de-Seine) en précisant que, durant l'émission, les ministres de l'Intérieur et de la Justice seraient interrogés sur ce cas.

Quelques jours plus tard, à la mi-février, Maurice Gutman est placé en garde à vue dans les locaux de la PJ de Versailles. Lors de son audition, il passe aux aveux, racontant que cette conversation sur Internet a eu lieu alors qu'il se reposait en province. Il affirme que cette relation était tout à fait virtuelle et de l'ordre du fantasme. Maurice Gutman a été déféré devant le procureur de Versailles avant d'être remis en liberté sous contrôle judiciaire dans l'attente de son procès.

« Ce type de fait, c'est-à-dire un simple dialogue sur Internet, se solde en général par un rappel à la loi. Mais à cause du contexte imposé par l'émission, le sexagénaire s'expliquera devant le tribunal », explique une source proche de l'affaire. Depuis, l'élu est devenu injoignable.
Tous les droits: le droit au secret des sources et celui de ...balancer !

"Un journaliste peut-il, dans des circonstances extrêmes, dénoncer les criminels rencontrés dans le cadre de son enquête? La diffusion ce mardi soir sur France 2 du magazine d'investigation «Les Infiltrés» relance la polémique. Après un an d'enquête au cœur des réseaux pédophiles sur Internet, le journaliste Laurent Richard a dénoncé les prédateurs sexuels qui avaient accepté de lui parler: 22 hommes interpellés, et une incarcération. «La décision de signaler leurs pseudonymes aux policiers a été prise au cours de l'enquête dans un souci de protection des enfants. Moralement, il était impossible d'agir autrement. Si j'étais rentré chez moi sans rien dire, je n'aurais plus jamais dormi de ma vie», justifie le journaliste, qui considère avoir appliqué l'article 434-1 du Code pénal, punissant la non-dénonciation d'un crime susceptible d'être empêché. Une obligation à laquelle ne sont pas tenus les journalistes, protégés par la loi sur le secret des sources. Aux yeux de Me Jean-Yves Dupeux, spécialiste du droit de la presse, la démarche relève d'un «regrettable mélange des genres». «En se faisant auxiliaire de police, le journaliste sort de son rôle, estime l'avocat. Son devoir est d'informer le public, mais son obligation déontologique, issue de toute la tradition de son métier, est de ne pas dénoncer ses sources.» " (LeFigaro.fr)

Pensez-vous à des cas de non dénonciation par la presse partisane ?
Si jamais le nom de Dominique Strauss-Kahn vous venait à l'esprit, serait-ce tellement fortuit et injuste ?

Les paravents

Membre éminent du consistoire, Maurice Gutman est président du comité local de la Croix-Rouge , ancien webmaster du site Internet « Comité français pour Yad Vashem » et membre de la présidence du CRIF.

Charles Berling, alias Maurice Gutman (un homonyme) dans La Maison de Nina.

Entre septembre 1944 et janvier 1946, dans l'est de la France, Nina tient ce qu'on appelle « une maison de l'espoir », une de ces maisons qui ont hébergé des jeunes juifs, pour la plupart orphelins. A la fin de la guerre, on lui demande de s'occuper de jeunes juifs rescapés des camps de la mort. Nina doit gérer et reconstruire ces vies brisées. En racontant l'apprentissage de l'espoir après la catastrophe et l'anéantissement, ce film est un hymne à la vie: il parle pas du bonheur d'être vivant.
Publié par Pakool à samedi, juin 04, 2011 




(23/06/2010) Scandaleuse clémence des juges pour le pédophile du CRIF.

Le pédophile Maurice Gutman, membre du CRIF, conseiller municipal UMP du Mesnil-Saint-Denis, dont nous avions déjà parlé ici, vient d’être condamné à seulement deux mois de prison avec sursis pour proposition sexuelle à une mineure de 12 ans.
Le procureur avait pourtant réclamé une peine de cinq mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve, assortie d’une amende de 1.500 euros.

On apprend avec surprise que « l’expert » psychiatrique n’a pas révélé de “trait pervers” chez le prévenu, qui ressent de “la culpabilité et de la honte”.

Plus surprenant encore, l’impressionnant silence des gros médias sur cette condamnation. Alors que le moindre soupçon de prêtre pédophile fait la une de tous les médias, la condamnation d’un pédophile sioniste de l’UMP n’en intéresse aucun.

Scandaleuse clémence des juges et silence totale dans les médias… certaines mauvaises langues vont encore dire que  le CRIF dicte sa loi en France.

AVoir :
Les Infiltrés pédophilie en France 2010.

jeudi 21 janvier 2010

France : Procréation pour les homos : les députés ferment la porte.

Loin d’entrouvrir l’accès à la procréation médicalement assistée aux homos, le rapport sur la révision des lois bioéthiques présenté hier à la presse verrouille encore plus le dispositif.

En revanche, il en facilite le recours pour les couples hétéros. Vous avez dit paradoxe ?

Mercredi 20 janvier 2010, lors de la présentation du rapport à la presse, le député Jean Leonetti (UMP), rapporteur de la mission d’information parlementaire sur la bioéthique a répété :

« L’accès médical à la procréation doit être examiné sous un angle médical, pas un angle sociétal. La médecine doit répondre à une pathologie, pas à une insatisfaction ou un désir. »

Sa position, claire dès les début des travaux, n’a pas bougé d’un iota pendant les 108 auditions de la mission qui ont eu lieu entre le 15 octobre 2008 et le 15 décembre 2009.

Le rapport a été adopté par la majorité de droite des 32 députés de la mission, ceux du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche s’étant abstenu, alors que deux socialistes, Patrick Bloche et Serge Blisko, ont voté contre.

« Finalité médicale » avant tout

Exit donc les célibataires et les couples homos : au lieu de leur entrouvrir la porte, comme le suggérait Alain Claeys (PS), président de la mission et auteur au nom de son groupe politique d’une contribution divergente.

Il proposait d’ouvrir l’AMP aux « femmes célibataires médicalement infertiles ». Mais le rapport verrouille encore plus la loi en mettant en exergue « la finalité médicale » de l’AMP, devant « la demande parentale d’un couple », aujourd’hui inscrite dans la loi comme la base de ces pratiques médicales.

Inutile de préciser qu’un couple est composé d’un homme et d’une femme... Pour ces couples hétérosexuels, le rapport propose, au contraire, d’assouplir les conditions d’accès en mettant à pied d’égalité les couples mariés et pacsés.

Ils pourront avoir recours à l’AMP sans condition de durée de vie de couple, et en permettant des « exceptions pour raisons médicales ou d’âge » pour les concubins qui devaient jusque là prouver de deux ans de vie commune.

Pour les hétéros, le droit serait même prêt à défier la mort

Encore plus curieux, le rapport préconise d’autoriser le transfert d’embryons post-mortem en cas de décès du père en cours de traitement, allant jusqu’à proposer des modifications à la loi sur la succession pour permettre à l’éventuel enfant d’hériter de son père défunt.

Pour permettre la naissance d’un enfant de couple hétéro, le droit serait donc prêt à défier la mort et à garantir une double filiation au-delà du décès... même si « cela ne concerne que quelques cas très rares », selon M. Leonetti.

Seul point d’égalité des homos et des hétéros : le maintien de l’interdiction de la gestation pour autrui (GPA), pour tous. Pour le rapport, elle constitue une « forme d’aliénation et de marchandisation du corps humain » qui bafouerait les principes de gratuité, d’anonymat et d’indisponibilité du corps humain inscrits dans la loi de bioéthique.

Des arguments qui ne convainquent pas les députés socialistes Patrick Bloche et Serge Blisko, auteurs d’une contribution divergente incluse dans le rapport. Ils plaident pour « légiférer en organisant la maternité pour

autrui », en évoquant une « rupture d’égalité entre femmes », celles souffrant d’une infertilité d’origine ovarienne pouvant avoir recours au don d’ovocytes, alors que celles ayant des ovaires fonctionnelles mais incapables de porter un enfant sont exclues d’office de l’AMP.

Un nouveau projet de loi sera déposé avant l’été

Bloche et Blisko, qui ont voté contre le rapport, plaident également pour une ouverture de l’AMP aux femmes célibataires, avec ou sans raison médicale. « Le couple homme-femme n’est plus le seul modèle possible en France », a rappelé Blisko.

Selon le rapporteur Leonetti, la ministre de la Santé Roselyne Bachelot-Narquin devrait déposer un projet de loi « avant l’été ». Le débat parlementaire n’aura lieu qu’à ce moment-là.
Source : http://rue89.nouvelobs.com/2010/01/21/les-deputes-compliquent-lacces-a-la-procreation-pour-les-homos-134885